NYC: « C’est du jamais vu, c’est historique. » « C’est le réchauffement climatique », tac, tic, tac, égrènent les infos qui diffusent les propos des autorités new-yorkaises sur les inondations.
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NYC: « C’est du jamais vu, c’est historique. » « C’est le réchauffement climatique », tac, tic, tac, égrènent les infos qui diffusent les propos des autorités new-yorkaises sur les inondations.
Cette affaire fit grand bruit. En 2004 l’ONU annonçait les premiers réfugiés climatiques au monde au Vanuatu. On apprenait par la suite que c’était une fausse nouvelle. Aujourd’hui on continue à brandir le cas du Vanuatu comme le symbole d’une catastrophe climatique sans précédent. Mais ni la panique urgentiste ni la légende urbaine des réfugiés climatiques du Vanuatu ne tiennent devant la science. Venez, partons pour les îles.
Quelles côtes européennes seront submergées par les restes de l’ouragan Lorenzo ? Submergées : le mot est paru dans la presse. On pense aussitôt à la tempête Xynthia lors de laquelle la mer avait pénétré profondément dans les terres.
Encore un mot. Depuis 40 ans on nous annonce des ouragans de plus en plus forts et nombreux à cause du réchauffement des océans. Or aucune preuve de cette théorie n’est apportée par les observations, qui montrent une corrélation non significative.
Aucune n’est juste. Deux ou trois sont approximatives. La plupart étaient à côté de la plaque. Les prévisions de trajectoire de l’ouragan Dorian ont mis en évidence la fragilité des modèles numériques de prévision du temps.
Il y a quelque chose à tirer de la lecture des médias à propos des ouragans. Par exemple, alors que Leslie a touché le Portugal en catégorie 1, la couverture médiatique est moins grande et moins dramatisée que pour ceux, récents, qui ont touché les États-Unis.
Hier soir un changement de cap était annoncé par le NHC, le National Hurricane Center. L’ouragan de catégorie 1 Leslie file maintenant vers le Portugal et l’Espagne, alors qu’on l’attendait d’abord plus au sud et retournant vers les alizés.
C’est un événement peu fréquent. On en relève un à deux par année. En anglais on le nomme « Medicane », contraction de Mediterranean hurricane. Le nom technique abrégé est T.M.S., soit Tropical-like Mediterranean Storm, ou tempête méditerranéenne de type tropical.
Les deux images ci-dessous illustrent le décalage entre une projection météo à plusieurs jours et la réalité du même jour. Elles représentent les vents de surface au même moment, soit le 19 à 23h pour la première, le 20 tôt le matin pour la deuxième. (Clic pour les agrandir)
Ce n’est pas Yves Montand descendant les allées de feuilles mortes. C’est un petit détail dans l’info ouragans sur le JT de 20H de TF1, jeudi dernier. Environ au milieu du JT le présentateur Gilles Bouleau annonce que le nombre d’ouragans a doublé en cinquante ans. La séquence est en fin de billet. L’annonce du présentateur vient à 2’10’’.
Les climatiseurs géants planétaires s’activent et s’enchaînent. En effet depuis quelques jours le nombre d’ouragans et de tempêtes tropicales augmente. Après un démarrage timide, dû entre autres à la fraîcheur printanière de l’océan Atlantique, la saison cyclonique est bien installée.
Dans l’hémisphère nord les hivers froids récents seraient paradoxalement dus au réchauffement atmosphérique. Cette hypothèse, à nouveau relayée ces derniers jours, repose sur l’amplitude du courant jet (jet stream).
C’était il y a 51 ans. Après un mois d’octobre très pluvieux, la région de Florence et le bassin du fleuve Arno reçoivent des précipitations hors normes. On compte par endroit jusqu’à 700 mm de pluie en 24 à 28 heures.
Sur internet on trouve des sites météos complets et excellents. J’en ai découvert un nouveau. Sur ce visuel magnifique on peut visualiser de nombreux paramètres par couches. Il ne donne pas de prévision du temps mais vous verrez presque tout ce qu’il y a à voir de notre atmosphère.
Jusqu’à cette nuit vendredi il se déplaçait lentement, aux alentours de 12 km/h. Passé en catégorie 2, il a accéléré ce matin. Il longe maintenant, à bonne distance, les côtes portugaise, espagnole et française.
Quelques experts prudents se gardent de lier la saison 2017 des ouragans avec le réchauffement de l’atmosphère. D’autres empruntent l’argument du réchauffement pour expliquer cette séquence cyclonique. Ceux-ci ont tort.
La presse relève avec inquiétude le nombre élevé d’ouragans de cette saison 2017. Une rafale d’ouragans! Année propice, comme je l’écrivais récemment? Je précise: année propice aux ouragans majeurs. Au tour de Maria.
Au suivant! Annoncé comme un nouveau monstre météorologique et classé en catégorie 5, la plus puissante, l’ouragan Irma montrerait une intensité « jamais vue », « sans précédent » sur l’Atlantique. Ses vents « peuvent souffler » jusqu’à 295 km/h et les rafales atteindre les 360 km/h, selon la presse (je n'ai pas trouvé vérification de ces chiffres). Son centre dépressionnaire affiche 914 hPa selon le NHC – le National Hurricane Center.
Port Lavaca est une baie en cul-de-sac associée à la grande baie de Matagorda, entre Houston et Corpus Christi. Une configuration qui favorise l’élévation du niveau des vagues. C’est là que l’onde de tempête et la marée ont atteint la cote maximale lors du passage de Harvey: 2,10 mètres.
L’ex-ouragan faiblit. Il est à nouveau rétrogradé, en dépression tropicale cette fois. Et il se remet en mouvement vers le nord-est et l’intérieur des terres. Cependant, même affaibli, il reste une énorme machine à pluie.