Cette affaire fit grand bruit. En 2004 l’ONU annonçait les premiers réfugiés climatiques au monde au Vanuatu. On apprenait par la suite que c’était une fausse nouvelle. Aujourd’hui on continue à brandir le cas du Vanuatu comme le symbole d’une catastrophe climatique sans précédent. Mais ni la panique urgentiste ni la légende urbaine des réfugiés climatiques du Vanuatu ne tiennent devant la science. Venez, partons pour les îles.