Valérie Trierweiler tient sa vengeance. Une qui éclabousse bien. Celle de la peau de vache. Je n’ai lu de son livre que quelques extraits publiés dans la presse et je n’en lirai pas plus. Pas besoin. Les extraits suffisent. Ils sont clairs. Dans une confusion totale public-privé elle instruit le procès de son ex, sans prévenir de l’audience - le mou en est paraît-il atterré, sans avocat de la défense - il ne pourra s’expliquer que longtemps après avoir quitté sa fonction.
vie publique
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La poissonnière de François Hollande
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François Hollande: les sous-titres ne collent plus au film
Valérie Trierweiler n’est pas aimée. Ses manières dominatrices, sa volonté de n’en faire qu’à sa tête une fois à l’Elysée, le tweet assassin sans aucun respect pour son compagnon, entre autres, ont donné d’elle l’image désastreuse d’un dragon. Elle s’est présentée comme rebelle, alors qu’elle semble plutôt caractérielle.
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Borgen, une femme au pouvoir
La série Borgen est intéressante et bien faite. Elle décrit la lutte pour le pouvoir au Danemark. Le Premier ministre est une femme, Birgitte Nyborg. Comment gère-t-on le pouvoir dans une démocratie représentative? Quels sont les compromis nécessaires et les coups bas? Jusqu’où faut-il sacrifier sa vie personnelle pour administrer un pays?
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Mais qui donc est l'accusateur de Mark Muller?
Mark Muller a relancé malgré lui un débat vieux, pas comme le monde, mais au moins comme les grecs. Ces grecs qui avaient une toute autre notion que nous de la vie d’un personnage public.