La froideur et la méthode du terroriste norvégien sont impressionnantes. Le signal qu’il donne est d’une dangerosité particulière. D’abord par le nombre de morts. Actuellement, pour faire parler de soi par le terrorisme, il faut ou viser une personnalité d’envergure mondiale, ou tuer en nombre. Un attentat qui ne tuerait qu’une seule personne n’aurait pas le même impact.