Ce devait être une ode flamboyante contre le racisme et une résurrection de l’afrofuturisme au cinéma. Un max de femmes et de personnages blacks et une thématique supposée antiraciste. J’en ai vu quelques moments lors d’une récente diffusion télé.
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Ce devait être une ode flamboyante contre le racisme et une résurrection de l’afrofuturisme au cinéma. Un max de femmes et de personnages blacks et une thématique supposée antiraciste. J’en ai vu quelques moments lors d’une récente diffusion télé.
J’ai déjà parlé ici d’Andrea Motis. C’est une jeune femme espagnole qui travaille le chant jazzy depuis des années.
Il y a quelques temps je postais une vidéo sous un billet. Il s’agissait du trio Joan Chamorro, avec Andrea Motis maniant le saxophone avec une aisance réjouissante sur "On the sunny side of the street". Cette jeune musicienne mérite que l’on s’attarde sur ses talents. (Cliquer sur les images pour agrandir)
Il a donc plusieurs fois été mis à la sauce jazz, et pourtant Jean Cocteau disait de lui qu’il était sans sauce. Entendez par là: sans liant, sans ce flou ouaté qui l’aurait classé durablement parmi des maîtres impressionnistes. Etait-il trop modeste? Ou aimait-il trop rire de lui-même pour s’abandonner durablement aux langueurs mauves de nymphéas sonores?
Après une semaine chargée en événements et débats intenses, une belle journée me rappelle au ciel, aux arbres et au vent léger.
C’est la fin de la série estivale proposée par Jean-François Zygel. Déjà, hélas. Si vous ne connaissez pas encore cette émission profitez-en: c’est l’une des plus belles réalisations actuelles à la télévision.
... de Jean-François Zygel.