Il a donc plusieurs fois été mis à la sauce jazz, et pourtant Jean Cocteau disait de lui qu’il était sans sauce. Entendez par là: sans liant, sans ce flou ouaté qui l’aurait classé durablement parmi des maîtres impressionnistes. Etait-il trop modeste? Ou aimait-il trop rire de lui-même pour s’abandonner durablement aux langueurs mauves de nymphéas sonores?