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Nicole Kidman, actrice porno, et la violence conjugale...

Elle a l’air de quelqu’un de bien Nicole Kidman. Sérieuse, au glamour austère, choisissant intelligemment ses films. Pourtant... Une petite info de la semaine dernière.

kidman-07.jpgEn tant qu’ambassadrice de charme de l’UNIFEM, agence de l’ONU chargée des questions féminines, elle a déclaré devant l'ONU et le Congrès américain:

«Une femme sur trois" va être victime de "violence sous une forme ou une autre" au cours de sa vie, a souligné mardi la star australienne âgée de 40 ans au siège de l'ONU à New York. Autant dire une statistique "inouïe", qui ne représente cependant pour l'UNIFEM que la partie émergée de l'iceberg.

Nicole Kidman a été nommée ambassadrice de bonne volonté de l'UNIFEM en janvier 2006. D'après Joanne Sandler, directrice exécutive par intérim de l'agence onusienne, l'actrice souhaitait se pencher sur une question "où elle pourrait faire la différence".

Ensemble, elles ont choisi le thème de la violence contre les femmes qui, aux yeux de Nicole Kidman, constitue "la violation des droits humains la plus épouvantable et la plus répandue de notre temps.»

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Ben tiens, la voilà qui se met à bêler avec le troupeau. D’où tient-elle ce chiffre? Des féministes qui ont infiltré l’institution? On ne peut dire quelque chose d’aussi grave sans preuve, puisque le corollaire de cette affirmation est qu’un homme sur trois, et davantage, est un salaud, un agresseur, un criminel? Et quand l’UNIFEM prétend que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, cela fait quel chiffre: 2 femmes sur 3? 4 femmes sur trois?

Où et quand cessera ce délire? En occident, les chiffres les plus recoupés sont d’environ 2% des femmes - et 1,5% des hommes. Tiens, elle ne parle pas des hommes. Typiquement le discours féministe anti-hommes. Ah, elle parle peut-être des pays non occidentaux. Sur quels chiffres? Quelles statistiques? Quelles extrapolations? Et sur quelle définition de la violence conjugale?

Le mensonge féministe continue, et Nicole Kidman s’est mise à bêler avec le troupeau.

kidman_100907_03.jpgElle a rajouté, devant la sous-commission aux affaires étrangères des Etats-Unis, «qu'elle en avait assez des rôles qui font de la femme un objet sexuel et la rabaissent». Oh... quelle moralisatrice. Elle tourne puritaine, après avoir engrangé des dizaines de millions en montrant son corps. C'est l'hôpital qui se fout de la charité. Et personne pourtant ne l’a vue rabaissée. Nicole Kidman est franchement malhonnête, lâche de ne pas s’assumer, hypocrite de jouer à la mère la morale, au fond pas très maline. Notez bien que pour avoir été l’épouse de Tom Cruise...

Si c’est pour dire ce genre de con..., elle aurait mieux fait de rester scientologue. On lui aurait plus facilement pardonné. Et pourquoi y a-t-il des hommes assez bêtes pour l’écouter et voter des budgets à l’UNIFEM, bastion international de la misandrie, ou pour voter des lois ouvertement tournées contre les hommes? Un homme sur trois, voire plus, serait un salaud. Comment peuvent-il croire cela? Qui peut croire cela?

 

Au fait, les otages suisses de Kadhafi n’ont probablement pas la possibilité de voir les films de cul de Nicole Kidman, actrice porno hyperbotoxée, concurrencée par les jeunettes, qui a fait sa carrière en rabaissant les femmes. Ils ne perdent rien... sauf une partie de leur vie qui leur est volée par le terrorisme d’Etat libyen.

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Catégories : société 105 commentaires

Commentaires

  • Vos petites lubies vous font déraper,hommelibre.
    Nicole Kidman n'est certainement pas une actrice "porno".
    Si elle est une "Mère la morale", qui se transforme en "Père la morale" et oppose des invectives à deux sous à des arguments à deux balles ?
    Un peu de mesure, je vous prie...

    :o)

  • Teufel, je suis d'accord avec Blondesen, "porno" associé à "Nicole Kidmann" pour faire de l'"audience"?
    Et de l'"audience" pour quoi faire, finalement...
    Nachste

  • Côté "petites lubies+, cher Blondesen, chacun les siennes je crois, et vous n'êtes guère placé pour me faire une leçon à quatre sous... Cette provoc vous goûte peu? Bah, chacun ses chasses. Je vous accorde que EWS de Kubrik est du porno soft. Et qu'avec lui et elle à l'affiche ont dit que c'est de "l'art", comme F. Mitterrand fait de la "littérature".

    Bien content d'égratigner ainsi une icône et de choquer la bienpensence intellectuelle dont vous semblez implicitement vous réclamer. Elle utilise sa notoriété pour aggraver un mensonge planétaire "inouï", ma fois elle a pris le risque de trouver un désaccord aussi tranchant que ses propos sont provocateurs et mensongers à l'encontre de la moitié de l'humanité.

    De toute façon une star veut de l'audience à tout prix, cher redbaron, ne vous trompez pas de cible. Regardez la lune, pas le doigt qui la montre. Quand à moi, je n'ai pas besoin de simplement "faire de l'audience", je me porte bien, je vous remercie.

    Et je n'écris pas pour vous plaire. Surtout pas sur ce sujet-là, ma petite "lubie" comme l'exprime avec mépris Blondesen du haut de sa supériorité. On a les fâcheries qu'on peut, Messieurs. Mais mieux vaut cela qu'être muet.

    Allez, au suivant, dit redbaron à court de... munitions?¿

  • @ Hommelibre

    merçi de ce billet, moi qui avait beaucoup apprécié sa prestation dans retour à cold moutain je suis franchement déçu. elle aussi bêle dans le troupeau !!!

  • N'exagérons pas, tout de même. "Our Nicole", comme diraient les Australiens, la femme la plus riche de ce pays, a aussi une passion pour les hommes en détresse, ce qui fait d'elle une véritable Mère Nicole: n'a-t-elle pas réussi à remplacer son premier débile de mari scientologue par un chanteur alcoolique? Elle a ainsi débarrassé son pays de Tom Cruise et abrite chez elle quelqu'un qui aurait peut-être fini autrement aux services sociaux.
    On m'objecter que tous les Australiens sont alcooliques et que la scientologie n'est qu'une organisation condamnée pour escroquerie en bande organisée, ce qui, par les temps qui courent et la nécessité de faire de l'argent à tout prix (si je puis dire), peut pratiquement figurer sur un CV comme référence de premier ordre. Ah, bon, puisque vous le dites ...
    P.S. Ah, ça fait du bien, parfois, de dire des méchancetés, qui n'ont d'ailleurs aucun impact sur les personnes citées, et pour cause.

  • Hi hi. J'aime bien ces petites piques dard dans la lanterne cinématographique. Un peu de provoc de John pour contrer la belle dame qui se la joue un peu trop à Bush toi-z-y que ch'ti mette mon petit doigt masturbateur car tous les hommes sont des salauds comme toutes les femmes sont des salopes. Non. Non. Je dérape, les garçons. Je suis un fan de Lubrique, heuuu, Cul Brique. Je m'en fous des cul bénits et des filles qui virent leur cuti. Si elles ont aimé pourquoi elles aiment plus? L'Eglise, la Foi. la Religion? C'est cette question qui m'intéresse. Une fille qui aime trouver le chemin de sa liberté sexuelle, qui fait des tas de choses cochonnes, et qui soudain vire et devient Mère la Vertu, un peu comme Madonna aussi. Les hommes, ont ne connait pas ce genre de revirement. Même si on devient sage, on ne nie pas notre passé de gai luron. Pourquoi les filles, elles, arrivent à renier leur passé? Je vous fais une psychanalyse minute: La jalousie, les garçons. La jalousie de voir les petites gamines se trémousser sur la piste et d'allumer plus l'oeil des garçons. C'est simple une femme. Le narcissisme d'abord, le féminisme ensuite. Ouh la la. je vais encore une fois pas me faire des copines. Merde! J'ai gaffé dans le pot de yaourt. Allume-moi Marceline, depuis le temps qu'on me jette aux ordures, j'ai appris à me contenter de la case solitaire.

  • @ Mère:

    MDR!!! Mais dites, vous excellez dans la provoc humoristique! J'adore... Et oui, un peu de radio vipère de temps en temps entretien la forme. Et là, cela reste dans l'acceptable.

  • @ Pachakmac:

    Vous tenez la forme! Je partage votre interrogation: pourquoi les femmes se renient-elles, surtout en ce qui concerne les choses du sexe? Fichue question. Votre analyse montre peut-être bien un des facteurs. J'ajouterais aussi qu'elles ont peur que leurs petits-enfants voient en elles des délurées, ce qui serait moins respectable qu'une Madonne. Mais il y a maldonne... La respectabilité est-elle dans la bonne image sociale, ou dans l'intégrité intérieure même en position de la levrette?

    Bon sang, les femmes libres de leur corps ne sont pas si fréquentes, que ne s'assument-elles pas plus? En aucun cas je ne leur jetterai la première pierre. Pas plus qu'aux actrices pornos qu'elle semble implicitement ravaler au rang de traîtres aux femmes.

  • Il faudrait une fois pour toute définir ce que l'on entend par "la violence faite aux femmes", et se demander aussi s'il existe une "violence faite aux hommes". Car toutes ces études mal biaisées partent de l'idée que seules les femmes sont victimes de violence. S'agissant de violence conjugale, le schéma classique en est le suivant:
    - tensions pour des raisons diverses,
    - paroles de déconsidération, injures,
    - petits coups,
    - grand coup.
    Pour une raison qui m'échappe, on part de l'idée que seul le grand coup a été donné et que celui-ci est arrivé de nulle part. Or, la violence a commencé bien avant. Il est vrai que la femme est plus souvent victime d'un grand coup (car elle est moins forte physiquement), mais elle participe très activement à l'escalade de la violence, et c'est très souvent elle qui donne les premiers petits coups. D'ailleurs, Sophie Torrent, qui avait écrit "L'homme battu" il y a quelques années, soutenait dans son mémoire de licence la thèse selon laquelle certaines femmes provoquent la violence physique pour accéder à la position de victime qui leur donnera maints avantages sociaux (et notamment procéduraux).

  • Ce qui laisse à désirer pour moi c'est le "sous une forme ou une autre". En y pensant de manière dépassionnée, et décontextualisée on pourrait facilement estimer que 100% des êtres humains vont connaître un jour une forme de "violence", ne serait-ce que les "torgnoles" qu'on peut se recevoir en tant qu'enfants...

    Sans avoir votre "virulence", je suis assez en accord avec vous sur le fait que le manque de précision ne sert pas vraiment la cause et ne permet pas de se faire une idée juste des mesures à cibler. Dans un cas comme celui-ci, on peut même se demander à quel point l'énormité du chiffre ne banalise pas les situations dramatiques qu'il recouvre, d'autant qu'en ne précisant pas son contenu il semble exister comme un chiffre "pur".

    Est-on certain, par contre, que dans ce chiffre l'UNIFEM ne tient compte que de la violence conjugale?

  • Je crois que vous êtes en train d'étaler vos complexes "hommeattardé". Soignez vous au lieu d'amplifier vos troubles.

  • Bonjour Nikki

    tu m'a l'air bien naif, juste capable de gober les mensonges et les exagérations des féministes victimaires. ben continue bêle bien avec le troupeau

  • @leclercq:
    Je souhaite une fois vous dire votre fait, ou vous donner un conseil. Prenez-le comme vous voudrez. Je choisis cet instant pour le faire car on parle précisément d'escalade de la violence. Vous avez des idées qui me paraissent souvent assez sensées, mais vous les défendez d'une manière exécrable.
    Ici, nous avons:
    - hommelibre qui se lâche un peu sur une actrice célèbre. En fait, vous êtes vraisemblablement d'accord avec lui, et
    - Nikki qui lui vole dans les plumes en l'appelant "hommeattardé", et en lui conseillant de se soigner; conseiller à quelqu'un d'aller se soigner pour des troubles psychologiques est une injure au sens du code pénal.
    Au lieu de relever cette injure, et de défendre hommelibre en rappelant son droit à ne pas être injurié, vous entrez dans le jeu de la provocation. Au lieu de montrer à Nikki que tout ce qui lui reste face à la force de la réalité, c'est la crispation dérisoire des injures, vous entrez dans son jeu, et vous y participez. C'est dommage. Voyez-vous, ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il y a une énorme différence entre la violence et la force. Les gens les plus forts ne sont jamais violents.

  • L'Unifem parle de n'importe quelle forme de violence "Une femme sur trois subira une forme quelconque de violence dans sa vie".
    Elle peut donc aussi venir d'une femme. Il n'y a rien de précisé.

    S'il y a des choses irréfutables, c'est la traite des jeunes filles dans certains pays, les mariages forcés, les viols dans certains pays en guerre, etc. etc.

    Ces chiffres ne dénoncent pas un tel risque dans notre société, il ne faut pas tout mélanger. Je crois que c'est un juste combat et qu'on ne peut objectivement crier au scandale parce que les hommes sont oubliés. Que les informations manquent sur les risques pour un homme d'être victime d'une violence quelconque peut-être. Mais vous n'aurez jamais d'avortements forcés, de mariages forcés (ou nettement moins). Enfin bref, on ne parle pas ici de violences conjugales.

    @hommelibre
    Si certaines femmes se "renient" c'est sans doute par peur du mépris et du rejet. Votre billet n'a-t-il pas un léger on méprisant à l'égard de Kidman ou de son passé du moins?

    @pachakmac
    Mais oui... toutes les femmes ne voient dans les femmes plus jeunes (ou pas d'ailleurs) que des rivales et sont vertes de jalousie. C'est bien connu puisque que nous n'existons qu'à travers votre regard (méprisant).
    Et nous sommes tellement connes et égocentriques que nous ne sommes pas capables d'apprécier la beauté.
    C'est d'ailleurs étonnant qu'il y ait autant de vieilles femmes, enfin quoi! Pourquoi elles ne se suicident pas? Quelle peut bien être leur raison de vivre?

  • Cher et très estimé Lord Acton,

    Au lieu de vous préoccuper de votre prochain, occupez-vous de vous-même, il me semble que vous avez aussi besoin d'une bonne cure. Charité bien ordonnée commence par soi-même.

  • @ Lord Acton

    je reconnais m'emporter, et être un tantinet provocateur.

    Rebonjour Nikki

    je te propose cette lecture pour que tu puisse avoir une approche réaliste de la violence conjugale.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/10/06/violence-conjugale-le-mensonge-incroyable-des-chiffres-conti.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/19/hommes-n-emigrez-plus-au-quebec.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/11/20/violence-conjugale-les-nouveaux-chiffres-confirment-les-mens.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/10/07/chiffres-de-la-violence-conjugale-precisions-sur-le-delire-f.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/21/quebec-anti-hommes-un-juge-denonce-la-politique-de-la-violen.html

  • pouf! pouf!
    Dans ce cas et selon vos critères moraux, de Brigitte Bardot à Romy Schneider en passant par Penelope Cruz et Angelina Jolie, il y a des dizaines d'actrices auxquelles vous pouvez coller votre nouveau label "actrice porno".
    En revanche, la Mère Denis, bien que n'ayant tourné que dans des œuvres mineures et bassement commerciales, garderait la mention "propre en ordre selon hommelibre".
    Il faudrait songer à lui confier un nouveau rôle où elle passerait l'aspirateur…

    :o)

  • @Nikki:
    Je vous rassure, ça ne va pas trop mal. Votre sollicitude me va droit au coeur.

  • Oui! Madame Kidman et la violence conjuguale ont un lien de cause à effet. Regardant ses superbes formes, je m'exclame : de dzou ! elle est bien faite ! Madame était malheureusement à mes côtés. C'est alors qu'une main chaude, animée d'une force colossale, est venue me rappeler la réalité d'un homme marié.
    Jean-Paul

  • Bonjour pascale

    http://next.liberation.fr/article/nicole-kidman-denonce-les-violences-faites-aux-femmes

    "Au cours de l'audience, les responsables d'associations ont dénoncé par les chiffres les violences contre les femmes. Une femme sur trois dans le monde est battue ou violée au cours de dans sa vie. "

    là ce n'est plus une forme quelconque de violences mais battues où violés !!!

    d'ailleurs on appréciera les commentaires aprés !!!

    et la répercusion de ce genre de mensonges !!!

  • "Chagrin d'aaaaamour dure toute la vieeeeee"

    Quand hommelibre s'attaque aux femmes, ces traitresses!, il me rappelle un poème de Sully Prud'homme (eh, oui!) dont voici les 2 dernières strophes:

    Souvent aussi la main qu'on aime
    Effleurant le coeur, le meurtrit ;
    Puis le coeur se fend de lui-même,
    La fleur de son amour périt ;

    Toujours intact aux yeux du monde,
    Il sent croître et pleurer tout bas
    Sa blessure fine et profonde :
    Il est brisé, n'y touchez pas.

    A part cela, je trouve le temps de ce mois d'Octobreb très agréable, pas vous?

  • J'étais en voiture en fin de matinée, et France info tourne presque en boucle le thème de la violence conjugale. Pas une seule fois il n'est fait mention d'hommes victimes. C'est systématiquement la femme battue et l'homme violent. De plus la loi française commence à ressembler au Canada: sur une simple plainte, donc avant même toute enquête, de la conjointe l'homme peut être obligé de quitter le domicile. Au Canada, il suffit à la femme de passer un coup de fil au juge et l'homme est directement emprisonné. On aura le même couplet le 25 novembre, journée des violences faites aux femmes, puis le 8 mars, bref le matraquage ne relâche pas et les chiffres déraisonnables ne sont même plus questionnés ni vérifiés par les journalistes. Ce féminisme-là - dans lequel je ne vous mets pas, Audrey - est une agression sociale et morale permanente contre les hommes.

  • Bonjour Audrey

    "Sans avoir votre "virulence", je suis assez en accord avec vous sur le fait que le manque de précision ne sert pas vraiment la cause et ne permet pas de se faire une idée juste des mesures à cibler. Dans un cas comme celui-ci, on peut même se demander à quel point l'énormité du chiffre ne banalise pas les situations dramatiques qu'il recouvre, d'autant qu'en ne précisant pas son contenu il semble exister comme un chiffre "pur". "

    c'est trés logique et très censé ce que tu écrit.
    ton post est très bien.

    mais je ne pense pas que c'est ce qui se passe, et ça, parce qu'il y a beaucoup de tapage sur ce chiffre.

    on vois bien les réactions par rapport au lien que j'ai mis plus haut.

    bonne journée à toi

  • @ Audrey & Pascale:

    Le chiffre pur est en effet inexcusable. Sans même souligner le fait qu'on ne parle pas des hommes battus, qu'on parle de la violence familiale non dans sa globalité mais de manière univoque.

    J'entends beaucoup d'hommes autour de moi en avoir ras les oreilles. Et si ce thème a tant besoin d'être matraqué sur un plan émotionnel, c'est qu'il a en réalité de la peine à prendre dans le public. Et s'il peine à prendre c'est parce que l'écrasante majorité des femmes ne sont pas concernées et que le phénomène est grandement moindre que ce que ces chiffres exagérés prétendent. Sans compter que l'on n'a pas défini précisément le concept dans ce chiffre de l'UNIFEM. Mais ces chiffres font loi dans les instances européennes et onusiennes, dans de nombreux gouvernement, dans les cours de Justice, et au bout de la chaîne l'homme est automatiquement coupable.

    Que Nicole Kidman reprenne l'argument de la plus grave atteinte actuelle aux droits humains, et qu'elle le dise sans rire, nécessiterait qu'elle aille visiter les pays en guerre en Afrique, où les hommes se font abattre comme des mouches. Qu'elle aille visiter la situation des sans-papiers, majoritairement des hommes à ma connaissance, ou des émigrés clandestins.

    Par contre il est certain que les femmes souffrent beaucoup dans de nombreux pays. J'ai parlé déjà du viol en masse des femmes au Congo, dans ce billet:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/11/02/ma-revue-de-presse-congo-la-honte-obama-piccard.html

    J'ai fait plusieurs billets sur l'excision, qui se pratique dans des régions entières et où presque 100% des fillettes sont mutilées.

    Que l'on cite des chiffres précis, région par région, par type de violence, serait infiniment plus crédible.

    Car les propos de Madame Kidman restent en effet peu crédibles, sauf auprès des sénateurs américains qui ont besoin des voix des femmes pour se faire réélire.

    Certes je mets du piquant dans mon billet, notamment en comparant Nicole Kidman à une actrice porno, ce qu'elle n'est pas plus que Brigitte Lahaye, et il faut bien comprendre que cette criminalisation des hommes, corollaire des propos et des chiffres tenus, sature de plus en plus d'oreilles masculine.

    Je connais votre objectivité à ce sujet Audrey, et je sais que nous n'avons pas de différent fondamental, sauf peut-être des détails de chiffres, sur le fait que la violence familiale, conjugale, n'est pas univoque.

  • @ Nikki:

    A part l'injure, avez-vous des arguments? Car, mais vous ne l'avez peut-être pas remarqué, il s'agit ici d'un vrai débat sur des faits et informations qui sont relatés dans la presse, à l'ONU, à la radio ce matin.

    Donc, s'il vous plaît, des arguments, car si l'injure continue, j'effacerai.

    Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec moi, ou avec ma manière de dire les choses, mais argumentez!

  • Y a pas d'injure mon cher. Je vous donne un bon conseil, c'est tout, libre à vous de savoir en tirer profit ou non.

  • @ Blondesen:

    Vous me donnez une idée: créer un label "hommelibre"!!!

    :o))

    Petit retour en arrière: je pensais aux propos de Madame Kidman depuis une semaine, mais je n'avais pas trouvé comment les commenter dans un billet. Et cette nuit à 2h30, après un rêve intense et intéressant n'ayant rien à voir avec ce sujet, je me suis réveillé avec le billet en tête. Je l'ai donc écrit tel quel, j'ai considéré que ce devait être la bonne formulation. D'ailleurs, par hasard - enfin si le hasard existe - on parle beaucoup de violence conjugale en France aujourd'hui, suite aux propositions de la Ministe Alliot-Marie. Comme quoi...

    Bref, après relecture j'ai réalisé que plusieurs niveaux étaient présents dans ce billet, et que la provoc à l'égard de Madame Kidman en était un à côté de ses propos. J'ai hésité à laisser donc cette provoc, mais avec la manière dont ce billet m'est venu j'ai décidé de le laisser tel quel et d'aller avec ce qu'il susciterait éventuellement comme réactions. Cela n'a pas manqué.

    Bien, sur la question du porno, je vois que l'on peut aller plus loin. Pourquoi dire que le film de Kubrick est de l'art et pas ceux qui passent sur certaines chaînes non câblées à certaines heures? Les scènes d'amour ne sont différentes que parce que dans un cas on a décidé que c'était de l'art, pas dans l'autre. Parce l'un est bien filmé, l'autre pas. Parce que l'un a plus d'éléments de scénario que l'autre. Mais la différence est minime. Alors, en effet, on peut considérer que nombre d'actrices célèbres font du porno soft, ou alors que Brigitte Lahaye ne faisait pas du porno mais du vrai cinéma.

    Il y a une hypocrisie à différencier les deux genres. La notion de qualité artistique devrait faire la différence, mais sur quels critères? Pour pousser encore un peu la provoc, je dirais que le porno hard où l'on voit les organes génitaux n'est que le détail des scènes d'amour que l'on voit dans les films comme EWS, et que le réalisateur n'a pas osé montrer pour ne pas être diffué dans les salles classées X.

    J'épingle Nicole Kidman à cause de sa conversion tardive au puritanisme et de ce refrain ridicule sur le rabaissement des femmes par la nudité à l'écran. Je ne considère aucunement les femmes comme rabaissées parce qu'une actrice dévoile son corps et mime - parfois avec beaucoup de réalisme - des scènes d'amour. D'ailleurs, je ne vois pas pourquoi on laisse encore des baisers à l'écran, car ça peut être très sexuel des baisers. Je pense même, pour aller au bout de la logique, que les femmes à l'écran devraient porter la burqa... (Je précise que c'est du 2e degré, à tout hasard...).

    Ce discours convenu sur la femme-objet est assez mal venu de sa part je trouve. Qu'elle s'assume, qu'elle assume y avoir pris peut-être du plaisir, que personne ne l'a forcée, qu'elle n'a pas été violée pendant les tournages, et qu'elle y a gagné beaucoup, beaucoup d'argent. Cette conversion tient presque du déni à mes yeux, d'où le ton provocateur du tire et d'une partie du billet.

    Pour le reste, chaque femme comme chaque homme décide librement de sa vie, je ne porte pas de jugement moral. Une actrice de porno n'est pas une dépravée à mes yeux. Chacun fait ce qu'il veut de son corps. La vraie morale est ailleurs pour moi.

    Donc, finalement, pas une bonne idée le label.

  • @ Nikki:

    Nous n'avons pas encore gardé les cochons ensemble, même pas sur ce blog. Je ne suis donc pas encore "votre cher". Quand au conseil, avent d'en donner un je vous suggère de vérifier qu'on vous l'a demandé. Je ne prends donc pas.

    Et surtout pas quand le ton se veut un tantinet hautain, genre "je sais ce qui est bon pour vous". Je ne fonctionne pas à ce jeu-là.

  • @ Azrael:

    J'apprécie toujours les textes que vous citez, et celui-ci n'y déroge pas.

    Par contre je ne suis pas convaincu par votre manière de relier ce billet ou ce thème à un chagrin d'amour.

    Et aussi: "Quand hommelibre s'attaque aux femmes,": je ne m'attaque pas aux femmes, mais à un discours d'origine féministe et dont les conséquences sont désastreuses pour les hommes.

    Mais rassurez-vous, j'aime les femmes.

  • "Et s'il peine à prendre c'est parce que l'écrasante majorité des femmes ne sont pas concernées et que le phénomène est grandement moindre que ce que ces chiffres exagérés prétendent."

    Je serais moins affirmative que vous sur ce coup là. Ce n'est pas parce que l'on n'a pas soi-même été touchée qu'on n'a pas à se sentir concernée. J'ai eu un cas dans mon entourage qui me rend peut-être plus sensible à ces questions et du coup assez dubitative (pour ne pas dire plus, par rapport à certaines interprétations, dont celle de la co-responsabilité, dont on ne saurait faire une généralité. D'une toute petite expérience d'une journée, où j'avais tenu un stand sur le sujet, j'ai par contre eu l'impression paradoxale que les hommes se sentaient plus concernés par cette problématique que les femmes, alors même que tout en n'excluant pas que les hommes en soient victimes, nous avions concentré notre action sur le cas des femmes. Les femmes semblaient mal à l'aise face à ce thème, peut-être justement parce que plus directement concernées. Revenait souvent l'idée que ces femmes n'avaient qu'à partir, et que l'on est victime que lorsqu'on accepte de l'être. Je me demande si le même stand sur le cas des hommes n'aurait pas attiré plus de femmes et cette fois la réticence des hommes à travers l'explication d'un "ils n'ont qu'à se défendre, ce sont des hommes après tout". La peur peut aussi conduire à l'incompréhension et à une phénomène du "tous sauf moi".

    Personnellement je dois dire que je me moque des chiffres. Je comprends que dans une visée de politique publique ils ont leur importance et forment des enjeux, mais je ne suis pas à ce niveau et donc peux m'en passer. Je regrette tout de même ce besoin de tout chiffrer où les chiffres deviennent en eux-mêmes le terrain de combat et font oublier les réelles urgences, c'est-à-dire ceux pour qui l'on se bat. Je comprends que l'éloignement du domicile du/de la conjointe dénoncée puisse conduire à des situations dramatiques en cas de fausses accusations. Et je suis toute prête à défendre que ces fausses accusations devrait être sévèrement condamnées, avec des plaintes dissuasives. Mais il faut comprendre aussi que dans certaines situations cela s'avère vitale et qu'on ne peut attendre 3 semaines une enquête de police. Bien entendu on pourrait éloigner la victime, avec toujours le risque qu'il/elle se voit rattraper par l'autre, et avec l'injustice de "punir" (devoir se cacher est une forme de punition) celui/celle qui n'est pas coupable.

    La pesée des intérêts n'est pas évidente. Si l'on se donnait les moyens de poursuivre sévèrement les fausses accusations il me semble néanmoins qu'on pourrait réduire les injustices, tout en se donnant les outils nécessaires à la protection des victimes.

    "Que l'on cite des chiffres précis, région par région, par type de violence, serait infiniment plus crédible."

    Et surtout plus utile, je vous rejoins à 100%. Je pense néanmoins qu'il reste nécessaire dans beaucoup de domaines d'étudier la situation de manière séparée selon les sexes, tout simplement parce que le situations vécues sont différentes, soit selon leurs formes, soit selon leurs implications/origines, etc. Les problèmes humanitaires en matière d'hommes (sans-papiers comme vous le releviez) sont en fait aussi étudiés, mais selon un angle neutre, c'est-à-dire qu'on ne précise pas que ce sont majoritairement des hommes. De là effectivement à faire un classement de ce qui est le pire, c'est ridicule.

    Fondamentalement, la lutte que l'on mène pour les unes ne s'oppose pas à la lutte que l'on mène pour les autres. Au contraire elle devrait permettre de l'amener aujourd'hui sur la place publique comme un thème en soi, sans volonté comparative, mais en affirmant son existence et la nécessité de prendre en charge ses victimes. Visibiliser le phénomène pour faire reculer la honte de ceux qui n'osent pas porter plainte.

  • Audrey, je vous entends bien, et je crois que nous avons un regard assez proche. Je comprends bien que l'urgence de certaines situation nécessite des mesures radicale. Mais en effet il faut contrebalancer cela car le risque d'une utilisation illégitime de cette urgence est bien réel et déjà développé par exemple au Québec.

    Sur la questions des femmes non concernées, je voulais dire qu'il y a pas une quantité telle de violences que cela devienne un sujet habituel. Connaître un cas sur l'ensemble des gens que l'on connaît, c'est peu. Et bien sûr on doit aussi bien délimiter la nature de la violence dont on parle. C'est la plus grave, celle des coups, des blessures, des meurtres, avec destruction psychologique. Mais les dénigrements par exemple ne devraient pas faire partie du concept de violence conjugale. Certains dénigrement peuvent peut-être dégénérer, mais alors il doit y avoir d'autres signes avant-coureurs.

    Sur la fin de votre commentaire: "Fondamentalement, la lutte que l'on mène pour les unes ne s'oppose pas à la lutte que l'on mène pour les autres. Au contraire elle devrait permettre de l'amener aujourd'hui sur la place publique comme un thème en soi, sans volonté comparative, mais en affirmant son existence et la nécessité de prendre en charge ses victimes.", entièrement d'accord.

    On doit poser clairement que la violence n'est pas, ne peut pas être un mode relationnel dans le couple ou la famille. Et que cette violence, contre qui qu'elle s'exerce et quel-le qu'en soit l'auteur-e, n'est pas admissible.

    Je pense que l'on ferait plus de chemin sur les questions et les drames de la violence familiale et conjugale si elle était traitée ensemble et globalement, par pour les femmes plus pour les hommes. Il y aurait là un consensus et un large écho dans la population, à mon avis. La question des chiffres, bien qu'importante pour évaluer les politiques à suivre envers les victimes, seraient relativisée. Ce serait je crois une réelle avancée pour toutes et tous de travailler à cela ensemble.

  • @ Audrey

    "J'ai eu un cas dans mon entourage qui me rend peut-être plus sensible à ces questions et du coup assez dubitative (pour ne pas dire plus, par rapport à certaines interprétations, dont celle de la co-responsabilité" (schimogénése complémentaire) voir les écrits d"'yvon dallaire à ce sujet.

    je pense moi que la co-responsabilité est une généralité.
    et que les PN les jaloux compulsifs sonts une minorité dans la violence conjugale physique.

    et ces femmes co-responsables au yeux des féministes victimaires n'existent pas.
    donc elles savent que quoi quelles fassent, leur compagnon sera toujours le coupable ce qui ne fera qu'augmenter ce type de violences conjugales. et d'aprés les féministes il n'y aurait que des PN etc

    d'ailleurs dans les derniéres propositions de l'état, la médiation est proscrite. ça dérange les féministes.

    "8 juillet : RAPPORT SEXISTE SUR LA VIOLENCE CONJUGALE

    La mission d’évaluation de la politique contre les violences faites aux femmes (et non aux hommes) a rendu son rapport. La présidente est UMP (Danielle Bousquet), le rapporteur est PS (Guy Geoffroy), ce qui montre une fois de plus la complicité active de tous les courants parlementaires dans le déni des violences faites aux hommes.

    Le rapport reconnaît que "De nombreux textes pour la prévention et la lutte contre les violences faites aux femmes existent déjà dans le droit français". Ne serait-il pas temps alors de s’attaquer au vide législatif absolu concernant les violences contre les hommes ? Pas du tout, répondent les parlementaires, qui proposent de nouveaux dispositifs (douze) en faveur des victimes féminines (vraies ou fausses) !

    Le point commun de ces mesures est évidemment qu’elles sont explicitement discriminatoires, puisque les victimes masculines sont exclues de leur bénéfice. La plus spectaculaire est même délibérément anti-républicaine : il s’agit d’introduire dans le préambule de la Constitution une "charte de la dignité de la personne humaine comportant une condamnation solennelle des violences faites aux femmes". Ce qui instaurerait (comme la loi paritaire) deux catégories de citoyens : les femmes relevant de la "personne humaine", les hommes n’en relevant pas.

    Tout aussi discriminatoires, d’autres sont aussi complètement délirantes :

    - "Inscrire un délit de violences psychologiques au sein du couple dans le code pénal" (une notion complètement subjective et invérifiable, donc multiplication des plaintes-bidon) ;

    - "Proscrire le recours à la médiation pénale" (c’est pas bien d’essayer de rétablir le dialogue ?)

    - "Accorder un titre de séjour aux femmes en situation irrégulière" ( avoir un mari violent donne droit à des papiers !)

    Une fois de plus, les parlementaires cautionnent le massacre des 120 000 hommes victimes évalués par l’OND (estimation faible...) et envoient un signal fort d’encouragement aux hystériques et prédatrices diverses à continuer leur sale besogne dans la plus totale impunité."

    Violences conjugales : à qui la faute ?
    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422

    "Personnellement je dois dire que je me moque des chiffres. "

    moi je pense que c'est très important, les chiffres permettent de relativiser, et quand ils sonts exagérés de manipuler l'opinion publique, et quand il n'y en a pas de faire d'un fait divers une généralité.
    et quand on utilise "le tant par mois" ça sort la réalité du contexte, ça permet de dramatiser.

    et du coté de la violence psychologique, beaucoup d'hommes en son seuls victmes dans le couple, victime du mépris de l'irrespect de leur compagne.
    ces femmes attendent que leur conjoint use de fermeté à leur égard.
    mais leur éducation soixante huitarde ne leur a pas appris, leur pére ne le faisait dèjà plus. et puis ils crévent de trouille par rapport aux lois anti-violence conjugale que les féministes onts mis en place.
    cette importante violence psychologique là passe inaperçue, pour les féministes elle n'existe pas, de cette violence là je connais des cas très concrets.

    d'aprés les féministes la seule violence psychologique existante envers les femmes évidement.
    serait celles de PN, assez malins pour ne jamais user de violences physique, et ces PN seraient une proportion importante, étonnant quand on sait que les PN sonts une minorité parmi les hommes usant de violences physiques.

    http://www.affabulatio.com/archive/2006/02/18/ou-est-le-pouvoir-de-domination-dans-le-couple.html

  • "On ne peut dire quelque chose d’aussi grave sans preuve, puisque le corollaire de cette affirmation est qu’un homme sur trois, et davantage, est un salaud, un agresseur, un criminel? "

    Vous en doutez encore ?

  • @ Dano

    "On ne peut dire quelque chose d’aussi grave sans preuve"

    tu est bien naif tu ne connais pas le niveau de mensonge donts sonts capables les féministes exemple.

    http://www.lapresrupture.qc.ca/300000.html

    Lind Mc Leod n'a jamais eu un grave probléme de conscience d'annonçer 300000 femmes battues au québec.

    elle a dit ça ultérieurement.

    "Mme McLeod, celle-là même qui avait inventé le chiffre magique de 300,000 femmes battues au Québec déclare: Mon estimation n'avait aucun semblant de validité ou de fiabilité statistique, je n'avais accompli aucune acrobatie statistique. Pourtant, je me sentais sûre de ce chiffre parce qu'il reflétait une réalité qui avait corroborée par les estimations de ceux qui et celles qui travaillaient sur la ligne de front. C'était une supposition admise; je n'ai jamais prétendu que ce soit autre chose (page 13 des actes du colloque Violence envers les femmes; la controverse des chiffres )"

    chiffres réels nous sommes loin des 300000

    "2004 : 8 décembre Dans une conférence de presse pour annoncer le plan d'action gouvernemental pour contrer la violence conjugale, quatre ministres québécois nous annonce soudainement que " en 2002, 16 729 personnes soit 14 209 femmes et 2 520 hommes, ont rapporté avoir été victimes d'un acte criminel dans un contexte de violence conjugale." (ces chiffres proviennent de la Déclaration Universelle de Criminalité 2 de l'année 2003 du Ministère de la sécurité publique) "

  • Ah purée il me les brise ce leclerqu!!!!!!

    C'est clair que pas être d'accord avec son conjoint, provoquer un conflit ou quoique ce soit d'autre justifie le fait de se faire taper dessus!!! Si certains (nes) utilisent la violence c'est parce que ce sont des abrutis compulsifs qui ne savent pas s'exprimer autrement quand ils ressentent de la frustration! Et venez pas me dire que c'est la faute du conjoint en face! Je rêve!

    "ces femmes attendent que leur conjoint use de fermeté à leur égard.
    mais leur éducation soixante huitarde ne leur a pas appris, leur pére ne le faisait dèjà plus."

    Ouais.... d'ailleurs j'attend ça depuis toute ma vie, me faire dresser par un mec... je ne peux pas vivre sans... abrutie que je suis incapable de m'autogérer... user de fermeté... j'hallucine... vous avez pété une durite ma parole!
    bref...

  • @leclercq

    Il n'y a absolument aucun rapport entre ce que j'ai écrit et ce que vous répondez, pourtant je n'avais écrit que 4 mots !
    Ca ne me dérangerait pas trop si vous n'écriviez "tu es bien naïf"
    Commencez par essayer de comprendre avant de répondre et surtout de juger...(je ne parle même pas du tutoiement)

  • Bon, bon, Pascale. Avant de lire la suite des comm qui est longue comme la liste de comm de ma maman quand j'étais enfant, je tiens à dire ici que je n'ai aucun mépris pour les femmes d'âge mûr. Au contraire, si la jalousie ne s'en était pas mêlée, la femme de mes enfants que j'aimais de toute ma passion et de tout mon coeur aurait toujours eu le dessus sur une plus jeune qu'elle. Elle me trompait, me mentait, me..., et un jour j'ai eu le coup de foudre pour une plus jeune...que je n'ai vu que deux fois...suite à l'interdit de mon ex de la revoir. Cela n'a pas empêché notre histoire d'amour de se terminer lamentablement. Une "vieille" comme vous dites n'est pas vieille quand elle sait rester Lolita dans l'âme au lieu de devenir une mégère pas apprivoisée du tout. Chacun ses torts dans un divorce. Je le redis. L'amour est plus important pour moi que la jeunesse d'une beauté sculpturale. Et refaire sa plastique par chirurgie ne me préoccupe pas autrement. La femme que j'aime est comme elle est. Dans mon cas, c'est elle qui voulait se refaire les seins. J'ai aussi sacrifié à mon travail pour cela, pour que mon ex se sente bien dans sa peau. En fait, elle voulait surtout se sentir bien vis-à-vis des autres...ou alors j'avais tout faux. Car les femmes le diront toujours à leur mari après X années de mariage: "Vous les hommes, vous avez toujours tout faux". Sentiment de persécution? Que dalle. Juste que, comme dit hommelibre, les femmes sont chahutées entre les machos et les religieux qui les veulent à eux et rien qu'à eux, et les acteurs pornos qui les partagent sans aucun romantisme. Et au milieu, il y a des idiots de mon espèce qui tentent autre chose mais qui sont comme des nuls, des ratés de l'histoire moderne des médias. Ils n'apparaissent nul part dans la mémoire des journalistes bien qu'ils produisent un gigantesque travail de fond. Sans ma hargne de sportif, sans mon amour pour les femmes et les enfants, je ne serais pas là en train de vous écrire, chère Pascale. Bonne soirée à vous. Sans rancune. Je comprends votre réaction. Vous me connaissez si peu dans ma provocation.

  • STOOOOOOOOOP!!!!!!

    Bon, là je saute sur le début de bagarre avant que ça ne dérive trop. A mon avis cela part d'un malentendu: dano n'a pas voulu dire ce que leclercq a cru comprendre. Cas typique de malentendu. Où il faut s'expliquer. Moi-même je ne suis pas sûr d'avoir compris dano. Comme je vous ai déjà lu ailleurs, j'ai l'impression que vous n'êtes pas opposé à ce qui se dit ici, mais la formulation me laisse en question.

    Dano: pourriez-vous reformuler vos 4 mots, si vous le voulez bien? Je ne veux pas me méprendre.

  • PS: et évitons les petites phrases qui empoisonnent, siouplé!!!...

  • @ Pachakmac:

    Votre travail de fond contribue à dessiner peu à peu d'autres paysages. Il n'y a pas d'échec.

  • Merci de demander.
    Ca me paraissait pourtant clair.
    Je demandais si cela était si difficile d'envisager qu'un homme sur 3 est un salaud.

  • Ok c'est ce que j'avais compris. Alors tout dépend du sens qu'on donne au mot salaud. par rapport au billet, le salaud est ici soit un violeur soit un cogneur. Et je ne pense pas qu'un homme sur trois soit cela. Certainement pas.

  • D'accord, mais on peut être un salaud sans cela, et il y a des moyens de faire mal aux autres, et surtout aux femmes, sans forcément les violer ou les cogner.
    Je suis désolé d'être succinct mais je dois interrompre cet échange pour un moment.

  • Merci hommelibre. Oui. Je le sais, je le sens enfin grâce aux nombreux lecteurs et lectrices qui affluent sur mon blog. Cela est un petit miracle de la technologie internet que je maîtrise mal. Depuis que j'ai mon mini-portable (juin 2009) je peux enfin surfer plus souvent et visiter d'autres sites. C'est un peu de ma faute, tout ça. Mais quand même, il y a deux, trois journalistes qui auraient quand même pu le voir avant que je commence à me brancher internet. Ils sont pardonnés même si, peut-être, ils me diront encore de mauvaise foi qu'ils n'ont rien à se faire pardonner. C'est la vie. Le mur est franchi. Je voyage à l'intérieur d'une foule de visiteurs et de visiteuses dans un silence quasi parfait avec juste quelques échos de ci de là. C'est assez étrange cette sensation de savoir qu'il y a des fantômes vivants qui viennent et vont, libres comme l'air de vous respirer ou non.

  • @ dano:

    ok on continue plus tard, moi aussi je vais être interrompu un bon moment. Juste une chose: Salaud autrement, bien sûr, et faire du mal à l'autre, bien sûr. On verra de quoi vous voulez parler, mais ma première idée est qu'il y a des salauds et des salaudes, c'est assez partagé. (Je n'aime pas le mot salop..).

  • @ Leclercq

    "je pense moi que la co-responsabilité est une généralité."

    Vous pouvez pensez ce que vous voulez, de mon vécu, des témoignages que j'ai pu entendre de sources vérifiées, je sais que c'est loin d'être le cas, qu'il existe des situations avec des gens qui pètent les plombs pour un oui ou un non. Que celles/ceux qui ont été violents de manière répétée avec leur précédente compagne/compagnon le sont généralement avec le suivant. Parce que cette violence est en eux, résulte de problèmes psychologiques, voire psychiatriques, qui sont les leur.

    Qu'on parle des hommes ou des femmes, je crois qu'il est très grave de dire à des victimes qui se sont fait démontées la face qu'ils/elles l'ont peut-être un peu cherché. Je ne parle pas des scènes de bataille où chacun donne des coups, mais d'une violence physique unilatérale, qui peut être le fait d'hommes ou de femmes. Parler de co-responsabilité, c'est introduire l'idée que le recours à de la violence physique peut s'expliquer par le comportement d'un tiers ce qui, sauf légitime défense, n'est jamais le cas. Cette violence doit être condamnée. Tabasser quelqu'un n'est jamais excusable.

    @ homme libre

    Je relève juste deux points ou je vous suis un peu moins. Le cas de la violence psychologique est effectivement difficile à cerner, et peut introduire le risque de tout mélanger. On ne peut néanmoins dénier que les menaces de violence, même sans passage à l'acte, peuvent occasionner des troubles graves chez celle/celui qui en est victime, et l'handicaper dans sa vie de tous les jours. Sans compter qu'une menace peut toujours être mise à exécution.

    Pour le traitement parallèle des deux sexes je ne sais pas. Il faudrait déjà voir pour cela, au travers d'études, si la violence conjugale a les mêmes ressorts qu'elle soit pratiquée par un homme ou par une femme, ce qui impliquerait donc qu'on puisse faire une sensibilisation similaire, et prévoir le même type de traitement. Comme la chose est peu médiatisée, je ne connais honnêtement pas d'étude approfondie sur les auteures féminines de violence conjugale. Séparer les questions peut parfois se révéler judicieux pour mieux cibler l'action, mais il est vrai que combattre les deux en même temps éviterait de perdre du temps dans une querelle des chiffres.

  • @Audrey:
    Je n'ai pas suivi tout l'échange sur la "co-responsabilité", et il est clair que certaines personnes "pètent les plombs" plus vite et plus souvent que d'autres. Il est vrai aussi que les femmes sont physiquement plus faibles (par convention sociale, me direz-vous ;-)) et que par conséquent elles méritent une protection.
    Cela dit, on ne peut pas, de nos jours, s'intéresser à la violence et ignorer que celle-ci est une relation, pas plus qu'on ne devrait s'intéresser à la violence conjugale sans tenir compte de toute l'escalade de la violence qui conduit au coup-qui-laisse-des-traces.
    Le dénigrement est souvent injurieux, et il relève déjà, lui aussi, du code pénal. Les voies de fait, gifles, et coups-qui-ne-laissent-pas-de-trace, sont eux aussi des comportements pénalement réprouvés. Toute cette zone grise de la violence conjugale (notamment la violence psychologique dont les femmes sont les spécialistes - dénigrement du statut social, dénigrement des capacités sexuelles - ce sont pourtant, très souvent, des injures) échappe aux statistiques. En criminalisant seulement le coup-qui-laisse-des-traces, on ignore la réalité anthropologique de la violence et on introduit un déséquilibre majeur dans l'administration de la justice.
    Tabasser quelqu'un n'est pas excusable, mais injurier quelqu'un non plus. Après, évidemment, il est plus grave de frapper quelqu'un que de l'injurier. Mais à partir du moment où les parties à une dispute entrent dans la spirale de la violence et l'alimentent toutes les deux, il est injuste de ne punir que celui qui frappe le plus fort.

  • @Audrey:
    Vous voyez, si l'on observe le débat qui a lieu en France sur les conditions de travail dans certaines grandes entreprises, on voit bien que l'environnement et l'accumulation de brimades sont pris en compte pour expliquer des comportements de violence contre soi-même (suicides au travail). Personne ne dit que ces entreprises n'ont rien à voir avec ces suicides. Personne ne dit que les travailleurs sont les seuls responsables de leur acte. Là, on reconnaît la co-responsabilité (alors même que les brimades et les violences psychologiques ont certainement pris des formes très légales et très aseptisées). Pourquoi serait-il impossible qu'il y ait co-responsabilité lorsqu'une personne frappe son conjoint?

  • Bonsoir Boo

    la schimogénése complémentaire ce n'est pas ça

    "C'est clair que pas être d'accord avec son conjoint, provoquer un conflit ou quoique ce soit d'autre justifie le fait de se faire taper dessus!!! Si certains (nes) utilisent la violence c'est parce que ce sont des abrutis compulsifs qui ne savent pas s'exprimer autrement quand ils ressentent de la frustration! Et venez pas me dire que c'est la faute du conjoint en face! Je rêve! "

    c'est ça

    "Le cercle vicieux de la violence
    La violence est la conséquence d'une dynamique relationnelle inter¬active due à l'incapacité des deux partenaires à développer une intimité empreinte de respect et d'appréciation des différences existant entre l'homme et la femme. Comment expliquer, autrement, que la violence a tendance à se répéter à l'intérieur d'un même cou¬ple? Comment expliquer qu'une femme battue par un conjoint se retrouve avec un deuxième conjoint, parfois même un troisième, qui exercera lui aussi de la violence ? En accusant tous les hommes d'être des violents (ou des violeurs) en puissance ? Ou en supposant une co-responsabilité des deux conjoints dans la construction d'une situation qui mène immanquablement et inexorablement à l'explo¬sion émotive et physique ? Pourquoi dit-on qu'il faut être deux pour se disputer, mais qu'on n'ose pas poser le même diagnostic lors de violence conjugale? Pourquoi les policiers arrêtent-ils l'homme lorsque des voisins appellent pour tapage dans l'appartement d'à côté? Pourquoi, sur simple allégation de sa conjointe, des maris passent-ils régulièrement la nuit en prison ? Parce que notre esprit humain, conditionné par la notion du bien et du mal, fonctionne de façon bipolaire et recherche donc un coupable et une victime. Tout cela ne peut qu'entretenir le cycle infernal de la violence.
    Est-ce si difficile d'admettre qu'en dehors des situations où l'agres¬seur^) puisse être mentalement et profondément perturbé(e), il y
    a toujours deux victimes dans les cas de violence conjugale (sans compter les enfants témoins de cette violence) et deux co-créateurs de cette escalade vers l'explosion physique, peu importe le sexe de celui ou celle qui passe finalement à l'acte. Le refus ou la négation de cette double responsabilité constitue un obstacle à la prévention de la violence conjugale.
    Les travaux rapportés par le psychologue Daniel Goleman ont levé un voile sur la genèse de la violence relationnelle des « ennemis intimes » en disant tout d'abord que les scènes de ménage font beau¬coup moins peur aux femmes qu'aux hommes, celles-ci étant mieux pourvues biologiquement pour gérer le stress. Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire. Cette submersion se manifeste par de nombreux signes physiologiques: sécrétion d'adrénaline, augmentation de la tension artérielle, accélération du rythme cardiaque, tensions musculaires... La deuxième étape de l'escalade survient lorsque, pour retrouver son calme, l'homme se retranche dans le silence ou s'éloigne de sa parte¬naire en sortant de la pièce: c'est alors que toutes les réactions phy¬siologiques décrites pour l'homme se déclenchent chez la femme. Pour elle, la solution consiste à rétablir la communication pour régler le différend, alors que pour lui, c'est l'inverse. L'une poursuit, l'autre fuit. Plus elle s'accroche, plus la tension monte chez l'autre; plus il garde le silence, plus il provoque, inconsciemment et involon¬tairement, l'acharnement de sa conjointe. Plus il lui dit d'arrêter , plus elle l'injure. C'est l'impasse, qui se termine malheureusement trop souvent par la perte de contrôle des réactions physiques de l'un ou de l'autre. Cette dynamique inter-relationnelle qui génère la vio¬lence conjugale a aussi été démontrée par le psychiatre Robert Levenson et le professeur de psychologie John Gottman
    Gregory Bateson a nommé «schismogenèse complémentaire» la réaction en chaîne par laquelle la réponse de l'un des partenaires
    à la provocation de l'autre entraîne des comportements réciproques toujours plus divergents. Cette escalade se produit parce que les hommes et les femmes ont des sensibilités différentes et qu'ils vivent dans deux mondes tout à fait différents, avec des attentes et des croyances différentes face au couple.
    Tant et aussi longtemps que les femmes ne prendront pas leur part de responsabilité dans la genèse de la violence conjugale, elles resteront impuissantes, dépendantes des changements de leur partenaire et soumises à leur bonne volonté. Est-ce vraiment cela que les femmes désirent? J'ose croire que non. J'ose croire que les femmes peuvent prendre conscience qu'elles ont des besoins, des priorités et des ressources qui leur sont propres et qu'elles prendront la responsabilité des stratégies à utiliser pour satisfaire ces besoins, faire valoir leurs priorités, sans «sataniser» celles de l'homme, et exploiter positive¬ment leurs ressources au profit d'elles-mêmes, du couple, de leurs enfants et de la vie en général. Est-ce que je m'illusionne ? Ne pourrait-on pas exploiter l'expertise des centres d'accueil pour femmes au profit des hommes battus et l'expertise des groupes d'entraide pour hommes violents au profit des femmes violentes ? "

    ""ces femmes attendent que leur conjoint use de fermeté à leur égard.
    mais leur éducation soixante huitarde ne leur a pas appris, leur pére ne le faisait dèjà plus."

    Ouais.... d'ailleurs j'attend ça depuis toute ma vie, me faire dresser par un mec... je ne peux pas vivre sans... abrutie que je suis incapable de m'autogérer... user de fermeté... j'hallucine... vous avez pété une durite ma parole!

    nulle part dans mes écrits le mot dressage est employé.

    mais quand il y a irrespect, insulte dénigrement, la fermté est nécessaire !!!

    "9. Les attentes légitimes de l'homme face à sa partenaire
    Comme tous les hommes, vous êtes prêts à faire beaucoup pour la femme que vous aimez, lui décrocher la lune s'il le faut (même si elle ne le vous demande pas). Si vous voulez vivre heureux avec
    une femme, vous avez des stratégies efficaces à développer, un mode d'emploi à apprendre, être à son écoute... Mais vous avez aussi des droits, des privilèges, des limites à faire respecter. Vous devez apprendre à vous tenir debout lorsque son comportement est inacceptable, qu'elle vous critique sans cesse et cherche à vous con¬trôler en vous imposant sa façon d'éduquer les enfants, de gérer l'argent, la sexualité, les activités sociales, ou veut aussi vous dire comment conduire votre carrière ou votre auto. Vous ne devez jamais user de violence, car vous perdriez votre fierté personnelle et votre estime, mais vous devez utiliser la fermeté, faire preuve d'assertion, vous diront les psychologues, lorsque nécessaire."

    et t'inquiéte pas je n'ai pas pété une durite.

  • @ Audrey

    "Que celles/ceux qui ont été violents de manière répétée avec leur précédente compagne/compagnon le sont généralement avec le suivant."

    on peut dire aussi, pour des femmes que quel que soit le compagnon avec qui elles sonts il y a de la violence conjugale.

    "Parce que cette violence est en eux, résulte de problèmes psychologiques, voire psychiatriques, qui sont les leur."

    tout à fait ça existe ça s'appelle des pervers narcissiques, où des jaloux compulsifs.

    ces gens là refusent de se soigner, d'aller en médiation.

    d'ailleurs sur le lien que j'ai mis sur la médiation, il n'y a que 126 couple sur 133 qui onts acceptés la médiation c'est un signe.


    "Qu'on parle des hommes ou des femmes, je crois qu'il est très grave de dire à des victimes qui se sont fait démontées la face qu'ils/elles l'ont peut-être un peu cherché". si elles ne l'onts pas cherché, elles n'onts pas un fonctionnement de co-auteurs de leur violence conjugale.
    si elle onts un fonctionnement de co-auteur quelles se fassent soigner, parce que c'est un peu simple de pousser à bout son compagnon, ju'usqu'a ce qu'il péte les plombs, et de s'en tirer avec un chéque en blanc en disant, il n'a pas su se maitriser, c'est l'unique coupable, yvon dallaire l'explique très bien dans mon post au-dessus !!!!

    d'ailleurs cet été les nouvelles mesures ne veulent plus de médiation, ben oui s'il y a médiation c'est reconnaitre que les deux sonts co-auteurs, et ça les féministes victimaires ça les dérange beaucoup.

    j'ai un ami qui travaille à l'acceuil de personnes défavorisées, comme par hasard toutes les femmes battues qu'il cotoie onts un comportement de co-auteur.

  • Bonsoir Dano

    "Je demandais si cela était si difficile d'envisager qu'un homme sur 3 est un salaud, un agresseur, un criminel."

    oui c'est difficile, les québecois onts bien eu la naïveté de croire pendant de nombreuses années qu'ils y avait 300000 femmmes battues par an au québec, ils n'onts pas le monopole de la naïveté.

    dans le lien que j'ai mis plus haut l'UNIFEM annonce quand même que le tiers des femmes seronts victimes d'hommes violents où de violeurs. devant l'ONU
    de grossir les chiffres ne les inquiéte pas, alors qu'il y a en moyenne 2,5% de femmes victimes de violences physiques dans les pays occidentaux.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/10/06/violence-conjugale-le-mensonge-incroyable-des-chiffres-conti.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/19/hommes-n-emigrez-plus-au-quebec.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/11/20/violence-conjugale-les-nouveaux-chiffres-confirment-les-mens.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/10/07/chiffres-de-la-violence-conjugale-precisions-sur-le-delire-f.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/21/quebec-anti-hommes-un-juge-denonce-la-politique-de-la-violen.html

  • TEUFEL,HL, la si il y a une lune déjà scintillante à regarder, je ne regarde point le doigt qui la pointe, mais le cu-cul, qui tend le doigt pour la montrer!

  • Ah, teufel! Et pour le "a court de"... Vous êtes vraiment comme la lune, HL! Le jeux qui con siste à les "poser sur la table", tellement de votre époque... Ca vous rassure?

  • Leclercq vous nous dites que si un jour vous devenez cocu ou divorcé, c'est que vous l'aurez un peu cherché, chacun son truc

  • Unt je n'ai pas l'outrecuidance d'exiger que vous ecriviez pour me plaire, mais il n'y a que les grands gourous, (puisqu'il s'agit aussi d'Australie) pour piquer la mouche si on leur donne un avis dix verges Han! (voyez, je peux changer d'altitude, et desscendre au niveau de vos sous-entendu, aber démonstration, j'ai l'impression désagréabéle de déchoir),effectivement, au suivant! Aber plus dans votre Guyana, j'aime pas l'orangeade!

  • Homme libre ce n'est pas une "lubie" mais un transfert que vous nous faites, votre véhémence relève de la souffrance et de la colère, puissiez vous la dépasser. Mais bon, chacun ses combats.

  • @ sarl:

    Pas d'accord. J'ai toujours mené des combats, pour une certaine vision de l'humain, contre la maladie et les difficultés des gens, et ce combat-ci a aussi du sens. Ce ne serait un transfert que si ce que je décris n'existait pas. Mais les propos de Nicole Kidman en montrent une fois de plus la réalité.

  • @ redbaron:

    Vous vous faites votre film tout seul là. Votre projection en salle close semble bien rouler. Même l'insulte y figure. N'aurais-je pas le droit de vous répondre, Monsaigneur? Ou bien dois-je avaler sans rien dire votre nächste méprisant? Me laisser dénigrer par vous sans savoir pourquoi et dire merci? Vous laisser dire que mon billet n'a pour but que de faire de l'audience? (hum... jalousie?)? Vous tirez sans sommation un nächste qui sonne comme un déni de mon billet, vous insinuez une course à l'audience histoire de dévaloriser le thème qui suscite un réel débat, et ensuite vous jouez la victime? Je ne prends pas.

    C'est assez classique en Europe que de tenter d'appuyer sur la tête de ceux qui veulent la sortir hors de l'eau. Cours, cours, camarade, le vieux monde est toujours à tes côtés. C'est ce que je vois dans vos propos, et si cette phrase pourra être ressentie désagréablement, c'est intentionnel. Je n'ai pas à vous prêter ce que vous ne montrez pas. Je pense que vous savez très bien utiliser ce mécanisme de laisser d'autres vous attribuer ce que vous ne dites pas ou ne montrez pas, mais pour ma part je n'y donnerai pas. Mais j'admets que le chemin pour sortir des jeux de pouvoir est souvent long, et que nous puissions être contradictoires. Comme nous ne le voyons pas toujours nous-même, c'est bien que d'autres nous le disent.

    Mais je n'ai rien vu d'utilisable pour moi dans vos invectives, et je vois que vous signez et persistez. C'est typique des gourous ou des dominants de ne pas savoir présenter leurs excuses ni faire leur autocritique quand ils déconnent. J'aurais pourtant apprécié, et ce n'aurait pas été déchoir, au contraire. Je l'ai fait envers vous de mon côté, après vous avoir une fois blessé. Je ne me suis pas senti déchoir. Cela me paraissait normal et juste. Cette connotation déchoir vous appartient. Et, à propos, mon "à court de munitions" était plutôt un clin d'oeil humoristique, vu le personnage que vous vous êtes attribué, le thème de votre blog et les images qui l'ornent. Mais quand bien même c'eût été une pique, elle valait bien la vôtre.

    Au fait, qui pique la mouche, là? Qui joue au pouvoir? Miroir, miroir...

    Traitez-moi de gourou si cela vous amuse, en plus avec référence à celui qui a tué ses 900 adeptes. J'attendais de vous un peu plus de réflexion. Mais je vous ai prêté là quelque chose que vous ne montrez pas, je me suis laissé prendre au mécanisme. Cela dit, la référence à Guyana, je trouve cela entre très grave et délirant. Et également méchant et tordu. Disons, sans passion, assez décalé. Mais ça m'est égal, je vous aime bien. Mais dorénavant je me méfierai de vous. Je ne vous ouvrirai plus ma porte avec la même sympathie dans le coeur.

    Mais, allez, nächste...

  • Bonjour sarl

    "Leclercq vous nous dites que si un jour vous devenez cocu ou divorcé, c'est que vous l'aurez un peu cherché, chacun son truc"

    je ne suis pas de ton avis, la réalité c'est que les femmes quittent les hommes quelles ne respectent pas, elles veulent un homme qui leur tienne tête pas une lavette, ne pas confondre les discours quand elles disent ce quelles veulent et ce quelles veulent vraiment.

    "Messieurs, ne soyez pas dupes des injonctions contradictoires des femmes. Elles vous parlent d’égalité, de partage des tâches, elles se veulent libres et indépendantes. Et c’est en effet ce dont elles ont besoin. Comme elles ont besoin de cette figure rassurante de l’homme protecteur, autoritaire, assumant ses devoirs et symbolisant la loi ; "

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article12

  • Des drames entre amis... C'est l'existence et nos rapports humains qui perturbent le sens de nos relations. Pourquoi un amour se transforme-t-il en haine alors que rien ne le présageait? Pourquoi un ami devient-il un frigidaire à notre coeur alors que tout semblait rouler et baigner dans le spectacle d'un coucher de soleil romantique. Disputes, séparations, parfois réconciliations. Il en va de la vie comme dans le sport. Des grandes équipes se font et se défont. Des amitiés géantes naissent, d'autres meurent dans la détestation de l'Autre. Mystère de la vie. Mystère de nos relations. Je vous aime bien. J'aime bien Redbaron et sa folie maîtrisée. On se fait du mal, parfois. Qui aime bien, châtie bien aussi. Dit-on. Bonne journée et bon week-end d'Halloween...

  • @ Lord Acton

    Relisez-bien mon intervention pour leclercq, je n'ai pas dit qu'il n'y avait jamais de co-responsabilité, j'ai dit que ce n'était pas forcément une généralité, comme celui-ci voulait le faire entendre.

    La violence conjugale n'est pas qu'une question de force physique. Comme le montre le cas des hommes battus (qui pourtant pourraient logiquement "frapper plus fort"), la violence conjugale est d'abord une question d'ascendant que l'on a sur l'autre. Une femme peut très bien se servir d'un objet, ce qui met à niveau les deux partenaires.

    Dans le cas de France Télécom, je reste pour ma part très partagée. Certes l'entreprise doit se remettre en question pour ses pratiques, mais peut-on réellement la rendre responsable d'un geste qui reste le plus personnel? En droit on parle de causalité naturelle et de causalité adéquate pour juger de la responsabilité d'un acte: dans ce cas il y a donc peut-être causalité naturelle (si France Télécom n'avait pas mis la pression, ces personnes ne se seraient peut-être pas suicidées), mais à mon sens pas de causalité adéquate, c'est-à-dire que France Télécom ne pouvait pas objectivement savoir qu'avec ses méthodes, des personnes allaient commencer à se suicider en masse. On ne peut pas mettre en accusation ici France Télécom pour homicide.

    Les personnes restent responsables de leurs actes et l'on ne peut mettre sur le même niveau la violence psychologique et physique, ni établir de lien d'adéquation entre les deux. Certaines personnes sont plus sensibles que d'autres à la critique, au mouvement d'humeur à la séparation, etc. et la justice ne peut malheureusement pas entrer dans cette subjectivité. Sans compter qu'on peut toujours répondre au dénigrement par le dénigrement, alors que passer à la violence physique c'est passer de soi-même à une étape bien supérieure. Il ne faut pas mélanger circonstances atténuantes (faiblesse psychologique momentanée, dénigrement de l'autre) et co-responsabilité de l'acte.

    @ Leclercq

    Une médiation peut-être profitable si les deux compagnons se tabassaient de manière réciproque. Ensuite, si seul l'un des deux a porté des coups, ou que cette personne a répondu par un tabassage en règle absolument pas proportionné à la violence subie, cette personne doit être JUGEE, car frapper quelqu'un, y compris dans un cadre domestique, est un acte qui relève du pénal et est poursuivi d'office. De la même manière, si dans une bagarre de rue à coup de poings vous sortez une arme et abattez votre adversaire non armé, il est à croire que vous serez certainement jugé pour meurtre, même si c'est l'autre qui a commencé. On doit donc bien offrir un suivi psychothérapeutique à ces personnes mais la justice doit aussi rappeler la loi et les limites que celle-ci pose afin de responsabiliser l'auteur-e des faits, lui permettre de comprendre son geste dans une logique rationnelle, et ce afin d'apprendre à se maîtriser.

    Pour le "pousser à bout" je vous renvoie au message d'avant. Rien n'empêche ceux qui sont victimes de violence psychologique de partir avant que de tabasser ou tuer l'autre. De la même manière, une femme violentée, ou qui aurait subi des menaces et qui tirerait sur son compagnon froidement serait jugée. Le code pénal ne reconnaît que la légitime défense, ce qui reste heureux, sinon on en finirait plus avec les vendetta, ou on serait soumis à la loi du plus fort ou du mieux armé.

    Enfin il faudrait savoir si l'on parle de co-responsabilité ou de co-auteurs ce qui est là un glissement plus que pervers. En droit l'auteur-e d'un fait est celui qui l'exécute. J'imagine peu une femme, ou un homme, tenir le couteau en même temps que son compagnon/sa compagne pour se le planter...

  • Quand Leclercq joue à Mel Gibson ;-)

  • Bonjour Audrey

    "Une médiation peut-être profitable si les deux compagnons se tabassaient de manière réciproque. Ensuite, si seul l'un des deux a porté des coups, ou que cette personne a répondu par un tabassage en règle absolument pas proportionné à la violence subie"

    "Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire. Cette submersion se manifeste par de nombreux signes physiologiques: sécrétion d'adrénaline, augmentation de la tension artérielle, accélération du rythme cardiaque, tensions musculaires... La deuxième étape de l'escalade survient lorsque, pour retrouver son calme, l'homme se retranche dans le silence ou s'éloigne de sa parte¬naire en sortant de la pièce: c'est alors que toutes les réactions phy¬siologiques décrites pour l'homme se déclenchent chez la femme. Pour elle, la solution consiste à rétablir la communication pour régler le différend, alors que pour lui, c'est l'inverse. L'une poursuit, l'autre fuit. Plus elle s'accroche, plus la tension monte chez l'autre; plus il garde le silence, plus il provoque, inconsciemment et involon¬tairement, l'acharnement de sa conjointe. Plus il lui dit d'arrêter , plus elle l'injure. C'est l'impasse, qui se termine malheureusement trop souvent par la perte de contrôle des réactions physiques de l'un ou de l'autre. Cette dynamique inter-relationnelle qui génère la vio¬lence conjugale a aussi été démontrée par le psychiatre Robert Levenson et le professeur de psychologie John Gottman "

    dans ce cas très courant d'écrit, la réponse n'est pas proportionnée à l'attaque. et l'homme sera seul jugé. et pourtant la femme est bien co-auteur de la violence dans le couple, elle a besoin de prendre conscience de son fonctionnement, c'est comme ça que l'on fera baisser ce type de violence.
    "On doit donc bien offrir un suivi psychothérapeutique à ces personnes"
    tu a tout à fait raison, ces femmes doivent avoir un suivi psychothérapeutique.
    et ce n'est pas ce qui est fait actuellement. le seul credo c'est l'homme unique coupable. sans se poser la question du fonctionnement du couple.

    "Rien n'empêche ceux qui sont victimes de violence psychologique de partir avant que de tabasser ou tuer l'autre."
    tout à fait rien n'empêche, et pourtant ce n'est pas souvent ce qui se passe, les séparations interviennent toujours beaucoup plus tard quand le mal est fait.

    j'ai un cas concret intéressant, j'ai une amie avec qui je prends le train
    qui avait cette attitude avec son mari, propos insultants des deux cotés, un jour il n'a plus répondu aux insultes, de son coté elle a redoublé dans la violence de ses invectives, et puis un jour il est venu avec un avocat, il a demandé le divorce.

    un autre, dans doctissimo, une femme qui parlait de sa mére, un post en réponse au texte sur le cercle vicieux de la violence.
    sa mére fonctionnait exactement comme dans le schéma décrit.
    elle changeait souvent d'hommme et tous elle les poussait à bout j'usqu'a que la violence physique arrive.

    "En droit l'auteur-e d'un fait est celui qui l'exécute"
    bien vu, erreur de ma part, la femme n'est pas co-auteur, mais co-créateur de cette violence, co-reponsable.

    Bonne journée Audrey

  • Rebonjour Audrey.

    j'ai récupéré le texte ci-dessous dans le site "la cause des hommes " aurait-tu une idée pourquoi le recours à la médiation serait proscrit dans les mesures annoncées ?

    ""8 juillet : RAPPORT SEXISTE SUR LA VIOLENCE CONJUGALE

    La mission d’évaluation de la politique contre les violences faites aux femmes (et non aux hommes) a rendu son rapport. La présidente est UMP (Danielle Bousquet), le rapporteur est PS (Guy Geoffroy), ce qui montre une fois de plus la complicité active de tous les courants parlementaires dans le déni des violences faites aux hommes.

    Le rapport reconnaît que "De nombreux textes pour la prévention et la lutte contre les violences faites aux femmes existent déjà dans le droit français". Ne serait-il pas temps alors de s’attaquer au vide législatif absolu concernant les violences contre les hommes ? Pas du tout, répondent les parlementaires, qui proposent de nouveaux dispositifs (douze) en faveur des victimes féminines (vraies ou fausses) !

    Le point commun de ces mesures est évidemment qu’elles sont explicitement discriminatoires, puisque les victimes masculines sont exclues de leur bénéfice. La plus spectaculaire est même délibérément anti-républicaine : il s’agit d’introduire dans le préambule de la Constitution une "charte de la dignité de la personne humaine comportant une condamnation solennelle des violences faites aux femmes". Ce qui instaurerait (comme la loi paritaire) deux catégories de citoyens : les femmes relevant de la "personne humaine", les hommes n’en relevant pas.

    Tout aussi discriminatoires, d’autres sont aussi complètement délirantes :

    - "Inscrire un délit de violences psychologiques au sein du couple dans le code pénal" (une notion complètement subjective et invérifiable, donc multiplication des plaintes-bidon) ;

    - "Proscrire le recours à la médiation pénale" (c’est pas bien d’essayer de rétablir le dialogue ?)

    - "Accorder un titre de séjour aux femmes en situation irrégulière" ( avoir un mari violent donne droit à des papiers !)

    Une fois de plus, les parlementaires cautionnent le massacre des 120 000 hommes victimes évalués par l’OND (estimation faible...) et envoient un signal fort d’encouragement aux hystériques et prédatrices diverses à continuer leur sale besogne dans la plus totale impunité."

    Violences conjugales : à qui la faute ?
    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422

    Bonne journée Audrey

  • Bonjour Leclercq,

    L'exemple de votre ami montre parfaitement qu'il est possible de répondre en toute légalité aux attaques psychologique de son/sa partenaire. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est le devoir d'un-e adulte responsable à qui l'on reconnaît la capacité de discernement. La violence physique n'est donc pas une suite logique, et il n'y a, je suis désolée, pas de co-responsabilité d'un point de vue pénal. De la même manière, un homme ne serait pas jugé co-responsable parce qu'il a fait remarquer avec dénigrement à sa femme qu'elle avait grossi et que, face à cette violence psychologique, celle-ci l'a éborgné à coup de poele.

    Les potentielles caractéristiques physiologiques masculines (qui restent par ailleurs à prouver, l'impulsivité et la sensibilité étant plutôt bien distribuées entre les sexes) ne peuvent pas fonctionner comme explication. On en revient à l'affaire décrite il y a quelques jours par homme libre où un homme s'est vu réduire sa peine car on lui aurait décelé des caractéristiques génétiques le poussant à la violence. Dans un Etat de droit les règles du jeu se doivent d'être claires. A moins de troubles mentaux, il n'y a donc pas d'irresponsabilité pénale. On ne va tout de même pas commencer à dresser un profil génétique à la naissance de chaque enfant pour lui signifier ses droits et ses devoirs.

    Je me suis déjà expliquée sur le problème de la médiation. Lorsqu'il y a eu violence physique, l'Etat se doit de poursuivre les actes de violence. Rien n'empêche ensuite les couples qui le désirent de poursuivre une thérapie conjugale, mais ce n'est pas à l'Etat de l'imposer. Son devoir est de punir les infractions, pas de maintenir des couples, qui ne s'entendent pas, ensemble. Vous savez Leclercq, lorsqu'il y a un procès pour violence conjugale, on entend aussi la victime et le-la coupable a le droit de donner sa version des faits. Dès lors, il peut déjà y avoir prise de conscience de ce qui a conduit à la violence, tout autant que dans une médiation.

    Quant aux lois, je comprends mal la partition pour les hommes OU pour les femmes. En Suisse, les lois concernant la violence conjugale sont au moins présentées d'une manière unisexe, c'est-à-dire qu'elles ne précisent pas le sexe de l'auteur-e de l'infraction, ni celui de sa victime. Le problème réside plutôt dans un manque de sensibilisation qui fait que les victimes masculines ne sont souvent pas prises au sérieux, ou anticipent cette déconsidération et renoncent donc à porter plainte. Il y a un manque de structures aussi. Mais les lois sont les mêmes.

    "Accorder un titre de séjour aux femmes en situation irrégulière"

    ...on appelle cela de l'humanité et est appliqué aussi aux hommes. L'asile se fonde sur la reconnaissance du fait que la vie de la personne peut-être sérieusement menacée dans son pays d'origine. Pour autant il n'est pas question d'accorder de blanc seing puisque la menace à la vie doit être prouvée. Dans le cadre de l'asile, c'est toujours à le-la requérant-e de prouver qu'il devrait être accepté.

    Il est donc normal de ne pas renvoyer une femme clairement battue dans un pays qui ne lui offre aucune protection, ou pire ne reconnaît pas la violence conjugale comme une infraction pénale. Le fait que le site de la cause des hommes relève mesquinemment qu'il devrait en être autrement me pousse donc à avoir quelques questions sur sa propre humanité...

    Très bonne journée à vous aussi

  • Il n'empêche que j'ai beau parcourir les dossiers concernants l'UNIFEM, il n'est mentionné nulle part que ces chiffres concernent uniquement la violence conjugale.
    Je prends un exemple sur les chiffres mentionnés pour l'Ethiopie:

    "Les femmes en Éthiopie
    Les mutilations génitales touchent 73 pour cent des femmes et des filles. Les enlèvements suivis de mariages forcés sont très répandus. 33 pour cent des femmes mariées avaient moins de 15 ans au moment de leur mariage. Les femmes sont touchées par le VIH/SIDA plus durement que les
    hommes. La pauvreté concerne en premier lieu les femmes, les violences domestiques également."

    Ce que je retiens:
    Avec des chiffres pareils, c'est sûr qu'une femme sur trois ça peut paraître crédible au niveau mondial,
    Les violences domestiques concernent en premier lieu les femmes.
    Ce qui induit que les hommes aussi. Enfin c'est comme ça que je le perçoit.

    @pachakmac
    Je vous connais un peu :-) c'est pas la première fois que je réponds à vos provocs.
    Et pis une provoc c'est fait pour ça non? S'il n'y a personne pour répondre, c'est ennuyeux.
    Pour le reste, je ne crois pas à ce que je dis, soyez rassuré. Pour moi une femme mûre est bien dans sa peau lorsqu'elle regarde la "relève" avec bienveillance et un certain attendrissement.
    Alors ces trucs de jalousie, suis évidemment pas d'accord. La vie est courte, et on a putain pas l'temps d'avoir des regrets! Teufel ;-)

    :-B

  • Je doute un peu que cela puisse détendre l'atmosphère (purée, comme dit l'un de mes fils, voilà que le nom d'Arletti me revient à l'esprit), mais je vous prie de bien vouloir considérer un instant la violence que la vie (y compris la mort) nous inflige à tous à intervalles plus ou moins réguliers pendant quelques décennies, car là il y a du cent pour cent.
    P.S. Réconciliez-vous, s'il-vous-plaît, pour que je puisse (et vous aussi) mieux jouir de ces quelques derniers jours ensoleillés.

  • Encore une petite réflexion: la mode qui consiste à avoir recours à des personnalités du monde artistique ne date pas d'aujourd'hui, ni de hier d'ailleurs. Elle permettait déjà à des enfants de rire des pitreries de Danny Kaye, aux femmes américaines de mieux supporter l'absence de leurs maris en admirant Clark Gable en aviateur pendant la World War II, et à des Gi's d'admirer les courbes de Marilyn pendant la guerre de Corée ou du Vietnam, pour ne prendre que quelque exemples de l'époque de vos grands-parents (profitez d'en discuter avec eux, s'ils sont toujours en vie).
    A l'époque il n'était cependant pas question de leur demander d'exprimer une opinion trop spécifique sur les grandes questions de morale, de politique ou d'économie mondiale. Les temps ont changé et n'importe quelle personne ayant acquis quelque notoriété dans le métier, donc aussi Nicole Kidman, peut se trouver devant la tâche redoutable d'exprimer un avis sur n'importe quel sujet d'actualité ou à la mode, devant un public devenu mondial grâce à la télévision. Comment s'étonner dans ces conditions que certains, voulant et croyant bien faire, profitent de l'occasion qui leur est ainsi donnée pour porter à l'attention du monde entier l'état de leur réflexion sur un sujet qui les touche peut-être, par expérience personnelle ou non et poussés par ces circonstances à une réflexion personnelle sur la vie et leur vie à un moment donné, nous exposent alors au meilleur comme au pire.
    Inutile de me faire remarquer que c'est peut-être simplement un conseiller en communication engagé par l'agent de la vedette qui lui a concocté un message ad hoc.

  • Je m'immisce dans le dialogue entre Leclercq et Audrey:

    D'un côté j'entends bien qu'il y a beaucoup de situations où la violence est co-crée. Que ce soit dans un couple ou entre de simples connaissances, d'ailleurs. L'un dit un mot, l'autre monte, etc. On le voit dans les altercations dans la rue.

    Il y a 3 semaines j'étais derrière une voiture arrêtée à un Céder le passage doublé d'un passage piéton. Une jeune femme passe sur le passage piéton en poussant son vélo. J'étais surpris qu'elle traverse particulièrement lentement, mais bref, pourquoi pas. L'automobiliste devant s'impatiente et klaxonne. La jeune femme s'arrête devant l'auto et lui lance une phrase que je n'ai pas entendue, mais visiblement pas contente d'être mise sous pression. Comme elle reste immobile devant la voiture, l'homme ouvre sa fenêtre et lui lance une phrase visiblement ponctuée de mots pas très agréables. Elle commence à s'énerver, son visage devient celui d'une furie, et les insultes pleuvent de part et d'autre, à qui criera le plus fort. A un moment elle va vers la fenêtre côté droit, ouverte, et se penche à l'intérieure jusqu'au thorax. Je ne sais pas ce qu'elle a voulu faire, elle gesticulait dans l'habitacle, bref, ça tournait au pugilat. J'ai eu peur pour les deux et j'étais prêt à intervenir. Finalement elle ressort la tête, toujours en criant, et comme la voie était libre l'homme a démarré.

    S'il y avait eu des coups, des blessures, ou un démarrage pendant qu'elle avait la tête dans la voiture, où aurait été mise la responsabilité? Je me suis posé la question en roulant. La femme avait-elle une raison de traverser si lentement? J'en ai eu l'impression car elle a réagi au quart de tour au klaxon, comme si elle s'y attendait. Mon sentiment est que peut-être elle avait une rogne contre les voiture et provoquait le conflit. Mais je ne peux le prouver. Par contre la violence est montée très vite des deux côtés. Qu'est-ce qu'un juge aurait fait en cas d'atteinte physique?

    Il aurait dû charger davantage l'auteur-e initial des blessures, car sur ce point nous sommes responsables de nos actes. Cela doit rester: même si l'autre provoque, il ne nous a pas obligé de frapper. Mais aurait-il tenu compte de la provocation et de la virulence de l'autre protagoniste?

    Sur cet aspect, l'auteur d'un délit est celui qui le commet, quelles que soient les circonstances. Cela c'est fondamental, on ne peut en sortir sans quoi un jour on pourrait tuer quelqu'un en prétextant que la pluie qui durait depuis 3 jours nous avait mis de mauvaise humeur et donc que la météo est responsable du crime! On n'est obligé à rien tant qu'on n'a pas un pistolet sur la tempe. Après il y a des aménagement à ce principe, mais il ne peut fondamentalement être renversé.


    L'autre aspect suite à vos échanges est que je rejoins Audrey sur le point qu'il y a des personnes perturbées assez gravement pour passer à l'acte sans provocation extérieure. Il y a des faits de violence conjugale sans co-création. De même les criminels n'ont pas eu automatiquement une enfance malheureuse pour devenir des criminel.

    Je pense qu'il faut essayer de rester responsable de soi, de revendiquer presque cette responsabilité, car nul ne nous oblige à agir contre notre conscience par exemple.

    Les questions de manipulation mentales sont par contre plus délicates. Je trouve qu'on en fait trop en déresponsabilisant les gens. Les victimes de la scientologie ont bien voulu y aller parce qu'elles avaient une avidité de changement de vie ou autre, donc elles ont choisi. Après, les méthodes d'escroquerie doivent être démontrée.

  • @ Pascale:

    En effet il y a des pays où plus d'une femme sur trois est victime de maltraitance, l'excision ou les mariages forcés en sont des démonstrations. Mais cela donne-t-il une statistique mondiale de 1 sur 3? Ce n'est pas démontré. En Afrique noire, on ne pratique que très peu, dans quelques pays, l'excision ou le mariage forcé. Les femmes africaines sont très autonomes et décidantes. De plus, en s'adressant au Congrès américain, l'objectif était de faire pression pour voter des lois aux Etats-Unis, où il ne saurait y avoir une femme sur 3 victime.

    Donc un tel chiffre doit être fondé, nuancé selon les régions. Ce qui n'enlève rien à la souffrances des victimes. Mais on ne peut criminaliser les hommes à l'infini en amalgamant toute la planète à quelques pays.

    Mais encore une fois, dans ces pays-là en particulier, il y a un très gros problème de société dans la maltraitance et l'irrespect envers les femmes.

  • @ Mère:

    J'ai besoin de vérifier une chose. Quand vous écrivez: "Réconciliez-vous, s'il-vous-plaît, pour que je puisse (et vous aussi) mieux jouir de ces quelques derniers jours ensoleillés.", voulez-vous parler de redbaron et moi-même, ou de Leclercq et d'Audrey? Si c'est le premier cas, je ne vois pas comment pour le moment.

  • Parce qu'on est fâché? Curieuse idée ;-)

  • Je suis parti un peu brusquement hier.
    La spirale infernale: Travail, Trafic, Tâches ménagères, TV: je ne suis pas un homme libre !
    De retour sur cette page, je ne m'y retrouve plus dans le fil de la discussion, et franchement, tout relire...il y a quelques longueurs.
    Il me semble néanmoins, HL, que vous focalisez sur cette crainte de voir tous les hommes criminalisés, mais dans le fond, 1 sur 3, 1 sur 4, 1 sur 10, ce n'est pas là l'important. Pareil pour violeur, frappeur, harceleur, salaud.
    Il est un moment où il est bon de laisser la nuance de côté pour aller à l'essentiel: le monde est majoritairement une vaste saloperie plus ou moins organisée, et l'homme, ce salaud, n'y est certainement pas pour rien.
    En affirmant ça, je n'exclus certes pas la femme, mais franchement, qui commande, dirige, gouverne, coupe la parole, hurle, klaxonne, viole, frappe, fait son malin, et généralement nous pourrit l'existence avec sa violence larvée et sa connerie bornée ?
    Le mâle (OK, à 80, 90, 99% encore une fois qu'est-ce que ça change qu'il n'ait pas le monopole ?)
    Vous admettez vous-même qu'il y a un grand problème de société dans la maltraitance et l'irrespect envers les femmes (vos mots).
    C'est cela qui est important/préoccupant, pourquoi alors ce besoin de précision ? Pour pouvoir contester les chiffres, pour se dire, on n'est pas tous comme ça (mais personne ne l'affirme sinon des extrémistes)? Craindriez-vous à ce point d'être assimilé à un violeur, à un frappeur ???
    Montrez plutôt que l'homme n'est pas obligé d'être ainsi, qu'une majorité ne l'est pas, ce sera toujours préférable à ce que je perçois comme une solidarité d'oppresseur: qu'est-ce qu'elle nous font chier ces connes de féministes, d'où sortent-elles ces chiffres, peuvent pas se contenter de leur shopping/ménage/commérage (OK vous dites scientologie et montrer son cul, mais l'idée est sensiblement la même) ?
    Pour conclure, autant le monde a besoin de plus de solidarité, autant celle-là, on peut s'en passer.

  • @hommelibre
    Mon souhait avait une valeur générale, car j'ai eu l'impression que le blog commençait à ressembler furieusement, quelques insultes en moins, aux échanges sur les sujets religieux. Généralement je m'arrête de lire lorsque les éléments émotionnels l'emportent nettement sur les échanges d'information et d'arguments. Dans le cas présent je me suis peut-être arrêté trop vite, sentant les choses tourner à l'aigre. Je dois reconnaître cependant, que votre échange violent avec redbaron m'a particulièrement peiné, puisque j'ai toujours eu moi-même des échanges que l'on pourrait qualifier d'amicaux avec vous aussi bien qu'avec lui, sans vous connaître ni les uns ni les autres en dehors de ce lieux particuliers (ou arènes pour certains) que les blogs nous offrent.
    Cependant je ne tiens pas à m'en mêler plus que cela. Plus j'avance en âge, plus j'ai horreur des cris et des disputes et me contente de celles, hélas inévitables, que les difficultés de l'éducation des enfants nous imposent parfois bien malgé nous. Je n'écris donc pas par sagesse, mais plutôt par égoïsme et fatigue nerveuse. "Peace and love" me trouvé-je presque à chanter, comme à l'époque de Woodstock, où certains planaient bien que leurs pieds soient solidement embourbé dans la m... Notre position dans le monde est toujours encore le même, n'est-pas, même s'il est plus convenable et plus sain de (pour un abstinent des diverses drogues comme moi, du moins) de remplaçons "planer" par "élever le débat".

  • "pour le moment" est pour moi une partie importante de votre message et j'espère qu'il est partagé par d'autres.
    En ce qui concerne les discussions intellectuelles, je ne suis pas certain qu'il s'agisse de cela en l'occurrence.

  • Bonsoir Audrey (moi c'est franck)

    "L'exemple de votre ami montre parfaitement qu'il est possible de répondre en toute légalité aux attaques psychologique de son/sa partenaire. Ce n'est pas toujours facile, mais c'est le devoir d'un-e adulte responsable à qui l'on reconnaît la capacité de discernement. La violence physique n'est donc pas une suite logique, et il n'y a, je suis désolée, pas de co-responsabilité d'un point de vue pénal."

    tout à fait d'accord il n'y a pas co-responsabilité du coté pénal, mais dans le conflit qui a amené la violence physique si.

    "l'impulsivité et la sensibilité étant plutôt bien distribuées entre les sexes)

    oui mais pas l'aptitude à gérer le stress. c'est daniel Goleman qui le dit !!!

    "Les travaux rapportés par le psychologue Daniel Goleman ont levé un voile sur la genèse de la violence relationnelle des « ennemis intimes » en disant tout d'abord que les scènes de ménage font beau¬coup moins peur aux femmes qu'aux hommes, celles-ci étant mieux pourvues biologiquement pour gérer le stress. Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire.

    " Vous savez Leclercq, lorsqu'il y a un procès pour violence conjugale, on entend aussi la victime et le-la coupable a le droit de donner sa version des faits. Dès lors, il peut déjà y avoir prise de conscience de ce qui a conduit à la violence, tout autant que dans une médiation."

    tout à fait mais c'est trop tard une médiation aurait été plus utile avant.

    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422

    il serait plus utile de faire des efforts pour soigner la violence conjugale au lieu de soigner les victimes !!!

    "Je me suis déjà expliquée sur le problème de la médiation."

    j'ai loupé cette explication elle est dans quel billet ?

    Bonsoir pascale

    Homme libre a répondu avant moi, ma réponse aurait ressemblé, je pense moins claire, je reconnais humblement que je n'ai pas sa culture.

    je rajoute juste, L'ENVEFF donne un taux de 10% de violences conjugales en mélangeant tout et n'importe quoi.
    les journalistes le tranforme sans vergogne en 10% de femmes battues. qui devent 20 puis 30%.

    Bonsoir Hommelibre

    " Il y a des faits de violence conjugale sans co-création."

    bien sur qu'il y en a les PN les jaloux, je pense qu'il sonts une minorité parmi les 2 à 3% de femmes victimes de violences physiques en occident.

    Bonsoir dano

    "En affirmant ça, je n'exclus certes pas la femme, mais franchement, qui commande, dirige, gouverne, coupe la parole, hurle, klaxonne, viole, frappe, fait son malin, et généralement nous pourrit l'existence avec sa violence larvée et sa connerie bornée ?
    Le mâle (OK, à 80, 90, 99%)"

    je ne vois pas ce que commander et diriger vient faire dans la violence.
    et t'inquiéte pas, les derniéres enquêtes au canada le prouve pour ce qui est de la violence c'est assez bien réparti entre hommes et femmes.

    tu est bien aveugle pour croire que les femmes sonts des saintes comme tu le crois, où tu a trop bien avalé leurs discours de culpabilisation sur les hommes.
    je te conseille un ouvrage dont tu a bien besoin homme et fier de l'être d'yvon dallaire ça t'ouvrira un peu le yeux.

    " à ce que je perçois comme une solidarité d'oppresseur:"
    t'a été chercher ça où n'importe quoi. il est inadmissible qu'un tiers des hommes soit considérés comme des cogneurs, alors qu'il n'y en a qu'une minorité, dont la plupart poussé à bout par leur compagne, du genre de femme qui quel que soit l'homme avec qui elle sonts ça fini en violence physique.

    "Vous admettez vous-même qu'il y a un grand problème de société dans la maltraitance et l'irrespect envers les femmes (vos mots).

    on ne peut pas parler de grand probléme de société quand ça ne touche que 2,5 % de femmes dans les pays occidentaux, je parle de violence physique.
    et de ces 2,5 ce sonts la plupart du temps des disputes de couples qui dégénérent. employer de tels termes c'est du tapage mensonger de féministes !!!
    et puis fléau aussi pourquoi pas

  • @hommelibre
    La différence entre ce que je perçois et ce que vous dénoncez est justement révélée par l'exemple de l'excision.
    Elle est la plupart du temps pratiquée par des femmes sur des femmes, les hommes ne sont donc pas montrés du doigt dans ce cas comme les bourreaux.

    Lorsque je lis cet appel pour dire non à la violence que subissent les femmes, dont serait susceptible d'être victime dans sa vie une femme sur trois, je ne vois pas une accusation des hommes en particuliers.

    Je crois simplement que c'est une réalité, une femme a plus de "chances" d'être victime de violence. Et ça, non pas parce que les hommes sont tous violents.

    Je connais une femme qui a été salement tabassée par sa mère.
    Ma fille a subi des agressions par d'autres filles à l'école.
    Une mère seule qui a peur de son ado parce qu'il devient menaçant et dont le père est absent.(Vous pouvez croire ce que vous voulez, mais un père battu par sa fille, ça doit être extrêmement rare.)

    Les femmes n'en ont pas l'exclusivité, on est bien d'accord, il y a des hommes battus, des garçons battus, ...
    Mais si on rajoute à ça les pays ou la condition des femmes est plus que précaire, les pays en guerre avec les horreurs commises que l'on connaît, quand je lis ce truc d'une femme sur trois, je ne pense pas que les hommes sont des barbares, je pense juste que ces violences doivent cesser dans la mesure du possible, qu'elles viennent d'hommes ou de femmes, je m'en fous, je n'attaque pas un sexe en particulier (sauf quand tout de même comme dans une certaine religion la femme est traitée comme une merde).

    Ce que je vous reproche dans cette montée au créneau, c'est de vouloir faire passer ce genre d'appel comme anti-hommes, alors qu'à mon sens, vous seriez diablement plus efficace en aplaudissant des deux mains et en ajoutant, mais à ce propos, dénonçons aussi les violences subies par les hommes et ne les oublions pas.

    :-B

  • Très cher Homme Libre, « nachste », avec lequel je quitte mes commentaires parfois, je l’admets n’est pas accompagné de l’article der, ou die, tant il est évident pour moi, que sa position à la fin d’un message signifie « à la prochaine » (« die ») et non point « au suivant » (« der » nachste, le prochain, en fait), et c’est bien la première fois que quelqu’un le prend comme un « au suivant » de recrutement chanté par Brel.
    Votre « saigneur » laissera de côté toutes choses qui pourraient trancher, et gardera les mains dans ses poches. Il utilisera le stylet (oui, c’est comme ça que l’ont appelé les inventeurs de cet engin, mais sa pointe ne piquerait pas une mouche) de sa palette graphique, qui lui tient lieu de souris, avec ses dents, ainsi vous n’aurez pas l’impression d’être mordu, ceci afin de faire un copier/coller, une « lettre de motivation » des commentaires provenant d’une jalousie extrême, de quoi je ne le sais, mais d’une jalousie ou d’une aigreur, qualificative très à la mode depuis l’abandon des états d’âmes. Je copie et je colle, donc…
    « De toute façon une star veut de l'audience à tout prix, cher redbaron, ne vous trompez pas de cible. Regardez la lune, pas le doigt qui la montre. Quand à moi, je n'ai pas besoin de simplement "faire de l'audience", je me porte bien, je vous remercie. »
    Argument un, les stars, il en existe quine veulent pas faire de l’audience, qui la font en excerçant juste leur talent. Il en est qui le veulenet à tout prix. Je vous laisse le soin de faire le tri. J’ai mon avis et aucune envie de le partager. Et je ne ciblais rien en particulier, ni n’avais de visée.
    Argument deux, « regardez la lune etc., » est devenu un «diktaton», zen peut-être mais un diktaton quand-même, je me suis permis d’en créer un autre. S’il vous paraît tel une insulte, je m’en excuse beaucoup, très beaucoup.
    Ca va comme ça? Ah oui, pour le reste aussi je m’excuse! Et aussi pour tout ce qui peut ou a pu déborder de l’infinie sagesse du savoir qui sait, et aussi des débordements potentiels qui pourraient se trouver dans ce commentaire. Il est évident que la réponse que vous nous avez faites (si, «nous», relisez-vous, quand vous aurez le temps) devait être reçue comme une bonne leçon, c’est chose faite. Je l’inscrit sur les tables de la loi.
    Comment dire, à la prochaine, heu, «à la prochaine»? Non ! Je m’incline, ô Homme Libre.

  • Ah, et j'oubliais Homme Libre, je ne "m'abonne pas au fil de discussion", je survole les blogs et les commentaires par-ci par-là, (ne voyez pas une quelconque attaque dans le mot "survole", je survole un peu partout, je déambule, je dérive même, etc.) ce qui fait que parfois, je suis absent, et donc une part m'échappe, ou alors je commente en retard, etc. Pas sérieux ce redbaron, tsk,tsk!

  • @ Mère, le dernier commentaire ci-dessus, est écrit afin d'expliquer le "pour le moment" de HL. Je ne me sens pas tenu de revenir lire les commentaires aux commentaires que j'ai laissé, ni des commentaires ajoutés si le sujet ne m'intéresse plus. J'y vais mollo, là, je ne veux froisser personne.

    Au vôtre, celui sur la distinction (sic...:-)...)entre l'artistique et le porno, juste sur le fragment concernant les réalisateurs qui coupent ou ne tournent pas des scènes, mon grain de sel à moudre, est qu'il s'agit peut-être plutôt des producteurs. Quant aux acteur et actrices, ils sont souvent "tenus" par contrat, à se présenter aux interview etc., et ceci sur indication de leur contractant. Et dès lors il faut bien parler, même pour ne rien dire, et répondre aux questions "tendances" des journaliste. Il s'agit là encore d'une histoire qui tient du merveilleux monde du commerce.

    Bien à vous Mère, et si les jours certes raccourcissent, qu'ils n'en soient pas moins brillant.

  • @Red baron Merci de vos éclaircissements ... bien que vous ne m'en deviez pas. Mais c'est toujours l'occasion de se dire bonjour. Quant à la première partie du passage sui suit "Au vôtre, celui sur la distinction (sic...:-)...)entre l'artistique et le porno, juste sur le fragment concernant les réalisateurs qui coupent ou ne tournent pas des scènes" il ne doit pas s'adresser à moi, puisque je n'ai rien dit à ce sujet. Mais j'en ai tellement assez de lire les échanges qui n'en finissent pas sur des sujets qui les causent inévitablement, que je n'ai pas pu détecter à qui revient cette remarque. Ce n'est donc pas moi qui vous reprocherais de survoler; simplement je tiens à préciser que je ne me suis pas exprimé sur le sujet de ce qu'il est convenu d'appeler la "porno", en étant rassasié depuis l'époque du procès contre le "Lady Chatterley's Lover" déjà.
    Au prochain survol, donc, l'oeil toujours brillant et la trajectoire folle s'il le faut.

  • Redbaron, merci pour ces précisions. J'apprécie que nous puissions nous en expliquer et que vous en ayez pris l'initiative.

    Sur le nächste, je l'ai vu régulièrement chez vous. Parfois j'y vois bien ce que vous dites: "à la prochaine", ou aussi "à la suite". Parfois, il vient après des propos où, dans mon ressenti, il prend le sens de "passons à autre chose", tendance "pas la peine d'insister", sous-tendance "no way". Dans celui qui nous intéresse, après un si court commentaire où l'essentiel semblait être de me reprocher de chercher à faire de l'audience, sans tenir compte du contenu, je l'ai ressenti en effet comme "rien à foutre", "passons à autre chose que ce truc qui ne mérite même pas qu'on s'y arrête", ou aussi comme le suivant de Brel, recrutement en moins.

    Cela m'est apparu ainsi d'autant plus que vous souscriviez au comm de Blondesen qui se plaçait là en donneur de leçons - d'où le "vous" intentionnel. Donc pas besoin de me relire sur ce point.

    Bien, je comprends maintenant que ce n'était pas votre intention. Dont acte et apaisement.

    Sur l'argument du doigt et de la lune, il me semblait réellement approprié à ce moment-là, dans ce contexte. C'est un argument que j'utilise très, très rarement. Si cela se trouve, ce ne soit être que la deuxième fois - et même pas sûr - sur la totalité de mes billets et commentaires. Je n'en fais pas un Dick Tâton, car dans un texte ou un billet il peut toujours y avoir plusieurs lectures.

    On m'a déjà traité de gourou, c'est l'insulte habituelle des années 90, où dès que l'on parle de l'humain sans être sorti de l'Université on est suspect. Ceux qui me connaissent bien en rigolent. Que ce soit dans les soins naturels, dans l'enseignement ou dans le coaching, je ne cherche qu'à proposer les outils et circonstances qui font que chacun se réalise par soi-même, sans imposer une quelconque croyance - à part bien sûr les thèmes de la naturopathie, ce qui me semble la moindre des choses dans une fonction d'enseignant: transmettre des données et des concepts. Mais une de mes phrases est: ne rien croire sans l'avoir expérimenté par soi-même. Et en dehors de ma fonction, délimitée par mon cabinet ou la salle de cours, je suis simplement moi-même, humain avec ses bugs et ses clartés, bref très lambda au fond. Juste un peu atypique dans mon parcours. Je précise tout ceci car le qualificatif de gourou est comme une fin de non-recevoir, une esquive de la discussion sur le fond, ce que je trouve très frustrant. Il est drôle jusqu'à un point, mais moins drôle quand il biaise la communication authentique, et encore moins drôle quand il fait référence à Guyana. Je le comprends d'autant moins que dans d'anciens échanges, il me semble que nous avons quelques idées communes ou souhaits communs sur la non-domination, sinon sur la forme au moins sur le fond.

    Je vous remercie pour les excuses réparatrices, que j'accueille volontiers. L'incident est clôt.

    Un dernier détail, juste pour le clin d'oeil que vous mettez en toute fin de votre billet - clin d'oeil certes mais pas si innocent: je ne sais que faire quand on s'incline devant moi. Je me retourne pour voir derrière moi à qui cela s'adresse, car je ne suis pas dans ce type de relations avec les gens.

    Allez, nächste!

  • @ Hommelibre,

    Vous devriez savoir depuis le temps que les peoples surtout de tendance à gauche détiennent la vérité absolu,lors de leurs engagements pour les bonnes causes.

    Pas étonnant qu'avec ce genre de discours,certaines femmes se prennent des baffes par des hommes.

    D.J

  • Bonjour DJ
    je comprends pas bien avec quel genre de discours ce n'est pas étonnant que les femmes se prennent des baffes."

    «Une femme sur trois" va être victime de "violence sous une forme ou une autre" au cours de sa vie, a souligné mardi la star australienne âgée de 40 ans au siège de l'ONU à New York. Autant dire une statistique "inouïe", qui ne représente cependant pour l'UNIFEM que la partie émergée de l'iceberg."est-ce ce discours là ?

    on appréciera la partie imergée de l'iceberg !!!

    où celui-làhttp://next.liberation.fr/article/nicole-kidman-denonce-les-violences-faites-aux-femmes

    "Au cours de l'audience, les responsables d'associations ont dénoncé par les chiffres les violences contre les femmes, Une femme sur trois dans le monde est battue ou violée au cours de dans sa vie."

    personnellement je n'ai jamais vu une enquête honnête arrivé à de tels chiffres et de là a affirmer que ce n'est que la la partie mergée de l'iceberg, c'est carrément de l'affabulation, ça fait comprendre à qu'elqu'un qui n'est pas naif, le grossier mensonge et le bourrage de crane dans ces chiffres, c'est du même style que les 300000 femmes battues au québec par an, ça fait juste voir que l'honnêteté, la vérité n'impuiéte absolument pas ce type de féministe, même en haut lieu, il n'y a que leur cause qui compte, en haut lieu ils s'imaginent encore et la population aussi, que parler à ce niveau, c'est avoir une honnêteté intellectuelle, mais c'est un fonctionnement d'homme, pas de femme qui veut avoir le dernier mot et faire avançer sa cause et qui est prêtes a tout pour ça.

  • Navré de le dire ou de la répéter: si Nicole Kidmann se trouve personnellement pour quoi que ce soit dans ce qu'elle a dit en public, ce qui n'est de loin pas certain, c'est dû au bien-penser qui a envahi l'Australie, allié, plus gravement, au culte de l'alcool qui règne encore dans ce pays, ses clubs sportifs et ses écoles supérieures.

  • ... et dont elle a fait l'expérience volontaire dans le choix de son dernier mari.
    C'est tout à fait son droit, d'ailleurs, cela n'enlève rien aux autres qualités de celui-ci, mais ne devrait pas envahir sa perception générale du monde.

  • Prenons quelque utile distance : dans le cas du film Eyes Wide Shut, ce genre d'oeuvre d'art cinématographique ne peut être perçue uniquement au premier degré. Dans le cas de Stanley Kubrick et de sa très forte personnalité, on aborde tous les aspects d'un baroquisme cultivé avec une immense virtuosité.

    Eyes Wide Shut est un somptueux opéra baroque où tout le monde a l'air de jouer au sexe sans s'impliquer physiquement d'une manière trop explicite, sans jamais tacher la moquette. Certains ont même reproché à Kubrick d'avoir voulu faire passer un message puritain, décrivant les impasses génésiques d'une grande bourgeoisie blasée. Autrement dit les choses ne sont pas si simples qu'il pourrait paraître ...

    Face aux plus grands réalisateurs tels que Fellini, Kubrick ou Lars von Trier, dont le génie déborde très franchement du cadre habituel, il faut s'efforcer de ne pas décortiquer leur oeuvre selon les critères bien-pensants qui organisent officiellement notre société.
    Ce qu'ils produisent sont des oeuvres d'arts, des allégories. De tels artistes ont tous les droits, même celui de cultiver un apparent mauvais goût propre à tous les talents visionnaires.

    Autrement dit, il est absurde d'accuser ici Nicole Kidman de pornographie, là où elle n'est que le pinceau qui caresse la toile, et l'instrument fantasmatique de la main inspirée qui le dirige.

  • Bonjour mère

    "Navré de le dire ou de la répéter: si Nicole Kidmann se trouve personnellement pour quoi que ce soit dans ce qu'elle a dit en public, ce qui n'est de loin pas certain"

    je comprends pas tout là ç'est comme si c'était une autre qui parlait alors pas elle, finalement elle n'est pas lucide mais naïve, une pauvre bécasse innocence.
    parce quelle est trop bête pour assumer ce quelle dit.
    euh c'est quoi qui est son droit de soutenir les féministes misandres.
    quand elle dit ça.
    "Une femme sur trois va être victime de violence sous une forme ou une autre au cours de sa vie"

    elle sait très bien que ça va être compris par une femme sur trois est battue dans les pays occidentaux. homme libre la très bien compris dans le post qu'il a écrit plus haut.

    d'ailleurs on voit bien les réponses dans le forum du lien ci-dessous.

    "http://next.liberation.fr/article/nicole-kidman-denonce-les-violences-faites-aux-femmes

    parmi les lecteurs du tapage féministe, peu connaissent la définition de la violence conjugale. beaucoup pensent que l'on parle uniquement de violences physiques. et en réalité les féministes le savent très bien, mais par malhonnêteté, ne fonts rien pour faire connaitre la vérité, le flou est l'amalgame les arrange bien ça fait grossir les chiffres. en fait le but n'est pas de dire la vérité.
    d'ailleurs Maryse Jaspard chez nous ne fait rien pour rétablir la vérité, quand les journalistes tranforment allégrement son taux de 10% de violences conjugales en 10% de femmes battues. cette pseudo scientifique ce n'est qu'une saloper..... de plus.

  • "a violation des droits humains la plus épouvantable et la plus répandue de notre temps.»

    rien de moins, elle a vraiment gober tous les mensonges et toutes les exagérations des féministes misandres."

    "l'actrice souhaitait se pencher sur une question "où elle pourrait faire la différence".

    ah parce quelle estine s'être penchée sur la question, franchement elle n'a aucune lucidité et honnêteté la pauvre fille.

    "Autrement dit, il est absurde d'accuser ici Nicole Kidman de pornographie"

    effectivement, " «qu'elle en avait assez des rôles qui font de la femme un objet sexuel et la rabaissent»."

    et elle ne s'est même pas aperçue quelle faisait du grand art en tournant nue dans EYES WIDE SHUT , mais elle est vraiment nulle cette pauvre fille, et elle crâche bien dans la soupe. donnage je l'avait trouver très belle nue dans retour à cold moutain, j'étais loin de penser quelle était aussi bête.

  • Bonsoir Audrey

    "Les potentielles caractéristiques physiologiques masculines (qui restent par ailleurs à prouver)"

    tu sais bien que pour moi les potentielles caractéristiques masculine ne restent pas à prouver.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Patriarcat_(sociologie)

    "Le dimorphisme sexuel existe bel et bien dans l'espèce humaine. Les hommes sont en moyenne plus grands (de 10 cm), plus lourds (d'une dizaine de kilos) et plus forts (ils possèdent une masse musculaire nettement supérieure et une moindre masse graisseuse que les femmes, notamment sous l'effet anabolisant des androgènes). La force physique allant de pair avec la masse musculaire, la taille et le poids, la force isométrique maximale (moyenne de 25 groupes musculaires) de la femme moyenne ne représente que 60% de la force isométrique maximale de l'homme moyen (source Traité de physiologie de l'exercice et du sport, éditions Masson, 2002). Ces différences sont par ailleurs plus importantes pour les muscles du haut du corps (bras, épaules) que pour les muscles des jambes. "

  • @leclercq : vous semblez confondre physiologie et morphologie.

  • @santo
    Vous avez sûrement raison: c'est pourquoi la quasi totalité des disciplines sportives ne font pas la distinction entre hommes et femmes, notamment en boxe, judo, lancer de poids, saut en hauteur, ski, natation et tennis, pour ne prendre que ces exemples. Peut-être faudrait-il intervenir auprès des autorités sportives mondiales pour mettre fin à cette ridicule discrimination.

  • Bonsoir Santo

    je m'excuse d'avoir manquer de précision mon but état de parler de la physiologie de l'exercise musculaire.

    http://books.google.fr/books?id=ADHeAGgvJosC&pg=PA245&lpg=PA245&dq=physiologie+homme+femme&source=bl&ots=xBBWiCcdeV&sig=BM35D-YR-KQCl_ZogCz5zh4dZFw&hl=fr&ei=XrntSsaJIdnOjAeovJmZDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CA0Q6AEwAQ#v=onepage&q=&f=false

  • Bonsoir mère

    "Vous avez sûrement raison: c'est pourquoi la quasi totalité des disciplines sportives ne font pas la distinction entre hommes et femmes"

    que voulez-vous dire par ne fonts pas de distinctions entre hommes et femmes je conprends pas tout là Merçi.

  • @ dano:

    Je n'ai pas cette vision des hommes, ni d'ailleurs de vision négative des femmes. Les hommes pourrissent la vie? Certains hommes, oui. Je ne comprends pas ce rejet global des hommes. Ils sont comme ils sont, et parmi eux il y a des salauds et des criminels. Chacun-e à sa manière pourrit la vie quand il-elle veut la pourrir.

    "qui commande, dirige, gouverne, coupe la parole, hurle, klaxonne, viole, frappe, fait son malin, et généralement nous pourrit l'existence avec sa violence larvée et sa connerie bornée ?" Gouverner, majoritairement les hommes, en effet. Commander, diriger: à mon avis autant de femmes que d'hommes. Hurler: des femmes comme des hommes. Violer: Majoritairement des hommes. Frapper: Selon les études pointues, presque autant de femmes que d'hommes. Connerie bornée? ...

    "Craindriez-vous à ce point d'être assimilé à un violeur, à un frappeur ???" Mais c'est ce qui se passe devant les tribunaux, c'est déjà ainsi, les hommes sont coupable a priori, et ces chiffres amplifient cette tendance et favorisent la créations de lois anti-hommes. J'ai étudié de près ces questions et je sais de quoi je parle.

    "une solidarité d'oppresseur". Ca c'est le mythe, le discours victimaire féministe anti-hommes. Ce n'est pas la réalité historique.

    Je vous suggère de regarder la vidéo sur ce billet:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2009/05/11/violence-conjugale-le-divorce-entre-perception-et-realite.html

    ainsi que celui-ci:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/11/20/violence-conjugale-les-nouveaux-chiffres-confirment-les-mens.html

  • Santo, je reviens très prochainement avec un billet sur l'art, l'érotisme et la pornographie.

  • @leclerq
    Ironie un peu lourde, je vous l'accorde. Cette distinction existe justement partout, même pour le golf ou le tir à l'arc. J'ai oublié le nom de la figure de style qui couvre ce genre de plaisanterie.

  • Bonjour mére

    Quelle distinction, discrimination excusez moi, je vois pas, je m'en excuse.

  • @leclercq
    Désolé de vous faire perdre votre temps. Je voulais tout simplement (apparemment cela a raté) dire que l'on faisait bien une distinction entre les qualités physiques des hommes et des femmes puisqu'on ils se mesurent systématiquement dans des compétitions sexuellement séparées (ou distinctes). Cela en réponse à la remarque "Les potentielles caractéristiques physiologiques masculines (qui restent par ailleurs à prouver)" et "vous semblez confondre physiologie et morphologie" de deux intervenants précédents, qui me semblaient ne pas répondre à la question de la plus grande ou grave capacité physique des hommes d'infliger des sévices (physiques eux aussi). Vous avez d'ailleurs répondu "tu sais bien que pour moi les potentielles caractéristiques masculine ne restent pas à prouver", ce qui aurait dû suffire. Mais la question avait rebondi, pour une question plus académique (distinction entre physiologie et morphologie) que pratique.

  • Bonjour Mère,

    En fait ma parenthèse se rapportait aux propos selon lesquels les hommes seraient physiologiquement plus sensibles à la critique. Ce à quoi Leclercq a répondu par sa citation sur le développement physique des hommes et des femmes. D'où j'imagine la remarque de santo sur la distinction entre physiologie et morphologie.

    J'avoue parfois me perdre aussi dans tous ces commentaires ;-)

  • @Audrey
    Bonjour et merci. Je n'ai pas encore pu me débarrasser du défaut qui consiste à lire en biais les commentaires lorsque le débat se prolonge. J'en suis confus et devrais donc me taire dans ces circonstances. Mais ni l'un ni l'autre ne m'est facile. Peut-être y arriverai-je quand même un jour: après tout Grandma Moses s'est mis a peindre à plus de septante ans.

  • Bonjour Audrey

    "En fait ma parenthèse se rapportait aux propos selon lesquels les hommes seraient physiologiquement plus sensibles à la critique."

    ma rèponse était ça plus haut

    "l'impulsivité et la sensibilité étant plutôt bien distribuées entre les sexes)

    oui mais pas l'aptitude à gérer le stress. c'est daniel Goleman qui le dit !!!

    "Les travaux rapportés par le psychologue Daniel Goleman ont levé un voile sur la genèse de la violence relationnelle des « ennemis intimes » en disant tout d'abord que les scènes de ménage font beau¬coup moins peur aux femmes qu'aux hommes, celles-ci étant mieux pourvues biologiquement pour gérer le stress. Les hommes sont plus rapidement submergés par l'attitude négative et les critiques de leur partenaire."

    et aprés j'ai rajouter mon texte sur la différence des hommes et des femmes.

    qui prouve que suite à une dispute l'homme étant plus fort, c'est elle qui aura des séquelles de violences physiques.

    Bonjour mére

    aucune inquiétude

    ton truc sur la discrimination dans les disciplines sportives peut donner lieu à des échanges intéressants. merçi

  • cc bonsoir comment alllez vs moi c claudia je suis ivoirienne et j'aimerais fair la connaissance M nicole kidman c tous ce que je peut dit pour aujourd'huit je l'aime a plus

  • Ce sujet porno passionne les foules apparemment. Heureusement que l'humour de certains rattrapent la simplicité d'esprit d'autres.

  • regarde dans l'annuaire claudia, tu devrais trouver.

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