Les gens qu’on n’aime pas.
Il y a les gens qu’on aime. Parfois spontanément, pour un sourire ou un regard. Pour une expression du visage qui ranime notre usine à bonheur.
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Les gens qu’on n’aime pas.
Il y a les gens qu’on aime. Parfois spontanément, pour un sourire ou un regard. Pour une expression du visage qui ranime notre usine à bonheur.
Langage non-sexiste à Zürich : « maman » et « papa » pourraient disparaître.
La municipalité suisse alémanique de Zürich a rejoint le camp des déconstructeurs. Elle propose officiellement aux parents de renoncer désormais aux termes de maman et papa afin d’éradiquer le langage sexiste.
La femme trans et le gynécologue.
Ce n’est pas une blague. C’est réellement arrivé. Une femme transgenre – soit un homme qui se déclare femme – est allée consulter un gynécologue, accompagnée de con compagnon.
Athlètes transgenres féminines : compétitions interdites.
Dans ma précédente note sur le sujet, Non, un homme ne peut pas être enceint, j’évoquais rapidement la participation de femmes trans aux compétitions sportives féminines. Une information est tombée ces derniers jours, justement: pour le vélo c’est fini.
Non, un homme ne peut pas être enceint.
Miss Pays-Bas est un homme. Enfin, une femme trans, donc un homme devenu femme. « Samedi 8 juillet, lors du concours de Miss Pays-Bas, la couronne a été attribuée à Rikkie Valerie Kolle. Qui est une femme transgenre, devenant ainsi la première à décrocher ce titre dans le pays. »
Femmes et hommes nous subissons les assignations que la société a décidé pour nous. Par exemple être femme ou homme ne seraient pas lié au sexe biologique mais à une injonction sociale dictée par… on ne sait qui exactement.
Revoir l’éducation des garçons (1) ?
L’asymétrie femmes-hommes est pour moi une clé pour analyser les relations entre les femmes et les hommes. L’asymétrie physique et sexuée joue un rôle majeur dans la mise en mots, ou plutôt la « mise en culture », des corps.
Tenir, lâcher, se retenir, se lâcher.
Comment arbitrer les choses entre la dynamique de force qui consiste à tenir, s’accrocher, et l’abandon choisi du lâcher, du lâcher-prise? Je les ai parfois vus être opposés – ce qui me semble inadéquat.
Après l’Uni de Genève c’est l’Unil, université de Lausanne, qui gomme le genre des personnes diplômées. Pas de marque permettant de distinguer un genre ou un sexe. Pour les éviter le document ne contiendra que le nom et prénom, et date de naissance à la place de né le.
Le grand run vers la vertu.
La tendance s’affirme davantage de jour en jour. C’est plus qu’une simple course: c’est presque une surenchère. Qui est meilleur ? Qui en fait le plus?
Les tourments du prince Harry.
Il y a suffisamment de contenu du livre, distillé par la presse selon ce que l’éditeur veut mettre en avant. Pas besoin de l’acheter. Et franchement, cette copie des Feux de l’amours version télé-réalité royale, m’en touche une sans faire bouger l’autre, comme disait le cultissime Chirac.
Il m’arrive de me fâcher. Je peux même être soupe au lait et monter les tours comme un chamois, ou devenir cassant. Ce n’est pas très fréquent. Il faut que l’on touche le mauvais bouton et que l’on insiste un peu.
Environ dix personnes, femmes et hommes, sont alignées en attendant d’être prises dans une des deux équipes. En face d’elles deux capitaines choisissent leurs partenaires, un par un à tour de rôle. Cela commence comme Koh Lanta, j’illustre avec des images de Koh Lanta, mais ce n’est pas Koh Lanta.
Cette double injonction d’apparence antinomique s’entend régulièrement dans le langage courant. Le sportif de la pub, épuisé mais opiniâtre, ne lâche rien. Le philosophe en mal d’explication du monde renonce à sa quête au profit de la sagesse implicite du lâcher prise.
L’auteuse pensait-elle au Grand Meaulnes? Vous savez, le héros du livre d’Alain-Fournier. Un livre culte vendu à plus de quatre millions d’exemplaire depuis sa sortie en 1913. Une histoire d’amitié forte, de loyauté, et d’un amour fou, beau et dramatique.
Un nouveau concours va être proposé. Il s’agit d’élire Miss Esthétique France. C’est anecdotique et en même temps révélateur de quelques comportements qu’il m’a semblé intéressant de soulever.
La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
Le cas de Lisa Keogh dont je parlais il y a deux jours n’est pas unique. Aux USA et au Canada de plus en plus de professeurs et d’étudiants sont ostracisés et parfois poussés au départ sous la pression des « progressistes ».
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.
C’est quelque chose de simple, une pratique personnelle que l’on m’a transmise il y a longtemps, que j’ai gardée et que je fais passer. Elle ne se limite pas à un seul jour par année mais Noël est bien indiqué pour y penser.