Deux histoires d’eau.
Elles ne se ressemblent pas mais sont inscrites dans l’actualité à long terme. La première se passe sur la chaîne M6, la seconde en Indonésie.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Deux histoires d’eau.
Elles ne se ressemblent pas mais sont inscrites dans l’actualité à long terme. La première se passe sur la chaîne M6, la seconde en Indonésie.
Le gouvernement du Vanuatu a décrété l’urgence climatique sur son territoire en raison du réchauffement du climat et des risques qui en découlent: sécheresse, montée des océans. Le premier ministre Bob Loughman a déclaré: « La Terre est déjà trop chaude et peu sûre. » (Clic sur les images pour agrandir)
Une partie de la presse met à peu près tout ce qui touche à l’environnement sur le compte du réchauffement. Même quand elle sait que ce n’est pas le réchauffement. Exemple.
Cette affaire fit grand bruit. En 2004 l’ONU annonçait les premiers réfugiés climatiques au monde au Vanuatu. On apprenait par la suite que c’était une fausse nouvelle. Aujourd’hui on continue à brandir le cas du Vanuatu comme le symbole d’une catastrophe climatique sans précédent. Mais ni la panique urgentiste ni la légende urbaine des réfugiés climatiques du Vanuatu ne tiennent devant la science. Venez, partons pour les îles.
Après l’Atlantique et Lorenzo, cap sur Bangkok, avant qu’elle ne disparaisse dans la terre par subsidence. Le risque est réel et le processus entamé. Le Doc à la Une, que je mentionnais précédemment, diffusé le 2 octobre sur la RTS, en dit plus.