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Québec anti-hommes: un juge dénonce la politique de la violence conjugale

Au Québec un juge a eu le courage de se désolidariser de la politique officielle concernant la violence conjugale, estimant qu'elle ne correspond pas à la réalité.

Etude bidon

Il faut savoir qu'au Québec une politique effrayante a été mise en place depuis des années, sous l'influence des groupes de pression féministes radicaux.  En 1992, une étude a été faite sans aucune déontologie ni vérification sérieuse, étude qui affirmait que 29% des femmes avaient besoin d'être protégées de leur compagnon. Une femme sur trois! Ce qui signifie qu'un homme sur trois serait un salaud de cogneur, un criminel sans conscience à enfermer rapidement.

Ce chiffre de 29% provenait en particulier des estimations fournies par les centres d'hébergement pour femmes. Ces centres reçoivent des centaines de millions de dollars canadiens pour entretenir et développer une idéologie misandre acharnée. Cela a été dénoncé par une ancienne travailleuse sociale du centre du Saguenay, Anne Vaillancourt. Le chiffre de 29% n'a jamais pu être vérifié, les centres refusant tout accès à leur administration. Ce sont essentiellement des extrapolations.

 

 

Un juge dénonce

Le juge Gosselin s'est récemment récusé dans une affaire de soi-disante violence conjugale et familiale, un père ayant monté la voix contre sa fille qui refusait de ranger le désordre qu'elle avait fait dans la maison. Le journal "Ottawa citizen" s'en est fait l'écho:

"Le juge Jean-François Gosselin de la Cour du Québec a déclaré qu'il n'avait pas envie de dire « les mots qui me hantent » et a coupé court sa déclaration. Réputé être juste et ouvert, le juge de Gatineau a déclaré que le procureur de la couronne avait tendance à porter des accusations dans les cas de violence conjugale alors qu'il y avait souvent aucune nécessité de le faire.

Le juge Gosselin a fait observer que si les deux parents auraient montrés de la colère, qu'il n'y aurait pas eu de cas en face de lui. Il a dit qu'il comprenait la situation à la maison à ce moment-là et que lui aussi aurait été en colère et aurait insisté pour que les filles ramassent leurs dégats. « Ceci n'est pas criminel ».

Les tribunaux traitant des dossiers relatif à la violence conjugale, comme les tribunaux de la famille, n'offrent pas la même protection à l'accusé comme celle provenant des juridictions pénales. Ces tribunaux sont conçus pour contourner la protection offerte par le Code criminel. Le fardeau de la preuve est réduit ou supprimé et il n'y a pas de présomption d'innocence. Ils sont de nature politique."

Le lien vers la traduction de cet artice est:

http://www.eqrolc.ca/docs/JGoss_fr.htm

La décision de ce juge de se récuser dans une dénonciation abusive – une de plus! – fera-t-elle école? Cessera-t-on au Québec de considérer les hommes comme des criminels, et de croire les femmes sur un simple coup de téléphone? Un homme a-t-il encore le droit de monter la voix? Sera-t-il un jour emprisonné pour un simple désaccord, pour avoir dit non à sa femme ou à sa fille? Dans quel monde vivons-nous, au fait?

Catégories : société 5 commentaires

Commentaires

  • Votre lutte est + que salutaire, elle est essentielle, John Goetelen.

  • Merci, oui je le pense aussi pour l'équilibre même de la société et pour la justice.

  • Quand la justice cessera-t-elle de faire une différence entre père et mère ? Il y a des femmes admirables, mais combien d'hommes le sont aussi ? L'inverse existe également : certaines femmes battent mari et enfants, alors ?
    La seconde femme de mon père lui mettait la tête dans la cuvette des w.-c. et tirait la chasse d'eau (je ne l'ai appris que plus tard, après l'avoir soutiré à ses griffes de folle). Où va-t-on avec la violence ?
    Certains termes commencent à devenir désuets : éducation, bonnes manières, dialogue, amour. Et pourtant, combien de problèmes pourrait-on éviter grâce à un peu d'amour...

  • Je suis justement en plein période zémourienne et après "Petit frère" je vais attaquer "Premier sexe" (Un must). Le combat pour la fierté masculine est essentiel. je me souviens qu'à l'école secondaire ma prof d'Anglais rentrait toujours en classe en exigeant que les fenêtres soient ouvertes, motif: "Les garçons ça pue" alors que les filles "ça sent bon". Marre de l'équation mâle = salaud, marre de la féminisation gnan-gnan généralisée, marre d'entendre que les femmes sont sous représentées en politique et dans les sciences alors qu'il suffit de lir le contenu des magazine féminin pour voir de quoi est fait leur univers. guimauve et potins people. Et surtout: les femmes ne sont guères moins mauvaises que les mâles, parfois elles sont même pires lorsqu'il s'agit de s'en prendre à une personne de son genre...

  • @ Carlos:

    Nous sommes d'accord sur bien des points. Ce n'est pas être contre les femmes, perso je les adore. Mais l'idéologie anti-hommes, ça commence à bien faire.

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