Valérie Trierweiler tient sa vengeance. Une qui éclabousse bien. Celle de la peau de vache. Je n’ai lu de son livre que quelques extraits publiés dans la presse et je n’en lirai pas plus. Pas besoin. Les extraits suffisent. Ils sont clairs. Dans une confusion totale public-privé elle instruit le procès de son ex, sans prévenir de l’audience - le mou en est paraît-il atterré, sans avocat de la défense - il ne pourra s’expliquer que longtemps après avoir quitté sa fonction.