Deux-cent-huit morts, 1400 maisons détruites, cela vous dit quelque chose? C’est Toulouse, Ô Toulouse, le 23 juin 1875, lors de la crue la plus dévastatrice historiquement causée par la Garonne et de ses affluents.
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Deux-cent-huit morts, 1400 maisons détruites, cela vous dit quelque chose? C’est Toulouse, Ô Toulouse, le 23 juin 1875, lors de la crue la plus dévastatrice historiquement causée par la Garonne et de ses affluents.
Avant de livrer la date je souhaite signaler cette étrange et belle lumière qui a baigné Genève ce matin. Sous un stratus peu dense on devinait une couleur beige-rose, presque sombre comme lors d’une éclipse de soleil cinq minutes avant la phase totale, et très diffuse. Elle teintait l’atmosphère autrement que d’habitude. C’était une grosse couche de sable du Sahara au-dessus du Léman. Les voitures en étaient couvertes.
Sacrée fille, la Garonne. Un tempérament de garçonne quand elle dévale les pentes des Pyrénées. Elle est connue pour ses excès. Et cela ne date pas d’hier. Son nom signifie soit La rivière caillouteuse, soit pour les Celtes La rivière de l’Eau (en tant que divinité). La mère des rivières est aussi l’une des plus dangereuse.