Tout nus, hommes et femmes sont visiblement différents. Habillés aussi: pour la majorité des individus la voix est plus grave et la musculature plus volumineuse chez les hommes. La manière de marcher est plus balancée chez les femmes et plus raide chez les hommes: c’est dû à l’anatomie du bassin et l’implantation des fémurs selon le sexe.
Les organes sexuels sont évidemment différents et supposent une approche différenciée de la sexualité, tant sur les plans physique qu’émotionnel et psychologique. Les flux hormonaux et certaines configurations cérébrales, comme le volume de connexion et d’interactions, ne sont pas similaires.
Si dans l’ensemble tout le monde s’accorde sur les différences anatomiques et physiologiques, indéniables, il en est autrement en ce qui concerne l’interprétation de ces différences. Les théories essentialistes affirment que chaque sexe a des caractéristiques comportementales qui lui sont spécifiques. A contrario Simone de Beauvoir lançait cette phrase célèbre: «On ne naît pas femme, on le devient». Et identiquement pour les hommes. Le féminin et le masculin seraient des représentation culturelles et non biologiques.
Et si la réalité tenait compte de deux voies: biologique ET culturelle? Peut-on réellement dissocier le sexe physique du sexe psychologique et social? N’est-il pas plus juste de dire: «On naît ET devient femme, ou homme?»
On a peut-être un peu vite estimé que la question était résolue. Aujourd’hui se questionner sur l’impact culturel de la biologie peut être perçu comme un retour en arrière scientifique. Or à ce jour aucune démonstration formelle et définitive n’est faite de la dissociation entre biologie et culture. L’anthropologie, science qui étudie l’humain dans son ensemble et inclut l’anatomie et ses représentations culturelles, ne pourrait trouver son compte à l’élimination du fait biologique et de son lien à l’identité sexuée.
Bien qu’indéniables les différenciations entre les sexes ne forment pas des parois étanches ou des barrières infranchissables. Les comportements des femmes et des hommes sont en grande partie communs. La plasticité humaine, cérébrale ou comportementale, contribue à rendre les délimitations poreuses.
Toutefois comment isoler le culturel du support qui l’a créé, qui l’entretient et par lequel il acquiert existence et expression: le corps? Si la définition des identités sexuelles est une construction culturelle indépendante de la biologie, peut-elle se passer du corps? Il semble que non. Par exemple, la définition du sexe sur un document d’identité est attestée par le corps. C’est vérifiable. Cela n’est pas contesté par les théoriciens du tout culturel. Ce qui l’est c’est l’idée que la représentation sociale des sexes puisse dépendre de l’identité biologique. Être un mâle fait-il de nous un homme? Ou une femme pour la femelle? Les caractéristiques de comportements et les rôles sociaux attribuées à l’homme et à la femme sont-elles oui ou non en relation avec l’identité biologique, et si oui à quel degré? Il doit bien être possible de trouver un premier consensus sur ce point: le masculin culturel prend racine dans le biologique mâle, et le féminin dans le biologique femelle; en effet c’est à partir de l’homme que l’on parle de masculin, et de la femme que l’on parle de féminin.
Il y aurait un intérêt à reprendre l’étude des différences hommes-femmes en dehors de tout discours de domination-soumission. Certains groupes culturels nous ont habitués à un discours fini, fermé sur le sujet, et n’analysant plus que la situation des femmes - pas celle des hommes. Or d’une part la supposée domination masculine, universelle, systémique et systématique, intentionnelle, malveillante, ne correspond pas à la plus élémentaire observation du comportement masculin et n’est même pas défendable en terme de survie de l’espèce. L’aspect séduisant et stéréotypé de cette grille de lecture du passé à l’imagerie simpliste, et sa justification opportune dans le cadre d’un combat idéologique hommes-femmes, ne décrit pas l’entièreté ni la complexité du réel. D’autre part la superposition de la théorie de la lutte des classes sur les relations hommes-femmes ne rend pas compte du fait que la domination n’est sont pas le privilège d’un sexe mais se répartit dans les deux sexes.
On ne peut continuer indéfiniment à faire porter aux hommes les causes de la violence, de la guerre, de la souffrance, de la destruction des ressources, sans recréer une différence entre les sexe, une différence de genre qui aboutit, par sa répétition et sa systématisation, à un nouvel essentialisme: les hommes mâles et donc le masculin qui en est l’expression culturelle seraient la cause et les acteurs de la souffrance du monde et les femmes seraient leurs victimes désignées.
Le refus d’un monde stéréotypé, essentialiste, devrait porter en lui-même la déconstruction de ce paradigme de sexes et de l’asymétrie de comportements: l’homme bourreau et la femme victime vus comme une généralité. Mais ce n’est pas le cas: des différences hommes-femmes sont entretenues.
Le concept d’égalité trouve-t-il son compte dans ces différences?
A suivre.
Commentaires
Dire que parfois les singes sont surement plus malins que certains êtres humains...
Très bon billet, John. J'aime bien la distinction, si j'ai bien compris, entre homme/femme et mâle/femelle, qui tient compte du corps aussi, pas seulement des déterminants psychosociaux. La négation des différences, n'est-ce pas la porte ouverte à tous les totalitarismes? Ceci dit sans réfléchir, bien sûr, comme toujours dans les commentaires.
Amicalement.
PJR
Nous sommes tous issus du règne du plus fort et du plus rusé. Le dominant, le dominé et l'indépendant sont les trois typologies "dominantes" concernant les mammifères.
Le dominant, est de ce fait le meilleur en tout, il peut avoir plusieurs femelles, c'est toute la vie de nos lointains ancêtres...
Cette domination a entraîné les populations à conquérir d'autres territoires, d'autres peuplades etc.. L'évolution des dominants a certainement concerné plus de mâles que de femelles, c'est en tous cas le constat de bien des scientifiques lorsqu'ils remontent au minimum à 100 000 ans...
Des scientifiques pensent que la domination du mâle lui a permis de prendre les meilleurs morceaux, d'être servit le premier, il faut aller faire un petit tour chez nos cousins chimpanzés, bonobos, gorilles ainsi que chez les carnivores comme le loup pour mieux comprendre nos ancêtres.
Avec des instruments très performants l'étude des os des dents ou d'autres parties du corps montrent que les femelles mangeaient moins bien que les mâles...
L'égalité n'a semble-t-il jamais existé dans le monde du vivant, il suffit pour s'en convaincre de regarder la nature afin de bien comprendre son fonctionnement. La diversité domine en tout, dans une évolution perpétuelle...
Aujourd'hui, l'évolution de nos organisations sociales et politiques, permet aux femmes de se placer au même niveau que l'homme, dans nos sociétés -libres et -avancées.
La liberté individuelle et l'émancipation des femmes ne les empêchent pas d'entreprendre, ou d'accéder à des postes à très haute responsabilité. Il est vrai que l'ère industrielle a profité aux hommes puisque basés en principal sur la force. L'histoire des princesses et des princes situe bien cette culture de la femme faible.."sois belle et tais toi" Les chevaliers conquérants étaient en majorité des hommes.
Les femmes ont-elles poussé les hommes à faire la guerre? Certainement, le mâle a besoin d'assouvir ses pulsions sexuelles et ses conquêtes*! A l'époque de nos ancêtres le viol était monnaie courante. De nos jours l'évolution de notre culture, de nos savoirs et de nos organisations sociales, ont amené les mâles à d'autres comportements... La séduction, la discussion, le désir etc, ont remplacé le comportement bestial issu des millions d'années d'évolution des êtres humains...
La photo de cet article en dit long sur le dominant? Est-ce deux mâles? Si oui qui domine l'autre...?
Si ce sont deux femelles, laquelle domine? (mdr)
Est-ce une femelle sur un mâle? Qui domine? Tout est possible comme dirait Ségolène!
* Le comportement d'un dominant-conquérant se retrouve dans toutes les situations de la vie, il domine, ou essaie de dominer en tout...C'est un jouisseur.(dans le sens noble du terme)
Salut John...
Très bon très bon ça excellent!
Si l'on prend certains exemple du monde animal, on voit que les comportements ne sont pas issus d'une culture.
Des dominants, des dominés ? Je dirais répartition des rôles. Ainsi chez les lions, réputé dominants et pris souvent comme exemple du comportement typiquement mâle n'a pas la vie la plus aisée. Son rôle de domination n'est que le jeux de la sélection naturelle pour que le groupe dispose du reproducteur le plus vaillant. A part cela son règne n'est pas des plus long, il se fait détrôner en quelques années et meurt seul de ses blessures, ou vit en exclu piteusement quelques mois. Alors que les lionnes en majorité lui survivent de beaucoup !
Nous ne sommes plus que des mammifères, mais nous ne naissons pas non plus comme une page vierge à la naissance sur lequel on peut imprimer n'importe quel programme comportemental.
La biologie nous dicte un type de comportement, la culture nuance, adapte et aménage. Est-ce éternel ? Peut être ou peut être pas.
Mais la diabolisation d'un genre est une déviance culturelle ça c'est sûr
Les animaux ont une "culture" le loup chasse en meute, avec une organisation identique à celle des chasseurs "humains" c'est la culture de la stratégie...
Les fourmis ont la culture de l'organisation et du travail, tout comme l'abeille qui a une culture de la géométrie que les humains n'ont pas! Ne parlons pas de l'araignée qui cultive son savoir dans le tissage...Le caméléon qui cultive son camouflage...
Le lion a une vie très courte comme d'autres mammifères et carnivores, dans une nature impitoyable? Nos ancêtres étaient soumis aux mêmes règles il y a des millions d'années voire, quelques milliers d'années...
Le mot culture ne concerne pas que les humains, ce sont les religieux (moines monarques et autres) qui, par ignorance du monde, l'ont décidé ainsi..
@ aoki
Qui diabolise qui..?
Salut Pierre!
Dominant-dominé, un duo vieux comme... je ne sais pas. Comme le monde? En fait nous n'étions pas là au tout début de Sapiens pour savoir comment cela se passait. En observant les autres espèces, donc les primates, il y a en effet un peu partout des dominants. Comme dit Aoki ci-dessous, c'est la sélection naturelle et une organisation pour la survie des espèces dans un monde pas très bisounours.
Pourquoi les espèces se placent-elles dans cette configuration de dominant-dominé? Pourquoi ont-elles spontanément, "naturellement", cette tendance, plutôt que de décider de mettre la coopération comme système de référence?
Dans la lutte pour la vie, la lutte entre manger et être mangé, le plus fort (au combat ou à la course de fuite) gagne. La lutte est bien un symbole de survie. La dominance est donc une stratégie de survie. Mais cette dominance-là n'est pas celle que l'on attribue aujourd'hui à un genre. La dominance "naturelle" est positive. Un chef doit prendre des décision sages et réfléchies. Il doit défendre et protéger. Il ne peut pas simplement montrer sa puissance sur ses compatriotes en les maltraitants. Cela ce sont les tyrans.
Je déplore que l'analyse actuelle des rapports hommes-femmes décrive les hommes dans leur généralité comme des tyrans. Je ne reconnais pas les hommes dans cette image. Quelques-uns, oui, mais relativement une minorité.
Je pense aussi que l'effacement du corps dans l'analyse des genres conduit à ce biais. Si l'on efface le corps, et donc la lutte pour la survie de l'espèce qui passe forcément par le corps, le combat devient tyrannie.
Je ne sais pas si ce que tu dis est juste sur le viol chez nos ancêtres. Etait-ce vraiment ainsi? Le viol est une approche culturelle de la sexualité. Entre un chien et une chienne, il n'y a pas de viol. Pourtant on peut voir des accouplements alors qu'ils ne se connaissaient pas 3 minutes avant, et des accouplements de plusieurs mâles successifs. Cela ne se passe que si la femelle le veut bien. Et elle le cherche, elle attire par ses chaleurs. Le viol est associé à une construction de l'espèce qui suppose un certain degré de culture: sentiment de son existence individuelle qui permet de dire non - car sans le refus il n'y a pas de contrainte, pas de viol. Le viol nait de la transgression d'un refus, qui lui-même est la conséquence du sentiment de soi - donc d'une culture.
Le couple existait il y a longtemps, dans la préhistoire, et la sexualité avait certainement été organisée, par nécessité. Il y a peu de supports historiques pour savoir comment cela se passait. En tout cas dans une société organisée le viol n'est pas courant et pas accepté.
Donc le mâle qui saute sur la femelle et fait d'elle ce qu'il veut n'est pas forcément le reflet de la réalité, même à une époque reculée. Sauf peut-être pendant les guerres. Mais on sait que les guerres font fi de toute culture et de toute règle. D'ailleurs en cas de guerre le viol n'est pas simplement une volonté de détruire les femmes parce qu'elles sont femmes, mais de détruire tout un peuple en lui donnant tellement de "bâtards" que son identité est détruite durablement. Dans ce cas la question du genre est secondaire. Le vainqueur viole parce qu'il montre sa supériorité sur le vaincu par toutes les armes et moyens possibles.
L'évolution de la société humaine actuelle va vers la non-différenciation des rôles. C'est cela l'égalité (plus l'égalité en droits et valeur, bien sûr). Que des femmes tiennent des places anciennement prévues pour les hommes, que les rôles se décristallisent, pas de problème. Moi-même depuis l'adolescence je refuse d'être limité à une image. De là à faire de l'indifférenciation un système qui tend à annuler des identités fondées entre autre sur les différences sexuées, cela ne me convainc pas.
J'ai débordé de tes propos, sorry!
@ PJR: oui, je pense que le corps fait intimement partie de l'identité en tant qu'individu sexué. Je pense que l'on a trop vite évacué le corps pour ne parler que de déterminants psychosociaux. Mais séparer ces déterminants du corps est à mon avis enlever un repère fondamental dans la compréhension de l'humain.
Je ne vois pas de contradiction entre le fait de parler d'éléments fixés par la biologie, qui peuvent avoir modelé le comportement, et le renforcement culturel des comportements. La réflexion ne doit pas porter sur l'hypothèse OU/OU (ou biologique ou culturel) mais ET/ET (et biologique et culturel).
Bien à vous.
A propos de différence physiologique et culturelle, quid de la pilosité ? Toutes les femmes adultes ont des poils aux aisselles, aux jambes et au pubis. Ce sont des caractères de maturité sexuelle. Montrez maintenant une femme « poilue » (donc normale) à n’importe qui en Occident et notez les réactions négatives, commentaires sarcastiques « c’est un homme, une hippie, une lesbienne » (au choix). On assimile donc la pilosité au masculin et le glabre au féminin. Comment se fait-il que quand un homme glabre apparaît dans les médias, il n’y ait aucune réaction négative ? Voir Daniel Craig dans le dernier James Bond. C’est l’exemple même du double standard : les hommes font ce qu’ils veulent de leur pilosité, les femmes n’ont qu’une option, tout enlever, hormis les poils sur la tête et au-dessus des yeux.
On a le droit de préférer sans poils mais on n'a pas le droit d'insulter celles qui ont fait un autre choix que la norme imposée depuis des millénaires en Occident.
Le culturel est donc bien présent, puisqu'en Afrique Noire non musulmane, personne n'est dérangé de voir une femme "poilue". Idem dans certaines contrées d'Asie.
"On a le droit de préférer sans poils mais on n'a pas le droit d'insulter celles qui ont fait un autre choix que la norme imposée depuis des millénaires en Occident."
C'est vrai que l'épilation était monnaie courante dans l'Antiquité et au Moyen-Age.
Honnêtement tu as déjà vu une femme des temps anciens ? Moi non plus.
Encore un argument biaisé sur la légende de la domination de l'homme sur la femme.
"Le culturel est donc bien présent, puisqu'en Afrique Noire non musulmane, personne n'est dérangé de voir une femme "poilue". Idem dans certaines contrées d'Asie."
Bah vas y épouse une femme poilue si ça te dis et laisse nous avec nos imberbes que nous aimons tant.
"Le mot culture ne concerne pas que les humains, ce sont les religieux (moines monarques et autres) qui, par ignorance du monde, l'ont décidé ainsi.."
Pierre,
d'abord voici pour vous un extrait de wikipédia sur l'étymologie du terme:
L’étymologie du mot culture, du mot latin culter (« habiter », « cultiver », ou « honorer ») suggère que la culture se réfère, en général, à l’activité humaine. Ce mot prend des significations notablement différentes, voire contradictoires, selon ses utilisations2.
Le terme (latin cultura) suggère l’action de cultiver, dans le domaine de l’agriculture en particulier : cultiver des fleurs…2 Le terme de culture est également employé en éthologie. Cicéron fut le premier à appliquer le mot cultura à l'être humain : Un champ si fertile soit-il ne peut être productif sans culture, et c'est la même chose pour l'humain sans enseignement. (Tusculanes, II, 13).
et quant au :
"Qui diabolise qui..?"
je ne sais pas à quoi vous faîtes allusion ... Peut être à vous-même vis à vis des moines et monarques ? ;-)
"Encore un argument biaisé sur la légende de la domination de l'homme sur la femme. "
T'es vraiment qu'un ignare. Tu ne connais RIEN de l'histoire du corps des femmes et tu la ramènes, pauvre tache. Renseigne-toi avant d'étaler ton inculture.
J'ai créé un site qui en parle en long et en large sur 100 pages, ça représente 10 ans de travail et je sais EXACTEMENT ce que les femmes faisaient de leur poils dans le passé, On a des traces écrites de ce que les nobles faisaient de leur pilosité, crétin.
Dans l'Antiquité, Aristophane l'explique par exemple et ce qu'il dit est très clair : ce sont les hommes qui obligeaient les femmes à les enlever parce que pour eux, les femmes étaient des monstres sans cerveau (ça, c'est Aristote et et Hippocrate qui le disaient). Donc, il fallait différencier absolument les monstres de la perfection (= les hommes) et ceux-ci ont donc imposé aux femmes l'épilation. Ce n'était pas le choix des femmes !
Justifier l’épilation aujourd’hui en disant qu’elle était pratiquée dans le passé, c'est un peu comme si je disais dans un article sur le travail "dans l'Antiquité, des gens travaillaient 16h par jour 7 jours par semaine" mais sans dire que c'était des esclaves, donc pas leur choix !
Mais avec des tarés misogynes comme toi, effrayés par la sexualité (les poils représentent la maturité sexuelle), tu ne peux que fantasmer comme les pédophiles sur les corps impubères.
Les hommes qui exigent des corps de femmes glabres sont les plus gros misogynes car le seule moment de leur vie où les femmes n'ont pas de poils, c'est l'enfance. Donc, exiger une femme sans poils, c'est vouloir la faire redevenir enfant pour mieux la contrôler. Cela ne m'étonne pas de toi rakails, tu montres ton vrai visage de macho misogyne.
Les poils des femmes ont toujours été tabous et du coup, censurés sur les statues grecques (contrairement aux statues des hommes) et aux tableaux du Moyen Age.
Voici 2 extraits d'Aristophane, qui montrent bien :
- que l'épilation du pubis était une punition
- que pour une femme, garder des poils signifie ressembler à un homme
Eh bien! allons-y nous-mêmes avec nos servantes, prendre quelque part de la cendre, lui épiler le bas-ventre, afin qu'elle apprenne, étant femme, à ne pas parler mal des femmes dorénavant.
Moi, de même: j'ai commencé par jeter le rasoir hors de la maison, afin de devenir toute velue et de ne plus ressembler en rien à une femme.
Ta dernière remarque montre bien ton aveuglement débile : en 2006, ipsos a interrogé des femmes et des hommes sur l'épilation. Aux hommes, on a demandé ceci
"Et si demain la femme de votre vie décidait d'arrêter de s'épiler, quelle serait votre réaction la plus probable ?"
Cela ne vous plairait pas du tout : 57% chez les hommes de 15-25 ans, 42% chez les plus âgés
Cela vous serait égal ou vous amuserait : 43% chez les hommes de 15-25 ans, 54% chez les plus âgés
Cela veut dire qu'il y a une moitié des hommes qui sont tolérants, pas comme toi, pauvre tache.
"laisse nous avec nos imberbes que nous aimons tant."
Et vas-y que je parle au nom de tous les hommes, et vas-y que je me prends pour le Roi ou le Prince en disant "nous" pour parler de lui.
Tu vis vraiment sur une autre planète, pauvre hère.
@ Pierre:
l'épilation masculine n'est pas récente. Les soldats romains la pratiquaient, pour montrer des jambes glabres sous la tunique de soldats. Elle était pratiquée dans l'antiquité par des hommes comme des femmes. Les raisons semblaient être que la pilosité rapprochait de l'animal, et l'épilation symbolisait une forme de pureté.
Vous pouvez citer quelques personnages de l'antiquité connus pour leur misogynie, leurs paroles ne sont pas un dogme. Aucune théorisation systématique n'a été faite à ma connaissance, à partir de leurs paroles. La valeur symbolique, voire religieuse, de l'épilation dans l'antiquité semble prendre le pas sur d'autres considérations.
L'aspect séduction est aussi à prendre en compte. La peau nue est parfois plus attractive que la peau recouverte. L'épilation peut être reliée aux soins apportés à la coiffure, et au maquillage. Le but: plaire. Et plaire n'est pas une aliénation ou un rôle imposé, c'est la mise en place d'une stratégie en vue du motif le plus fondamental possible: la reproduction de l'espèce donc sa survie.
Vous parlez de pédophilie à propos des hommes qui aiment les pubis épilés. Je doute que votre interprétation psychanalytique tienne la route. Elle n'est pas démontrée, sauf à faire aux hommes un procès permanent et à penser à leur place leurs motivations (tendance autoritaire devenue habituelle, hélas).
Mais si l'on vous suivait dans ce sens, que penser des femmes qui aiment les hommes au visage rasé? Car, sans être de l'épilation, c'est aussi une manière d'enlever des poils et un signe de la maturité sexuelle. Ces femmes, majoritaires à ce que j'ai une fois entendu, seraient-elles donc des pédophiles? Et les femmes qui aiment les torses glabres?
Si l'on vous suit les hommes devraient tous porter la barbe. Comme les talibans?
Autre raison pour l'épilation moderne: alors qu'à la préhistoire les hominidés étaient toujours à l'air et moins vêtus, on les voit aujourd'hui toujours vêtus. Les parties poilues sont moins aérées. On peut aimer ou non les odeurs corporelles, chacun ses goûts. Mais il faut se rappeler que l'odeur de transpiration, par exemple des aisselles non épilées, est due à des bactéries. Ce n'est pas un parfum naturel.
Si de plus hommes et femmes se retrouvent dans le même plaisir de la séduction et si l'épilation y joue un rôle (ou non, chacun ses goûts), il n'y a pas de problème. Plutôt que de tenter de faire la psychanalyse des gens malgré eux et de rendre leurs goûts, leurs choix et leur comportement suspects, laissons les vivre. Pour certains les poils sont un mystère, pour d'autres la peau nue est une transparence.
Alors, culturelle, l'épilation: oui, bien sûr. Cela entre dans la représentation du corps et des signes que l'on décide de lui faire envoyer. Le culturel se construit sur le corps, c'est mon hypothèse. Votre intervention à propos des poils le confirme.
Dernier point, plus général: je demande que l'on débatte sans insultes. J'effacerai les commentaires insultants s'il en vient d'autres. La fâcherie est acceptée jusqu'à un point. Là cela devient un système et cela nuit considérablement au débat.
bon c'est pas tout ça, il faut que j'aille faire la vaiselle et ramasser le linge, ma femme elle préfére faire la cuisine. et déteste repasser.
"Et là, c’est la stupéfaction, nous déclenchons un véritable tollé dans la salle. « Impossible ! », clament en chœur garçons – et, il faut bien le dire, aussi les filles dans l’assemblée. Ce sont des chiffres obsolètes. Pire ce sont des enquêtes biaisées. D’ailleurs, la question nous a même été posée de savoir comment l’Insee pouvait produire ces chiffres.
De l’avis général, les choses avaient changé : les garçons partageaient les tâches ménagères et les filles présentes dans l’amphi pouvaient le confirmer. Nous pouvons analyser cette réaction quasi-hystérique de deux façons."
Ah enfin un début de prise de conscience, malgré le bourrage de crâne en continu.
les délires de la propagande féministe sonts tellement en dehors de la réalité que les gens commencent à se poser des questions.
http://www.egalite-infos.fr/2011/12/09/%C2%AB-le-feminisme-gagne-en-legitimite-mais-genere-deni-et-peurs-hysteriques-%C2%BB/
"Thomas LANCELOT" la jeunesse va commencer a se poser des questions sur le reste de tes mensonges et de ta propagande.
j'ai lu récemment que toutes les personnes interrogées constataient qu'il n'y avaient pas de discrimination salariale dans leur entreprise !!!!
mais les enquétes leur ont fait croire qu'il y en avait, euh dans les autres entreprises mais pas la leur. bizarre. le journaliste concluait qu'ils affirmait sans savoir.
on revois la manie des journalistes de prendre les gens pour des cons.
@hl, comme je l'ai dit, cela fait plus de 10 ans que je consacre du temps à étudier l'injonction épilatoire faite aux femmes : http://pgriffet.voila.net
Donc, je suis très bien placé pour en parler.
"l'épilation masculine n'est pas récente."
Ai-je dit le contraire qq part ? De toute façon, dans l'Antiquité, on ne demandait pas l'avis des femmes, les Grecs les confinaient au gynécée (=harem).
Donc, ce que les dominants faisaient de leurs poils, on s'en fout un peu, puisque ce n'était pas une injonction.
"Les raisons semblaient être que la pilosité rapprochait de l'animal, et l'épilation symbolisait une forme de pureté."
Euh non. Voir mon site : l'épilation chez les Grecs est imposée aux femmes afin de marquer la différenciation des sexes entre adultes. Pour des raisons misogynes : voir ce que je dis plus bas.
"Vous pouvez citer quelques personnages de l'antiquité connus pour leur misogynie, leurs paroles ne sont pas un dogme. "
«Pour les femmes, en effet, point d'invention de la science, point de miracle grec ! L'antiquité les montre dépossédées d'elles-mêmes, exclusivement vouées, de par les imperfections de leur constitution, à la fonction procréatrice (ou à la prostitution quand elles sont esclaves). Dans le cadre conceptuel d'Aristote, la femme est un être de matière qui aurait tendance à proliférer de façon anarchique et monstrueuse si elle n'était maîtrisée et dominée par la force du pneuma de la semence masculine, semence stockée dans la tête de l'homme dont le pneuma apporte le souffle, mais aussi l'esprit, la forme humaine, l'identité, la vie, valeurs nobles opposées à la matière féminine indifférenciée. La naissance d'une fille signe l'échec du masculin à cause de la tendance féminine à l'anarchie ce qui constitue la première étape vers la monstruosité. Ce faisant, Aristote n'invente rien : Hippocrate soutenait déjà un siècle auparavant que l'utérus des femmes leur tient lieu de cerveau : tota mulier in utero. Aristote développe ces conceptions pour sa culture et son époque.»
Extrait du site : http://www.feministes.net/science_ordre_social.htm
Si les médecins disent "les femmes sont inférieures aux hommes" (c'est un euphémisme car elles sont vues comme des monstres et les hommes comme des perfections), comment voulez-vous que les gens pensent autre chose, y compris les femmes ?
Cela s'appelle de l'aliénation. Si depuis votre enfance, on serine aux fillettes qu'elles ne sont rien, elles finiront par le croire.
Il y a un moment où il faut accepter la réalité : les femmes étaient inférieures aux hommes à cause de la méconnaissance médicale des anciens. C'est un constat, rien d'autre.
"L'aspect séduction est aussi à prendre en compte. La peau nue est parfois plus attractive que la peau recouverte. L'épilation peut être reliée aux soins apportés à la coiffure, et au maquillage. Le but: plaire. Et plaire n'est pas une aliénation ou un rôle imposé, c'est la mise en place d'une stratégie en vue du motif le plus fondamental possible: la reproduction de l'espèce donc sa survie"
La séduction, rien n'est plus subjectif. Montrez une mannequin à un papou, il la trouvera très peu séduisante. C'est purement culturel, construit.
De plus, si la survie de l'espèce dépend de l'absence des poils sur le corps des femmes, comment expliquez-vous qu'en Afrique Noire non musulmane, où les femmes gardent leurs poils, il y ait bcp plus d'enfants qu'en Europe ?
Il faudra trouver autre chose comme argument.
"Vous parlez de pédophilie à propos des hommes qui aiment les pubis épilés"
Vous ne m'avez pas bien lu. Je parle de pédophilie à propos des hommes qui EXIGENT (et non préfèrent) des corps glabres. C'est une grosse différence.
La comparaison avec la barbe est non avenue. Moi je me rase la barbe car elle n'arrête pas de pousser, contrairement aux poils du corps. Mais je ne hais pas ma barbe, je la garde parfois et je la garderais si elle s'arrêtait de pousser. En fait, elle m'indiffère. Mais de nombreuses femmes, surtout chez les jeunes, "détestent" les poils, par aliénation. A force de voir partout et tout le temps des corps glabres, elles finissent par intégrer que le corps des femmes est sans poils et du coup, elles sont dégoûtées de leurs poils.
"et les femmes qui aiment les torses glabres?
Effet de mode, contrairement à l'injonction épilatoire visant les femmes. Il y a 10 ans, les hommes ne se rasaient pas le torse. En fait, l'industrie cosmétique avait fait le tour du corps des femmes (où il n'y a rien plus à enlever) et il restait donc le corps des hommes. Mais au moins, un homme qui garde ou enlève ses poils, ne se fait pas insulter : c'est le double standard.
"Mais il faut se rappeler que l'odeur de transpiration, par exemple des aisselles non épilées, est due à des bactéries. Ce n'est pas un parfum naturel."
Merci pour la leçon d'hygiène, les déodorants et la pierre d'alun gèrent très bien les odeurs. Mais si on suit votre raisonnement, pourquoi TOUS les hommes ne devraient pas également s'enlever les poils des aisselles ? Pourquoi uniquement les femmes ? Poser la question, c'est y répondre : ces poils renvoient à la sexualité et ça dérange l'inconscient de bcp d'hommes, c'est tout.
"Si de plus hommes et femmes se retrouvent dans le même plaisir de la séduction et si l'épilation y joue un rôle (ou non, chacun ses goûts), il n'y a pas de problème"
Pas de problème pour moi concernant l'épilation tant que ce n'est pas une injonction. Figurez-vous que depuis 10 ans, j'ai discuté IRL et sur le Net avec des milliers de femmes à propos d'épilation et la moitié d'entre elles avouent le faire uniquement pour éviter la pression sociale (compagnon/amis/collègues/inconnus).
C'est un % énorme, si on le transpose à la France, cela représente environ 10 millions de Françaises qui s'épilent/se rasent contre leur volonté !
Aucun autre aspect du corps des femmes n'est autant contrôlé que leurs poils.
Je consacre d'ailleurs sur mon site tout un chapitre sur la pression sociale : en fait, je laisse la parole aux femmes qui racontent bien mieux que n'importe qui ce que c'est que d'être scrutées, contrôlées, jugées sans arrêt sur leur physique.
Sinon, votre discours est EXACTEMENT celui des femmes qui prétendent sans rire s'épiler sans influence, sans contrainte, elles ont leur "libre-arbitre".
Vous vous rendez compte, des tas de femmes qui pensent comme vous, elles ne sont donc pas toutes féministes ? Ouf, on est sauvé.
Ce discours est ridicule que ces anorexiques qui prétendent sans rire contrôler leur corps, l'aimer dans sa maigreur. Alors que ce n'est que l'influence permanente des images de femmes maigres qui pullulent.
Aliénation, rien d'autre.
Je termine en disant que le sexologue Gérard Zwang a démontré le lien entre le voile islamique et l'épilation. Dans la culture musulmane, les deux sont associés dans un même but : empêcher les femmes d'être tentatrices et les infantiliser. Le côté tentateur des femmes est un vieux cliché : les pauvres hommes ne peuvent résister face aux créatures diaboliques que sont les femmes qui les excitent avec leurs cheveux, leurs poils, leurs formes. C'est donc de la faute des femmes s'il faut cacher les cheveux et enlever les poils.
Donc, enlever les poils (les cacher, en somme) ou cacher les cheveux, c'est du pareil au même, on enlève un attribut potentiellement érotique. En Occident, point de voile depuis 1930 environ. Mais l'épilation a pris le relais et les pornographes sont les champions pour montrer des corps infantilisés. Les mollahs main dans la main avec les pornographes pour empêcher les femmes de montrer des attributs érotiques, qui l'eut cru ?
""L'aspect séduction est aussi à prendre en compte. La peau nue est parfois plus attractive que la peau recouverte. L'épilation peut être reliée aux soins apportés à la coiffure, et au maquillage. Le but: plaire. Et plaire n'est pas une aliénation ou un rôle imposé, c'est la mise en place d'une stratégie en vue du motif le plus fondamental possible: la reproduction de l'espèce donc sa survie"
La séduction, rien n'est plus subjectif. Montrez une mannequin à un papou, il la trouvera très peu séduisante. C'est purement culturel, construit.
De plus, si la survie de l'espèce dépend de l'absence des poils sur le corps des femmes, comment expliquez-vous qu'en Afrique Noire non musulmane, où les femmes gardent leurs poils, il y ait bcp plus d'enfants qu'en Europe ?
Il faudra trouver autre chose comme argument.
relier un argument d'HL , avec les femmes poilues d'afrique noire qui fonts beaucoup plus d'enfants qu'en europe franchement il faut le faire, personnelement je ne vois pas le rapport entre les deux, vu le fonctionnement de pierre pourquoi lui donner des arguments ça ne sert à rien, il brode n'importe quoi à partir de ces arguments ça fait penser aux féministes quand on leur parle de violence conjugale, elle nous parle du malheur des femmes à l'autre bout de la terre. moi j'appelle ça de la mauvaise foi. tu veux en voir des attributs érotiques je te conseille atk natural hairy
@Leclerq :
"De plus, si la survie de l'espèce dépend de l'absence des poils sur le corps des femmes, comment expliquez-vous qu'en Afrique Noire non musulmane, où les femmes gardent leurs poils, il y ait bcp plus d'enfants qu'en Europe ?"
Je ne pense pas que ce soit une question de poils, c'est plutôt une question de moyen de contraception : elles font autant d'enfants qu'il en vient, ce n'est pas le cas en Europe.
Vous faites la vaisselle ? Pourquoi ne vous équipez vous pas d'un lave vaisselle ? C'est très pratique et ça débarrasse d'une corvée.
@leclercq, apprenez à lire au lieu de la ramener. C’est hl qui fait une liaison entre la survie de l’espèce et des stratégies pour plaire, qui justifierait que la plupart des Occidentales s’enlèvent les poils. Je démontre que c’est faux puisqu’en Afrique, les femmes gardent leurs poils pour plaire aux hommes justement, qui préfèrent les femmes mûres sexuellement, ils n’ont que faire des poupées imberbes occidentales.
De toute façon, l’épilation généralisée du corps des femmes est très récente en Occident pour une raison bien simple : auparavant, leur corps était entièrement couvert par les vêtements, dans la sphère publique. Ce qui veut dire que la majorité des femmes lambda gardaient leurs poils, sans que ça dérange le moins du monde nos grand-pères et aïeux, dans l’intimité du moins.
Or, que je sache, la « survie de l’espèce » n’a jamais été en question, pendant les siècles où les femmes gardaient leurs poils. C’est vraiment un argument complètement bidon.
L’épilation généralisée est due au fait que le corps des femmes s’étale partout et que les parties poilues sont découvertes, montrant ainsi la maturité sexuelle des femmes. Et ça, c’est insupportable dans l’inconscient de bcp d’hommes et malheureusement, de bcp de femmes aliénées.
J'ai de nombreuses amies féministes qui s’enlèvent les poils en été car sinon, ce sont les remarques sexistes genre « guenon/singe/hippie » ou alors « c’est dégoûtant ». Elles en ont marre d’entendre ça, alors elles se soumettent aux diktats et injonctions infantilisantes. Mais au moins, elles reconnaissent la norme, l’injonction, les diktats. Ce que ne font que 50% des femmes qui s’épilent. Il n’y a pas de mal à reconnaître qu’on agit en subissant une pression. Au contraire, c’est de la clairvoyance.
@ pierre
"apprenez à lire au lieu de la ramener. C’est hl qui fait une liaison entre la survie de l’espèce et des stratégies pour plaire, qui justifierait que la plupart des Occidentales s’enlèvent les poils. Je démontre que c’est faux puisqu’en Afrique, les femmes gardent leurs poils pour plaire aux hommes justement, qui préfèrent les femmes mûres sexuellement, ils n’ont que faire des poupées imberbes occidentales."
ah parce que vous êtes en train de vous imaginez que vous êtes en train de démontrer quelque chose.
"Vous faites la vaisselle ? Pourquoi ne vous équipez vous pas d'un lave vaisselle ? C'est très pratique et ça débarrasse d'une corvée"
comme quoi certaines fonts bien du tapage avec les taches ménagéres, alors que la grande partie n'existe plus grace à tout l'appareillage ménager invité par les hommes.
@Pierre :
On s’épile, on surveille notre poids, on fait du sport pour sculpter notre corps, certaines se font implanter des prothèses mammaires, gonfler la bouche, les femmes mures se teignent les cheveux pour cacher les cheveux blancs, se font lifter ou se font faire des injections de botox et d’acide hyaluronique : tout ça est évidement motivé par le modèle standard de beauté féminine que nous imposent les médias et ce standard est aliénant.
Moi aussi, je suis aliénée. Le nier serait hypocrite.
On attend beaucoup plus de la beauté d’une femme que de son intelligence, il n’y a qu’a feuilleter ces imbécilités de Elle, Marie Claire et compagnie qui veulent nous faire croire qu’on a besoin d’eux pour savoir qui nous sommes: de la mode, de la pub, de la mode, de la pub , 2 articles bidons sur l’amour au bureau ou bien "comment le séduire", et hop, encore de la pub....C’est affligeant de vide.
Je préfère nettement Science et vie.
bon j'ai pas que ça à faire j'ai à finir de lire "la faute au bobo jocelyn" et apré j'attaque le sexe du cerveau du Dr jean-albert Meynard
comme quoi certaines fonts bien du tapage avec les taches ménagéres, alors que la grande partie n'existe plus grace à tout l'appareillage ménager invité par les hommes.
Et moi, j'ai même un seche linge. j'étends pas le linge et puis c'est pas moi qui repasse. Voila.
Ahhh, je vous reconnais bien là , Leclerq !! -:)))
"comme quoi certaines fonts bien du tapage avec les taches ménagéres, alors que la grande partie des taches ménagéres n'existe plus grace à tout l'appareillage ménager inventé par les hommes."
un séche linge et alors moi je préfére les fils d'étendage, et oui les avantages de la campagne. et oui je sais choisir un programme sur une machine à laver le linge, contrairement à ce que veulent nous faire croire les pubs misandres, c'est quand même bizarre, les hommes seraient incapables de se servir d'un lave linge et ce sonts eux qui les onts inventés.
je vois patricia que tu viens donner un coup de main à ton pote pierre pour pourrir ce billet.
Et c’est Joséphine Garis Cochrane qui a inventé le lave vaisselle.
Tout comme c’est une femme qui est l’origine de la voiture de course. C’était une bootlegger qui sévissait au temps de la prohibition. Elle faisait trafiquer ses moteurs de voitures afin d’atteindre des vitesses de pointe jamais égalées à l’époque, ainsi elle engageait volontairement des courses poursuites avec la police et faisait diversion pendant que ses compatriotes transportaient les bouteilles d’alcool.
Mais bizarrement, la formule 1 est réservée aux hommes.
Pourquoi les femmes sont elles si peu, voire totalement absentes au volant de ces engins ?
Je vous donne la réponse de Jenson Button, pilote de son état, interrogé sur la question :
"une fois par mois vous ne voudriez pas vraiment qu'elle soit présente sur le circuit avec vous, non ? Une fille qui possède une forte poitrine ne sera jamais à l'aise dans une voiture. Et ses mécaniciens ne pourraient pas se concentrer. Imaginez, comment feraient-ils pour serrer ses sangles ? »
..........................
Je n'ai rien pourri du tout,la preuve, je suis polie, je n'ai pas dit un gros mot.
@ Patricia
genre explication bidon c'est assez fort, récemment des inconnus homme et femmes onts été sélectionnés parité oblige pour participer à des courses de voitures, le résultat coté femme était plutôt décevant.
elle doivent manquer de testostérone.
http://www.racingforever.com/fr/monoplaces/articles/1292,magazine-les-femmes-en-competition.htm
http://www.lemonde.fr/week-end/article/2011/06/17/michele-mouton-la-reine-du-rallye-francais_1537282_1477893.html
" Encore que Michèle Mouton juge n'avoir jamais souffert d'hostilité marquée de la part de ses homologues masculins. "Michèle était très appréciée des autres pilotes, qui la tenaient tous en haute estime, aussi bien comme personne que comme pilote, se souvient son ex-époux, le journaliste suédois Fredrik Johnsson, avec qui elle co-organise la Race of champions. "
"Donc, non, Michèle Mouton n'a pas souffert d'être une femme pilote. Le problème vient surtout de ce que, plus de vingt ans après s'être retirée des spéciales, elle reste, avec son palmarès, une magnifique exception. Les jeunes filles sont aujourd'hui toujours aussi peu nombreuses à s'orienter vers le sport automobile. "Avec la Commission des femmes, nous nous battons pour féminiser les sports moteurs, et pas seulement en compétition. Une femme peut aussi être mécanicienne, commissaire sportive ou team manager. J'ai été frappée par le témoignage d'une jeune pilote qui m'expliquait que les jeunes filles n'ont aucun modèle à qui elles peuvent s'identifier. "
une exception à la courte carriére, qui a eu une voiture d'exception l'audi quattro
Le problème devient ardu, lorsqu'il faut faire une "descente à la cave"
Essayez avec une brosse à cheveu, vous me direz ce que vous en pensez...
Une femme écolo fera l'affaire...normalement...
Michèle Mouton fait du rallye, pas de la formule 1.ça n'a rien à voir.
En plus, la dernière fois qu'elle a remporté une course, un des concurrents à dit qu'elle conduisait une voiture que même un singe aurait pu conduire....
Si vous cherchez des femmes dans les sports automobiles vous en trouverez certaines, mais en formule 1, le ratio tombe à 5 pour 700 hommes. Désolée.
Vous pouvez compter les bonasses en short sur le circuit si vous voulez. la, effectivement, le nombre augmente.
@ patricia
avant le lien sur michéle mouton j'ai mis un lien sur la formule 1 il y a peu de femmes et alors, rien à voir avec l'explication que tu a mis, "Une fille qui possède une forte poitrine ne sera jamais à l'aise dans une voiture. Et ses mécaniciens ne pourraient pas se concentrer. Imaginez, comment feraient-ils pour serrer ses sangles ? »"
d'ailleurs il y en a bien une à forte poitrine dans une course américaine.
l'explication est plutôt là
"d’avoir une femme en Formule 1 mais elle devra être hyper douée parce que physiquement c’est très dur."
"Mais avec des tarés misogynes comme toi, effrayés par la sexualité (les poils représentent la maturité sexuelle), tu ne peux que fantasmer comme les pédophiles sur les corps impubères."
Pauvre con ! tu ne connais rien de ma vie privée alors pourquoi t'ouvre ta gueule pour ne rien dire. J'aime pas les nanas poilues c'est un fait, est-ce que pour autant que je mérite un procès d'intention ?
Et si tu continues à m'insulter de pédophile je demande à Homme libre de te bannir d'ici au moins tu nous lacheras les savates avec tes théories foireuses.
Quel procès d'intention ? J'ai parlé des hommes qui EXIGENT des femmes glabres, apprends à lire avant de l'ouvrir. La pédophilie est inconsciente chez ces hommes mais ça dénote un grave trouble mental d'être attiré uniquement par des corps de fillettes impubères, ce n'est pas moi qui le dis mais les gens qui s'occupent de sexualité. Renseigne-toi au lieu de faire la leçon et de donner des ordres aux gens. T'es un vrai petit facho à me donner des ordres de foutre le camp d'ici parce que je ne brosse pas dans le sens du poil (hihi).
" T'es un vrai petit facho à me donner des ordres de foutre le camp d'ici parce que je ne brosse pas dans le sens du poil (hihi)."
T'es juste qu'un miséreux bonhomme qui s'amuse à troller chez ceux qui ne pensent pas comme toi. Tu ne vaux pas mieux que es racailles, car tu n'as aucune estime pour les gens pensant différemment de toi. T'es unique dans ton genre.
"La pédophilie est inconsciente chez ces hommes mais ça dénote un grave trouble mental d'être attiré uniquement par des corps de fillettes impubères, ce n'est pas moi qui le dis mais les gens qui s'occupent de sexualité."
Ah bon ?
Source ?
Je ne savais pas que les hommes de femmes épilées devenaient inconsciemment des pédophile. Superbe exemple de ségrégation, qui montre bien que la liberté notamment celle des hommes n'est pas respectée chez es illuminés
"On attend beaucoup plus de la beauté d’une femme que de son intelligence, il n’y a qu’a feuilleter ces imbécilités de Elle, Marie Claire et compagnie qui veulent nous faire croire qu’on a besoin d’eux pour savoir qui nous sommes: de la mode, de la pub, de la mode, de la pub , 2 articles bidons sur l’amour au bureau ou bien "comment le séduire", et hop, encore de la pub....C’est affligeant de vide.
Je préfère nettement Science et vie."
Qu'est-ce qui te fais croire que ces femmes ne sont pas capables de lire un magazine de science, voire même être scientifiques?
Je sens comme une contradiction dans vos arguments les féministes, d'une part vous dites que les femmes qui mettent en valeur leurs beautés sont incapables à à peu près tout. Moi j'aimerais bien voir un jour une de ces femmes t'épater sur la science, ça cloueras le bec à tes vieux préjugés.
@Leclerq:
L'explication que j'ai mis est une explication bidon donnée par un coureur automobile, ce n'est pas la mienne.
Les femmes sont presque inexistantes en formule un parce qu'elles ratent les qualifications.
En réalité, les grosses écuries automobiles refusent de leur confier leurs bolides (trop cher).
Elles ne pilotent pas les voitures de même qualité.
Mais je ne vois pas pourquoi elles seraient capables de piloter des avions de chasse et pas des formule 1.
Pierre,
Les sexes totalement épilés sont une mode lancée par l'industrie du porno.
A la base, il était question par ce moyen de voir plus en détail le sexe féminin : clitoris, petites et grandes lèvres filmés de près lors de pénétrations et cuni lingus.
C'est sensé augmenter l'excitation.
La presse érotique a suivi, une partie des femmes aussi (plutôt une génération jeune,beaucoup plus influencée par le porno que l'ancienne).
Les jeunes générations pratiquent, entre autre, beaucoup plus la fellation et la sodomie que les anciennes.
Maintenant, on pourrait, nous, les femmes, commencer à demander aux hommes de se raser entièrement le pubis.
Pas sure qu'ils soient d'accord. Ce qui parait naturel chez nous ne va pas passer naturel chez eux à mon avis.
Qu'est-ce qui te fais croire que ces femmes ne sont pas capables de lire un magazine de science, voire même être scientifiques?
Je n'ai jamais dit ça. J'ai dit que, moi, je refusais de lire ces revues débiles.
ça ne m'empêche pas d'être féminine, loin de là.Je sais parfaitement mettre ma beauté en valeur.
C'est à toi que ça clouerait le bec !!!
La pilosité a de beaux jours devant elles pardi ^^
Patricia,
Je serais curieux de voir un de vos sondages raison de l'épilation des femmes.
De savoir si elles le font pour les hommes ou pour elles mêmes. Je gage pour la seconde option. Heureusement qu'il y a des femmes qui détestent les poils
"Maintenant, on pourrait, nous, les femmes, commencer à demander aux hommes de se raser entièrement le pubis."
T'as déjà vu un homme avec un pubis ? o_O
"La presse érotique a suivi, une partie des femmes aussi (plutôt une génération jeune,beaucoup plus influencée par le porno que l'ancienne)."
Ne me dites pas que vous allez abolir la pornographie aussi. Pour une majorité d'hommes c'est sacré.
Oh non moi je m'en fiche pas mal ... Mais quand je dis femme féminine c'est pas forcément et heureusement une féministe hein ?
"@leclercq, apprenez à lire au lieu de la ramener. C’est hl qui fait une liaison entre la survie de l’espèce et des stratégies pour plaire, qui justifierait que la plupart des Occidentales s’enlèvent les poils. Je démontre que c’est faux puisqu’en Afrique, les femmes gardent leurs poils pour plaire aux hommes justement, qui préfèrent les femmes mûres sexuellement, ils n’ont que faire des poupées imberbes occidentales."
Mais c'est parce que les femmes ne montrent pas leurs jambes là-bas. C'est interdit par la culture islamique. Forcément quel intérêt de s'épiler si une femme ne doit pas montrer ses jambes ? La plupart des femmes qui découvrent leurs jambes en été et que j'ai constaté, je ne me souviens pas en avoir vu une seule non épilée.
On peut même aller à la plage pour se rendre compte de la véracité de mes propos.
Est-ce que ces femmes sont contraintes de s'épiler ? je ne crois pas.
Maintenant si elles veulent s'épiler et montrer leurs jambes, c'est leurs propres choix, je ne vois pas ce qu'il y a à y redire .
"Une fille qui possède une forte poitrine ne sera jamais à l'aise dans une voiture. Et ses mécaniciens ne pourraient pas se concentrer. Imaginez, comment feraient-ils pour serrer ses sangles ? »"
Au contraire c'est un avantage ça remplace les airbags :D
"pourquoi TOUS les hommes ne devraient pas également s'enlever les poils des aisselles ? "
Honnêtement moi je les retire, parce que c'est d'une part pas hygiénique et d'autre part ça démange affreusement. De toute façon même sur es aisselles d'un mec ça m'a toujours dégoûté parce que je juge que ça fait primate.
Après si certains aiment tant mieux pour eux/elles.
"Cela ne m'étonne pas de toi rakails, tu montres ton vrai visage de macho misogyne."
Insulte gratuite à tous les hommes qui aiment les femmes épilés. Je la note dans un coin celle-ci et la sortirait à 95% des mecs autour de moi. Des gens honnêtes et respectueux d'ailleurs.
Le pire est que tu fais juste un rapprochement facile, tu colle souvent des étiquettes à ceux qui ne pensent pas comme toi ?
"Les poils des femmes ont toujours été tabous et du coup, censurés sur les statues grecques (contrairement aux statues des hommes) et aux tableaux du Moyen Age.
"
Wouaouhh t'arrive à voir les poils dans les statues des hommes ?
Impressionnant !!!!
"Cela veut dire qu'il y a une moitié des hommes qui sont tolérants, pas comme toi, pauvre tache."
Ah bon ? les hommes qui veulent vivre aux côtés d'une femme épilée sont intolérants envers les autres ? je ne savais pas celà moi.
Merci Saint pierre de m'avoir montré le chemin amen.
"Cela veut dire qu'il y a une moitié des hommes qui sont tolérants, pas comme toi, pauvre tache."
Ah bon ? les hommes qui veulent vivre aux côtés d'une femme épilée sont intolérants envers les autres ? je ne savais pas celà moi.
Merci Saint pierre de m'avoir montré le chemin amen.
"Tu vis vraiment sur une autre planète, pauvre hère."
L'hôpital la charité tout ceci ...
"Mais si l'on vous suivait dans ce sens, que penser des femmes qui aiment les hommes au visage rasé? Car, sans être de l'épilation, c'est aussi une manière d'enlever des poils et un signe de la maturité sexuelle. Ces femmes, majoritaires à ce que j'ai une fois entendu, seraient-elles donc des pédophiles? Et les femmes qui aiment les torses glabres?
Si l'on vous suit les hommes devraient tous porter la barbe. Comme les talibans?"
+1000
Les féministes n'en parlent jamais de ça. Puis bon Chewbacca on l'aime ou on l'aime pas quelque soit son sexe :)
"Le culturel se construit sur le corps, c'est mon hypothèse."
C'est aussi mon avis. Je dirais même plus les vêtements apportent également une valeur culturelle
"on revois la manie des journalistes de prendre les gens pour des cons."
Oui il faut faire disparaître ces inféodés médias, qui prennent les gens pour ce qu'ils ne sont pas. Les medias sont plus un instruments de dictature que quelque chose d'utile d'un point de vue culturel
"l'anarchie ce qui constitue la première étape vers la monstruosité. Ce faisant, Aristote n'invente rien : Hippocrate soutenait déjà un siècle auparavant que l'utérus des femmes leur tient lieu de cerveau : tota mulier in utero. Aristote développe ces conceptions pour sa culture et son époque.»"
Quelque part Aristote n'avait pas tout à fait tort au sujet de certaines femmes puisque l'on voit clairement ce que ça donne avec le féminisme. Merci au moins d'avoir quoté celà. Quand au cerveau, oui certaines raisonnent avec leur libido, et ce n'est pas un scoop.
"Il y a un moment où il faut accepter la réalité : les femmes étaient inférieures aux hommes à cause de la méconnaissance médicale des anciens. C'est un constat, rien d'autre."
Certes mais ce n'est nullement une raison pour "inverser les rôles"comme vous le disiez ailleurs dans la seconde partie du billet.
OUI PIERRE VEUT INVERSER LES ROLES ENTRE HOMME ET FEMME, C'EST UN MACHO FEMINISTE DANGEREUX POUR LA DEMOCRATIE.
Je l'ai mis en gros pour que tout le monde reconnaisse ton vrai visage ;)
"ils n’ont que faire des poupées imberbes occidentales."
Remarque condescendante de la part de personnes choisissant librement d'être imberbe.
"Vous ne m'avez pas bien lu. Je parle de pédophilie à propos des hommes qui EXIGENT (et non préfèrent) des corps glabres. C'est une grosse différence."
Bizarre vous m'avez pourtant insulté de pédophile et je n'ai jamais exigé quoique ce soit ? pauvre petit.
@ Patricia:
Si les femmes sont clairement empêchées de faire de la F1, ce n'est pas normal. S'il y en a peu parce qu'elles ne s'y voient pas, c'est autre chose. Après tout on n'est pas obligés, hommes ou femmes, d'entrer dans tous les métiers.
@ Pierre:
Je pars du principe que si l'on est en possession de ses moyens, sans pistolet sur la temps, on doit être considéré-e comme responsable de ses actes. Je milite pour la responsabilité individuelle. L'idée que les femmes sont aliénées les infantilise. Aucun respect pour elles dans cette idée. Que ce soit la mode, la demande du conjoint, ou leur propre envie, celles qui s'épilent le font de leur propre chef. Je ne prends donc pas votre argumentaire victimaire. L'argument de l'aliénation est dangereux en ce sens qu'il autorise de parler à la place de l'autre et de se persuader d'avoir raison pour l'autre. Une forme d'autoritarisme. Dangereux, ça.
D'autre part vous citez le cas de personnes anorexiques. L'anorexie est une maladie et non une mode ou une pression sociale. Ne mélangez pas tout.
@ Pierre encore:
Les femmes africaines, je n'en ai pas connue intimement, donc je ne sais pas si ce que vous dites est vrai concernant la pilosité. Celle de leurs bras est faible en général. Il y aurait beaucoup à revérifier dans vos théories.
@ Patricia:
Je ne verrais pas d'inconvénient à raser mes poils pubiens si cela m'était demandé. Je n'y mets ni une identité ni une virilité particulière. Je trouve de plus assez sympa de se faire des plaisirs en couple, et d'aller dans le sens de l'autre quand il n'y a pas de négation de soi pour autant.
T'as déjà vu un homme avec un pubis ? o_O
Ben voyons, les hommes n'ont pas de pubis ni de toison pubienne maintenant...il va tout nous refaire y compris l'anatomie celui là...
@John :
Merci pour vos réponses.
Je crois que le monde assez fermé de la F1 est très machiste, ce qui ne favorise pas l'émergence de la gente féminine dans ce sport.On va dire qu'ils ne font rien pour leur faciliter la tâche.
Ceci dit, le monde de la F1 ne représente pas tous les hommes.
Apparement, de plus en plus de femmes apprécient le rasage intégral chez l'homme :
http://www.masculin.com/style/984-epilation-et-rasage-intime/
Pour ma part, je ne suis pas fan de torses ultra poilus mais exiger le rasage des jambes, des aisselles et du pubis ne me tente pas du tout. Vous êtes très bien avec vos poils.
"Wouaouhh t'arrive à voir les poils dans les statues des hommes ?"
Quel ignare, arrête d'étaler ton inculture, tu fais pitié. Si au moins, tu te renseignais avant de l'ouvrir, mais non, tu brailles et tu ne fais que raconter des conneries.
Il suffit d'aller sur Wiki et de taper "statue grecque" pour en trouver. Tiens, je te fais gagner du temps
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Barberini_Faun_front_Glyptothek_Munich_218_n1.jpg
On voit très bien les poils pubiens.
Eh oui, les statues représentant des femmes étaient sans poils, les sculpteurs (des hommes) n'avaient pas le droit d'en montrer, pour les raisons que j'ai invoquées. Comme une amie me le disait
«j'ai une Maîtrise de lettres classiques, et au cours de mes études j'ai commencé à développer une défiance à l'égard de cette prétendue "géniale" "civilisation" grecque : des misogynes en pagaille, des racistes, des esclavagistes, des anthropocentristes, bref que du bonheur. »
hl disait "Les femmes africaines, je n'en ai pas connue intimement, donc je ne sais pas si ce que vous dites est vrai concernant la pilosité. Celle de leurs bras est faible en général. Il y aurait beaucoup à revérifier dans vos théories."
Mes "théories" n'en sont pas, ce sont des faits. C'est dommage que vous n'ayez pas pris le temps de voir mon site où j'en parle, je vais donc me citer.
«Info trouvée sur un blog de France-Inter
Savez vous qu'au Cameroun les femmes "cultivent" avec fierté leur pilosité, considérée par les hommes, comme quelque chose de hautement érotique et excitant (poils solitaires sous le menton chez les femmes de notables des grandes chefferies Bamiléké, femmes aux torses velus). Mon exemple n'est pas une vue de l'esprit ou un fantasme comme on peut en entendre parfois, mais du vécu après trois années passées dans ce formidable pays.
J'en parlais sur un forum de simplicité volontaire avec une Blanche ayant vécu en Afrique qui disait ceci des Africaines
Je confirme qu'en Afrique c'est érotique les poils : plus elle en a, plus elle est belle !!! d'ailleurs les Africains recherchent les femmes qui ont beaucoup de cheveux (puisque forcément, dans la rue c'est la seule partie qu'on voit) dans l'espoir qu'elles soient aussi velues sur les jambes, les aisselles, le sexe, etc. Ils se moquent des blanches des magazines car ils trouvent ça ridicule le manque de poils, pas érotique du tout.
Je ne parle que de l'Afrique centrale : Congo-Brazzaville, Cameroun, Angola, Centrafrique et l'Ouest du Congo démocratique. Ces pays ne sont pas musulmans. Je ne connais pas bien les traditions des autres régions et en général elles sont très éloignées.
Autre témoignage
Une amie qui a vécu au Cameroun (il y a environ 20 ans) m'avait raconté que là-bas une femme qui avait du poil sur le torse en était fière et le montrait (dans son décolleté).
Voici le commentaire d'une Africaine qu'on trouve sur la page de témoignages du forum de MIEL, il date d'avril 2008
C'est avec beaucoup de plaisir que je suis tombée sur votre site.
En ce qui me concerne, je dois dire que ma pilosité n'a jamais été l'objet de complexe pour moi. Je suis originaire d'un pays de l'Afrique Centrale, où les femmes velues sont plutôt appréciées et filent souvent des complexes à celles qui sont dépourvues de poils. En tout cas, c'est assez courant de voir des femmes arborant sans complexe (voire même fièrement!) leur pilosité.
Personnellement, je n'ai pas une pilositié très "touffue", mais elle est par contre repartie sur au moins les 75% de mon corps. Et je dois même dire que depuis que j'ai eu la "stupide idée" d'enlever au "rasoir" 3 poils qui, à l'âge de 13 ans (j'en ai 29) étaient apparus son mon menton, j'ai maintenant et hélas, plus de 3 poils parsemés au menton et au cou ...
Ceci dit, même si je regrette beaucoup cette inconsciente erreur , j'ai fini par le prendre ainsi. Il m'arrive "très très occasionnellement", d'utiliser une crème dépilatoire pour mon menton et mon cou. Sinon, je n'ai aucune gène à me présenter "telle que je suis physiquement", les 98 autres pour cent de ma vie.
L'intérêt pour les avis d'autres personnes sur ce sujet, m'est recemment venu, car je suis fiancée à un français (qui d'ailleurs m'aime tel que je suis!) et je serai très bientôt appellée à le rejoindre; d'où ma curiosité de savoir comment réagissent "en général" les occidentaux à ce sujet, qui je le répète est complètement BANAL en Afrique.
C'est assez rassurant de voir que les mentalités évoluent et que la TOLERANCE, et LA NATURE reprennent leur ENFIN leur droit ...»»
kasilar, je n'ai insulté personne de pédophile. J'ai dit que les pédophiles fantasment sur des corps glabres et du coup, des spécialistes de la sexualité s'inquiètent du nombre d'hommes toujours plus nombreux qui, à cause de la pornographie (entre autres), ne supportent plus de voir le moindre poil sur le corps des femmes et refusent même toute relation sexuelle avec des femmes ayant encore un peu de poils au pubis !
Il suffit d'écouter les radios libres le soir "la libre antenne" pour entendre des discours pilophobes hallucinants. Et les adolescentes à peine pubères, tellement matraquées de propos pilophobes, sont de plus en plus nombreuses à se raser le pubis, avant même d'avoir des relations sexuelles. Merci les pornographes.
"Ah bon ? les hommes qui veulent vivre aux côtés d'une femme épilée sont intolérants envers les autres ? je ne savais pas celà moi."
Décidément, yapa de cerveau là. Je reprends le sondage
"Cela ne vous plairait pas du tout : 57% chez les hommes de 15-25 ans, 42% chez les plus âgés"
En français : on a donc le cas de femmes qui s'épilaient, leur compagnon s'en fiche mais subitement, elle arrête de s'épiler (et elle a sûrement de bonnes raisons pour ça). Cela ne plaît pas du tout à ces hommes, ce qui veut dire qu'ils n'acceptent pas qu'elle change une petite partie de son apparence, et donc, sont intolérants.
Autre exemple, c'est comme si subitement, une femme prenait un peu de poids et que son compagnon la traite de tous les noms (grosse, baleine), etc. C'est de l'intolérance.
Par contre, les hommes qui s'en fichent ou que ça amuse, ils sont tolérants, voient au-delà des apparences, s'intéressent sûrement bcp plus à la personne qu'à un petit détail physique dont curieusement, eux aussi sont munis mais qu'ils trouvent tout à fait normal de garder. Double standard.
"Une forme d'autoritarisme. Dangereux, ça."
C'est comme ça qu'on commencé les dictatures. Il faut éradiquer toutes les dictatures.
"Décidément, yapa de cerveau là. Je reprends le sondage"
L'hôpital qui se fiche de la charité :/ A croire qu'un rapporteur comme toi a un cerveau alors qu'il a prouvé tout le coontraire à travers ses interventions
"Eh oui, les statues représentant des femmes étaient sans poils, les sculpteurs (des hommes) n'avaient pas le droit d'en montrer, pour les raisons que j'ai invoquées. Comme une amie me le disait
«j'ai une Maîtrise de lettres classiques, et au cours de mes études j'ai commencé à développer une défiance à l'égard de cette prétendue "géniale" "civilisation" grecque : des misogynes en pagaille, des racistes, des esclavagistes, des anthropocentristes, bref que du bonheur. »"
Fais voir une statue de femme ? parce que me montrer une statue d'homme c'est un peu court comme justification.
C'est sur quand on met une gonzesse en cours d'histoire ça donne une tordue de féministe qui volontairement manipule la société avec sa légende de la domination de l'homme qui hormis le code de Napoléon. C'est pas que je doute des capacités de ton amie, mais j'aimerais la thèse d'un(e) éminent(e) historien(ne) pas un charlatan de bas étage
"Merci les pornographes."
Pourtant je n'ai rien contre les poils pubères c'est grave doc ?
"En français : on a donc le cas de femmes qui s'épilaient, leur compagnon s'en fiche mais subitement, elle arrête de s'épiler (et elle a sûrement de bonnes raisons pour ça). Cela ne plaît pas du tout à ces hommes, ce qui veut dire qu'ils n'acceptent pas qu'elle change une petite partie de son apparence, et donc, sont intolérants.
Autre exemple, c'est comme si subitement, une femme prenait un peu de poids et que son compagnon la traite de tous les noms (grosse, baleine), etc. C'est de l'intolérance.
Par contre, les hommes qui s'en fichent ou que ça amuse, ils sont tolérants, voient au-delà des apparences, s'intéressent sûrement bcp plus à la personne qu'à un petit détail physique dont curieusement, eux aussi sont munis mais qu'ils trouvent tout à fait normal de garder. Double standard."
C'est sur je connais rarement des gens qui aiment les femmes pilosées,grosses, laides ... c'est l'idéal de tout homme hétérosexuel. Si ces femmes là ne nous attirent pas libre à chacun de trouver son bonheur là où il est. On ne va tout de même pas forcer les hommes à aimer n'importe quelle femme ? si ?
Pierre, vous interprétez curieusement ce sondage. "Cela ne vous plairait pas du tout": Vous voyez de l'intolérance là? Ils n'ont pas dit: "Je lui interdit de changer". Je connais bien des femmes qui ont aussi leurs goûts avec les hommes: cheveux, habillement, fréquentations. Chacun a le droit d'avoir ses envies. Après cela se discute. Vous opposez l'apparence et le fond. Un peu stérile à mon avis: il n'est dit nulle part que ceux qui répondent pas du tout ne sont attachés qu'à la forme. Et puis cela les regarde, eux et leurs compagnes!
Pour les insultes, je ne vais pas relever les vôtres, mais vous n'êtes pas en reste. Quand à la pédophilie, je prends acte de ce que vous écrivez maintenant, mais votre formulation initiale était très ambiguë. Kasilar n'est pas le seul à y avoir réagi.
PS: désolé, j'ai effacé par erreur un de vos précédents commentaires.
"Il suffit d'écouter les radios libres le soir "la libre antenne" pour entendre des discours pilophobes hallucinants."
Il y a de plus en plus de charlatans qui nous disent comment pisser convenablement. On n'arrive plus à respirer dans ce que j'appelle désormais un déni de démocratie.
Merci les intégristes
"Ben voyons, les hommes n'ont pas de pubis ni de toison pubienne maintenant...il va tout nous refaire y compris l'anatomie celui là..."
Ah bon ? je peux voir un homme dans ce cas là dans éventuellement un lien authentique que tu aurais cité ?
Lol un pubis pour un homme. A part un gland, je ne vois pas trop ce que possède un homme en lieu et place dudit pubis.
Vous avez raté une étape de la sexualité à l'école patricia ? ;)
"On va dire qu'ils ne font rien pour leur faciliter la tâche."
Sauf que ils ont autre chose à faire que de s'occuper de tout le monde ne pensez-vous pas? C'est pas comme si ils fermaient volontairement les portes aux femmes
@ Patricia
"Je crois que le monde assez fermé de la F1 est très machiste, ce qui ne favorise pas l'émergence de la gente féminine dans ce sport.On va dire qu'ils ne font rien pour leur faciliter la tâche."
explication simpliste. en réalité peu sonts intéressées, c'est un sport trés dur physiquement j'ai vu un reportage récemment fait par une femme d'ailleurs.
le mental est trés important, la sélection se fait trés jeune, dans le groupe de jeunes sélectionnés aucune femme, ils étaient d'ailleurs en stage dans une station de sport d'hiver avec jean alesi. et déjà ils avaient un entrainement physique intensif, où on leur appremait déjà d'avoir la rage de gagner, d'être les premiers les meilleurs, caractéristiques pas fonciérement féminines.
jean alesi expliquait aussi, qu'il fallait ignorer la peur, conduire tout le temps à la limite.
"Les femmes sont presque inexistantes en formule un parce qu'elles ratent les qualifications.
En réalité, les grosses écuries automobiles refusent de leur confier leurs bolides (trop cher).
Elles ne pilotent pas les voitures de même qualité.
Mais je ne vois pas pourquoi elles seraient capables de piloter des avions de chasse et pas des formule 1."
avant d'être dans une grosse écurie et d'avoir une voiture au top il faut d'abord prouver qu'on vaut quelque chose. tous les pilotes commençent d'abord dans une petite écurie avec des voitures donts les performancers ne sonts pas au top. argument vraiment bidon.
je ne vois pas le rapport entre les avions de chasse et la F1, la F1 le but est quand même de gagner."
http://www.racingforever.com/fr/monoplaces/articles/1292,magazine-les-femmes-en-competition.htm
"Michèle Mouton fait du rallye, pas de la formule 1.ça n'a rien à voir.
En plus, la dernière fois qu'elle a remporté une course, un des concurrents à dit qu'elle conduisait une voiture que même un singe aurait pu conduire....
ça n'a rien à voir ah bon tu y connais quelque chose en sport automobile à mon avis rien, euh c'est aussi dur peut-être même plus.
"Encore que Michèle Mouton juge n'avoir jamais souffert d'hostilité marquée de la part de ses homologues masculins. "Michèle était très appréciée des autres pilotes, qui la tenaient tous en haute estime, aussi bien comme personne que comme pilote"
oui elle avait une voiture en avance sur son temps ce n'est pas une raison pour sous-estimer sa valeur.
j'affirme que parler de machisme dans ce cas c'est être déconnecté de la réalité. pour essayer de cacher les inaptitudes féminines dans ce type de sport.
tout le monde sait que les jeunes garçon et les jeunes filles n'onts pas du tout le même type de conduite aprés avoir passé le permis, les garçons sonts fougeux, inconscients, les jeunes filles sonts prudentes, et ne fonts que de petits chocs par étourderie aux voitures, les garçons eux les cassent.
évidement ma réponse ne va pas te plaire je le sais, ton but est uniquement d'avoir le dernier même si tu fini par dire n'importe quoi.
@ Pierre
"L'aspect séduction est aussi à prendre en compte. La peau nue est parfois plus attractive que la peau recouverte. L'épilation peut être reliée aux soins apportés à la coiffure, et au maquillage. Le but: plaire. Et plaire n'est pas une aliénation ou un rôle imposé, c'est la mise en place d'une stratégie en vue du motif le plus fondamental possible: la reproduction de l'espèce donc sa survie"
La séduction, rien n'est plus subjectif. Montrez une mannequin à un papou, il la trouvera très peu séduisante. C'est purement culturel, construit.
De plus, si la survie de l'espèce dépend de l'absence des poils sur le corps des femmes, comment expliquez-vous qu'en Afrique Noire non musulmane, où les femmes gardent leurs poils, il y ait bcp plus d'enfants qu'en Europe ?"
HL est bien patient d'avoir fait la réponse polie au-dessus.
parce que franchement écrire ce que tu a écrit c'est du grand n'importe quoi coté argument c'est plutôt bidon.
Pour information concernant la pornographie j'ai trouvé cet article sur le Net
http://www.fluctuat.net/6365-Les-realisatrices-du-porno
Extrait du lien
"Contrairement à un cliché répandu, le féminisme n’est pas ennemi du porno. C’est même au nom d’un féminisme dit pro-sexe que de nombreuses femmes sont entrées dans le monde du cinéma X, le plus souvent devant les caméras, mais de plus en plus aussi derrière.
Le féminisme pro-sexe
Figure emblématique du porno français aussi bien que de ce féminisme pro-sexe, la hardeuse et réalisatrice Ovidie est peut-être la plus célèbre d’entre elles. Dès ses premiers films (Orgie en noir et Lilith), tournés au début des années 2000, elle a affirmé une identité narrative qui, contrairement à un autre cliché répandu, n’est pas moins crue ni moins audacieuse que celle de ses collègues mâles (ce serait même plutôt l’inverse). Influencée par la pionnière américaine Annie Sprinckle (My Erotic Fantasies) qui, à la fin des années 1970, réalisait quelques films exprimant sa vision personnelle, excentrique et débridée, de la sexualité, elle renoue aussi avec la dimension politique militante qui était celle du porno de l’Âge d’Or."
Bizarrement on fait l'amalgame sur le féminisme et la pornographie qui rapporte la quasi-totalité du capital se l'industrie du sexe, tandisque pour la prostitution,qui au passage il en existe une masculine, est un bouc-émissaire facile.
Onvoit clairement l'hypocrisie féministe ainsi que l'association capitaliste-féministe qui découle de la pornographie.
Je suis curieux de savoir ce que vous avez à répondre de celà
"Fais voir une statue de femme"
Décidément, une telle méfiance par rapport à ce que je dis est significative de ta mauvaise foi et en plus, tu es fainéant.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Aphrodite_Braschi_Glyptothek_Munich_258.jpg
D'autres ici : https://www.google.com/search?q=Statue+grecques+femme&hl=fr&lr=lang_fr&ie=ISO-8859-1)
Tu vas me trouver quoi comme argument à la misogynie des anciens Grecs et leur aversion pour les poils des femmes ?
Sinon, il y a aussi les tableaux des grands peintres du Moyen Age où d'ailleurs, la fente vulvaire n'apparaît pas non plus, un peu comme une excision symbolique. Cacher les poils des femmes et leur sexe, c'était du puritanisme, un peu comme les pornographes qui obligent les femmes à se raboter les lèvres.
Il n'y a pas d'interprétation curieuse du sondage. J'ai dit plus haut (mais apparemment, personne n'a relevé) que ça fait plus de 10 ans que j'étudie l'injonction épilatoire qui touche les femmes. J'ai donc pu lire et entendre des centaines d'hommes dire que pour eux, il était hors de question de faire l'amour avec une femme si elle avait des poils aux aisselles et/ou au pubis.
Donc, ceux qui disent que ça ne leur plairait pas du tout faut sans doute partie de ces pilophobes intolérants, avec des nuances, j'espère.
Bizarre toutes les statues que tu représente on ne les voit pas entièrement nues.
Sans doute une façon de tuer la discussion pour prouver la bien-fondation de tes arguments.
Bon j'en ai trouvé une
http://www.goddessgift.net/images/Goddess%20Aphrodite%20Kneeling%20AT-G-20.jpg
C'est vrai que l'on voit pas ses poils pubiens. Mais ça ne justifie pas le fait que ce soit par machisme. Elle est où la preuve écrite ?
@Leclerq :
Je crois surtout que tu penses que les femmes racontent n'importe quoi en général même si tu t'en défends.
ce blog est malheureusement devenu complètement machiste,un repère d'hommes ou pratiquement plus aucune femme ne vient débattre.
Il n'y a qu’à observer, nous étions encore assez nombreuses il y a quelques mois, nous ne sommes plus que 2 ou 3, et encore....
Dommage, vous allez vite vous ennuyer entre vous à tourner en rond et à casser de la meuf.
Et je le déplore pour l’auteur qui n’est pas complètement misogyne comme certains.
@ Patricia
où est le machisme de constater que 5% des femmes pratiquent le sport automobile.
il n'y en a pas.
ça c'est du machisme !!!
""Encore que Michèle Mouton juge n'avoir jamais souffert d'hostilité marquée de la part de ses homologues masculins. "Michèle était très appréciée des autres pilotes, qui la tenaient tous en haute estime, aussi bien comme personne que comme pilote"
c'est pourtant pas difficile à comprendre que les hommes et les femmes onts des aptitudes différentes.
vous avez un peu trop pris l'habitude ddes discours mielleux de ce genre de site
http://www.turbo.fr/actualite-automobile/146328-femmes-sport-automobile/
Si vous tenez tant à défendre la cause des hommes, au lieu de toujours vous concentrer sur les féministes, pourquoi vous ne parlez jamais du machisme des hommes envers les hommes ?
de l'homophobie ?
Des métiers ou les hommes subissent le machisme d'autres hommes, comme par exemple les infirmiers, souvent soupçonnés de s'être réorientés vers un métier de femmes après avoir raté une première année de médecine alors que ce n'est pas forcément le cas ?
De ces ados rackettés part d'autres et tabassés à la sortie des cours par leur congénères parce qu'ils sont considérés comme faibles ?
Pourquoi ne parlez vous pas de tous ces hommes pris en faute par d'autres hommes ?
Ils existent pourtant et je ne vous vois pas monter au créneau pour défendre leurs victimes.
C'est dérangeant de parler de la violence physique ou psychologique faite aux hommes par des hommes ?
Hommes battus ou violentés ? pourquoi ne parlez vous pas de ces hommes violés en prison par d'autres hommes ?
Combien mentent et ont imaginé s'être fait sodomiser parmi tous les témoignages selon vous ?
"D'autre part vous citez le cas de personnes anorexiques. L'anorexie est une maladie et non une mode ou une pression sociale. Ne mélangez pas tout."
Merci de m'apprendre que l'anorexie est une maladie, vous avez une façon de prendre vos interlocuteurs pour des ignorants, c'est très désagréable.
Je suis néanmoins bien conscient que l'anorexie est bcp plus complexe qu'une simple influence des images mais dans 9 cas sur 10, les anorexiques sont des femmes ou des jeunes filles.
L’anorexie existe depuis toujours mais est en constante expansion, depuis justement la prolifération d’images de femmes minces et/ou maigres. Ceux qui ne veulent y voir que l’effet du hasard ont des écailles devant les yeux.
"Onvoit clairement l'hypocrisie féministe ainsi que l'association capitaliste-féministe qui découle de la pornographie.
Je suis curieux de savoir ce que vous avez à répondre de celà"
Si tu comprends l'anglais, je t'invite à lire ceci : http://rageagainstthemanchine.com/2010/12/20/get-on-the-fucking-ball-janitors/
Il n'y a pas de porno féministe et Ovidie est tout sauf une féministe. Ce n'est pas parce qu'elle dit l'être qu'elle le prouve par ses actions.
Le féminisme radical est anticapitaliste et n'a rien à voir avec cette industrie de la violence qu'est la pornographie.
La pornographie est aussi une violence faite aux femmes, comme la prostitution. Il n'y a aucune moralisation dans ce constat : même le porno gay est plein de clichés sur les hommes dominés comme des "chiennes", des "salopes". On ne sort jamais de la violence.
Voir ici en anglais : http://johnstompers.com/2005/08/the-harms-of-gay-male-pornography-a-sexual-equality-perspective/
traduction d'une partie
«Il s'avère que cela ressemble beaucoup à la même bonne vieille pornographie pour hétérosexuels : homophobe et humiliante, érotisant la domination et sexualisant la violence entre l'hypermasculin "dessus" et le féminisé "en dessous". Au lieu de casser la binarité de genre hétéronormative, la pornographie gay renforce les rôles sexués oppressifs sans porter attention au genre effectif des participants.»
@ Pierre:
A propos de l'anorexie, je réponds simplement à la manière dont vous avez introduit le sujet:
"Ce discours est ridicule que ces anorexiques qui prétendent sans rire contrôler leur corps, l'aimer dans sa maigreur. Alors que ce n'est que l'influence permanente des images de femmes maigres qui pullulent.
Aliénation, rien d'autre."
Vous dites, à propos de l'anorexie, qu'il s'agit d'aliénation ou d'influence des images de femmes maigres qui pullulent, ou d'un simple contrôle de son corps. Vous présentez l'anorexie comme un phénomène de mode. C'est pourquoi j'ai rappelé que c'est avant tout une maladie, et une maladie assez grave puisqu'elle peut laisser des séquelles durables voire conduire à la mort. De plus je me demande pourquoi vous en voulez tellement aux femmes "maigres". Si elles le veulent c'est leur décision. Qu'il y ait une influence sociale, pourquoi pas? La socialisation des critères (beauté, force, sociabilité, etc) est chose naturelle. Entrer dans une reconnaissance sociale par l'acceptation de ses critères est la base de toute socialisation. L'aliénation, de même que la domination que vous abordez par ailleurs, sont pour moi des choses très différentes.
Ce n'est pas facile de débattre si vous dites que l'anorexie est une question d'image, puis si vous prenez de haut le fait que je rappelle l'aspect pathologique dominant. Peut-être écrivez-vous vite ou dans une tension émotionnelle, je me pose la question, parce que même pour l'aspect pédophilie en rapport à l'épilation nous avons compris une accusation et non une hypothèse éventuelle dans certains cas (à ce propos, je ne suis pas sûr de vous avoir compris: considérez-vous tous ceux que vous considérez comme intolérants sur l'épilation comme des pédophiles en puissance?).
Pareil quand vous citez le texte qui inverse la question des maladies sexuelles due à la pénétration: on ne meurt qu'exceptionnellement d'une MST (Sida en particulier), or votre texte dépeint presque l'apocalypse.
Votre discours laisse croire que non seulement vous vous opposez à la prostitution et à la pornographie mais que la sexualité est en elle-même un problème pour vous. A vous lire, il vaudrait mieux ne pas trop se toucher. C'est vrai qu'il y aurait moins de problèmes... Déjà il n'y aurait plus d'enfants.
@ Patricia
"De ces ados rackettés part d'autres et tabassés à la sortie des cours par leur congénères parce qu'ils sont considérés comme faibles ? "
tous ces ados en manque éducatif.
plus d'autorité dans l'éducation nationale, plus d'autorité dans les familles, familles monoparentales, péres éjectés de leur rôle dans les familles, toute la société va dans ce sens, on est dans une société maternante qui a éjecté les péres et leur rôle en 40 ans, beau résultat. on s'achemine droit vers le modéle suédois, où les enfants sonts retirés à leur parents parce qu'ils onts reçus une fessée éducative, quel violence des institutions envers les familles, et nos journalistes bobo applaudissent ça quel hônte.
http://videos.arte.tv/fr/videos/au_pays_de_la_fessee_interdite-4309364.html
http://www.valeursactuelles.com/public/valeurs-actuelles/html/fr/articles.php?article_id=3286
"Qu’entendez-vous exactement quand vous parlez de la légitimité de la place de parent ? La légitimité vient du statut de parent, de la position d’adulte, fondé à savoir pour son enfant et qui n’a pas à douter des responsabilités à prendre pour lui. L’enfant doit rester dans une position d’enfant, ayant une relation verticale avec ses parents. L’essentiel est là. De tout temps, les parents se sont sentis dans cette position, légitimée parce que la société les confortait dans ce rôle. Depuis quatre décennies, on a décidé, au nom d’un idéal démocratique et d’un pseudo-discours éclairant, qu’il n’y avait plus de différence générationnelle entre le parent et l’enfant, qui est devenu un “partenaire”. On est passé à une relation horizontale, avec des parents constamment dans la crainte d’écorner l’image qu’ils espèrent donner. Ce sont des parents qui fonctionnent sur le mode de la séduction. Le ¬problème, c’est que la séduction, c’est tout le contraire de l’éducation."
"Dans ces conditions, prônez-vous le retour de la fessée, de la gifle ? Absolument pas. J’ai toujours dit que je condamnais totalement les châtiments corporels, jusqu’à la petite tape sur la main. Chaque coup donné est le résultat d’un échec de la parole. Le parent qui sait exercer son autorité n’a pas besoin de donner une gifle, puisque son enfant lui obéit. Pourtant, dans ¬cer-taines circonstances, le parent perd sa maîtrise et le coup part. C’est ¬inévitable mais ce n’est pas une catastrophe. Une fessée n’a jamais ni tué ni démoli qui que ce soit. En revanche, je pense qu’il est fondamental de ne pas intervenir dans ce type de situation et je ¬condamne l’intervention des institutions. Il ne faut surtout pas légiférer. En entrant dans l’intimité de la relation parents-enfants, on nuit encore une fois aux parents, on altère leur position. "
la suéde n'est pas un modéle à suivre, les péres sonts éjectés de leur rôle.
les méres et la société ne respectent plus les péresen leur disant à eux en tant qu'hommes comment ils doivent éduquer leurs enfants.
l'idéologie féministe toute puissante a pris le pouvoir dans ce pays en légiférant, en controlant la sphére privée, en instituant la délation.
quelle horreur, ces gens soints conditionnés, le sujet est tabou, il est interdit de penser autrement comme dans une dictature.
suite
les associations contre l'enfance maltraitée ne lutte pas pour cette cause mais veulent imposé cette dictature à la suédoise.
http://blog.lefigaro.fr/education/2011/04/sos-enfants-battus-et-societe-a-la-derive.html
"Passons sur la nullité absolue d’une vidéo dans laquelle tout sonne faux, les voix, les regards, les attitudes… Cette petite fille dont le geste, censé relever de la maladresse, est forcé, cette mère hystérique dont les hurlements sortent de nulle part, cette grand-mère aux airs compassés… Mais qui diable a pu concevoir une telle accumulation de grotesque outrance ? Le plus grave réside évidemment dans la manipulation intellectuelle dont relève ce message. Grave, parce qu’il s’agit de focaliser l’attention sur des gestes, gifles et fessées, qui sont courants, pour faire croire que les parents qui en usent sont des monstres, au même titre que ceux qui attachent leur enfant à un radiateur ou lui assènent des coups de ceinture. Le meilleur moyen, bien sûr, de laisser ceux-là agir en toute impunité."
http://www.valeursactuelles.com/public/valeurs-actuelles/html/fr/articles.php?article_id=3286
la page n'existe plus mais je l'ai gardée.
Aldo Naouri : osez l'autorité
Retour à la raison dans l'éducation
Josee Pochat, le 18-09-2008
Il faut réhabiliter l’autorité des parents. Celle qui permet de dire “non” sans avoir à se justifier. Dans notre entretien, le Dr Naouri explique que les parents doivent retrouver leur statut d’adulte.
Quand Aldo Naouri parle de la relation parents-enfants, évoque la crise que traverse l’éducation, aborde le problème lié à l’autorité, il est très loin des discours “psy” qui font la mode et aux antipodes du mythique best-seller d’Alexander S. Neill, Libres enfants de Summerhill. À 70 ans, ce pédiatre passionné de psychanalyse a vu défiler des générations d’enfants – et de parents – dans son cabinet. Il a assisté, au fil du temps, à l’évolution de l’éducation de nos enfants, de moins en moins “éduqués”, de plus en plus ingérables. La réflexion qu’il livre aujourd’hui sur l’autorité est avant tout fondée sur le bon sens d’un pédiatre qui a croisé des parents débordés, voire perdus, face à des enfants de plus en plus “indomptables”. Son livre Éduquer ses enfants, l’urgence aujourd’hui, paru avant l’été chez Odile Jacob, est devenu un best-seller en quelques semaines. Naouri a reçu des centaines de lettres de parents le remerciant de leur avoir, enfin, proposé un nouveau schéma, en les réhabilitant dans leur rôle d’éducateur de leurs enfants.
« Redevenez parents, leur clame-t-il, n’hésitez pas à faire preuve d’autorité, vos enfants ont besoin d’entendre ce “non” qui pose des limites. » En confondant autoritarisme et autorité, au lendemain de Mai 68, on a plongé les parents dans un profond désarroi. Par souci de bien faire, ils ont abandonné leur rôle d’adulte pour devenir “parents copains”, “parents complices”, incapables d’imposer un horaire de coucher sans discussion, paniqués devant des enfants qui se roulent par terre le jour où ils tentent, timidement, de leur refuser une quatrième sucette avant le dîner.
Aldo Naouri parle d’urgence parce qu’au-delà du problème des parents déboussolés qui n’arrivent plus à se faire obéir, c’est à l’école que l’on enregistre dorénavant les dégâts de l’abandon de l’autorité. Pour le pédiatre, une bonne partie du problème des 40 % d’enfants qui arrivent au collège sans maîtriser la lecture et le calcul vient directement du déficit éducatif de parents à qui l’on a fait croire que faire preuve d’autorité faisait d’eux des bourreaux. Aujourd’hui, ce sont les instituteurs qui se trouvent face à des enfants refusant de sortir leurs cahiers quand on le leur demande, incapables de respecter une consigne parce qu’ils n’ont jamais appris à obéir. Et les parents, toujours perdus, d’expliquer que les enseignants ne font pas leur travail, parce qu’ils manquent d’autorité.
Comment définissez-vous l’autorité ? L’autorité, c’est tout simplement le pouvoir de parvenir à se faire obéir sans difficulté. Cette capacité d’un parent, tranquillement installé dans la certitude de la légitimité de sa place, de donner des ordres sans douter de leur pertinence. À partir de ce moment, l’enfant obéit. Il faut avant tout comprendre que, pour l’enfant, le parent n’est pas un simple partenaire, un “copain” avec qui il a une relation horizontale.
Qu’entendez-vous exactement quand vous parlez de la légitimité de la place de parent ? La légitimité vient du statut de parent, de la position d’adulte, fondé à savoir pour son enfant et qui n’a pas à douter des responsabilités à prendre pour lui. L’enfant doit rester dans une position d’enfant, ayant une relation verticale avec ses parents. L’essentiel est là. De tout temps, les parents se sont sentis dans cette position, légitimée parce que la société les confortait dans ce rôle. Depuis quatre décennies, on a décidé, au nom d’un idéal démocratique et d’un pseudo-discours éclairant, qu’il n’y avait plus de différence générationnelle entre le parent et l’enfant, qui est devenu un “partenaire”. On est passé à une relation horizontale, avec des parents constamment dans la crainte d’écorner l’image qu’ils espèrent donner. Ce sont des parents qui fonctionnent sur le mode de la séduction. Le ¬problème, c’est que la séduction, c’est tout le contraire de l’éducation.
Les parents ont donc peur ? Les parents ont peur de mal faire. Dans ces conditions, il y a tou¬jours un défaut d’autorité. Comme le disait très bien Freud, le parent est condamné à « mal faire », par rapport à l’idée qu’il se fait d’une éducation idéale. Qui n’existe pas. Ni l’enfant ni le parent idéal n’existent.
Quels conseils donnez-vous aux parents ? Il est fondamental de comprendre le développement psychique d’un tout-petit. C’est le premier message que je leur délivre. Il y a encore quarante ans, on pensait que le nouveau-né était un tube digestif. On s’est aperçu à cette époque que le bébé était doté de potentialités considérables, ayant avec sa mère un lien très étroit, un langage commun, non verbal, qui fait que leur relation est d’une grande fiabilité. La mère devine son bébé et lui la perçoit. Pendant les dix premiers mois de sa vie, le bébé croit qu’il est un morceau de sa mère. Ensuite, il s’aperçoit avec horreur qu’il est un être indépendant de sa mère. Dès lors, il va prendre conscience de son immaturité motrice, comprendre qu’il n’est pas capable de se débrouiller seul. C’est la fin du nirvana. Il va revêtir sa mère d’une notion de toute-puissance.
Quelle est la relation entre cette explication et l’éducation ? Quand le bébé prend la mesure de la puissance de sa mère, il va développer contre elle sa propre toute-puissance, totalement illusoire. Mais néanmoins très expressive. C’est le bébé qui jette la cuillère par terre, crache sa purée, se comporte en “sale gosse”, enchaîne les caprices. Ce phénomène culmine pendant la crise d’opposition, vers 3 ans. L’attitude des parents à ce moment-là est déterminante. S’ils veulent impérativement satisfaire cet enfant, ils vont le conforter dans son attitude et dans sa stratégie. Et ils vont faire de lui un individu qui ne se débarrassera plus de cette illusoire toute-puissance. Ce sera un enfant tyran, un adolescent infernal et, plus tard, un adulte égocentrique. Si les parents entreprennent d’éduquer, c’est-à-dire précisément de marquer la différence générationnelle, ils vont contenir cet enfant, lui imposer des limites et l’amener petit à petit à reconsidérer son scénario et à se débarrasser de l’illusion de sa toute-puissance. Là est le but de toute éducation. Ce constat permet de ¬comprendre les enjeux de l’autorité.
Nous traversons donc une crise de l’éducation ? Oui et elle a entamé l’exercice de l’autorité. Parce que justement on a laissé croire aux parents que leur enfant était un partenaire. Ça n’est pas par un effet de hasard mais c’est un effet collatéral des excès de Mai 68. Ce qui est resté dans tous les esprits, c’est “jouir sans entrave” et “il est interdit d’interdire”. Et dans la foulée, on a complètement déformé les propos de ¬Françoise Dolto à la radio. Ses interventions étaient thérapeutiques. Et on a cru que cette attitude devait être une norme, à adopter systématiquement. Par exemple, quand Dolto s’apercevait qu’une femme n’avait pas fait le deuil de sa mère, elle lui expliquait que son enfant sentait sa ¬dé¬tresse et elle lui conseillait d’expliquer à cet enfant pour¬quoi elle était si triste. On en a déduit qu’il fallait tout dire à un enfant, pour ne pas risquer de produire chez lui un désordre quelconque. J’ai vu dans ma carrière des caricatures. Des mères déshabillant leur bébé de 3 semaines et leur disant : « Tu vois, mon chéri, là je t’enlève ton bonnet et maintenant la manche gauche de ton manteau. » Cela n’a aucun sens. Dolto n’avait jamais dit qu’il fallait tout dire aux enfants. Pour autant on s’est engouffré dans cette voie. Il ne devrait pas y avoir de règle figée sur ce qu’il faut dire ou pas aux enfants, c’est une question de conjoncture, de circonstances, de problématique.
Pouvez-vous nous don¬ner des exemples de comportements pa¬ren¬taux à proscrire ? Je vais vous raconter une histoire. Un jour, je vois un père arriver dans mon cabinet avec son fils de 5 ans. Le garçonnet se précipite sur le pèse-personne et se met à sauter dessus. Le monsieur lui dit : « Tu sais, mon chéri, c’est un pèse-personne, c’est l’instrument du médecin. Si tu continues comme cela, tu vas le casser et le docteur Na¬ouri ne pourra plus s’en servir. » L’enfant file vers le pèse-bébé et se met à le secouer. Son papa lui dit alors : « Tu sais, c’est un pèse-bébé, c’est fragile, cela pèse même à 10 grammes près, le docteur en a besoin. » L’enfant laisse tomber le pèse-bébé, monte sur mon bureau et se met à sauter. Le papa lui dit encore : « Tu sais, le bureau du docteur est en verre, non seulement tu vas le casser et le docteur n’aura plus de bureau, mais en plus tu risques de te blesser. » Et il continue à parler et l’enfant à sauter. Nos regards se croisent alors et je lui demande s’il ne peut pas, tout simplement, lui dire “non” ? Il a réagi avec une violence terrible. « Vous voulez que je me comporte en fasciste ? » m’a-t-il crié. Et là, je lui ai répondu : « Vous allez lui donner quels arguments, à votre fils, quand il vous dira qu’il veut coucher avec sa mère ? Notre espèce est soumise à une loi. Celle de l’interdit de l’inceste, qui est purement arbitraire. Chaque fois que vous dites “non”, vous rappelez cet arbitraire et vous humanisez votre enfant. » J’avais été tellement violent moi-même que l’enfant s’est arrêté, est descendu tranquillement et n’a plus bronché du reste de la consultation. Cet homme m’a ensuite expliqué qu’il venait me voir parce qu’il n’arrivait pas à se faire obéir. Cette attitude, même si ce cas est un peu caricatural, est très répandue. Il fallait donner une explication dès que l’on donnait un ordre.
Que se passe-t-il quand un parent ¬n’arrive pas à donner fermement un ordre ? L’enfant perçoit que le parent ouvre la voie de la négociation, est prêt à lui rendre des comptes. Il peut donc prendre le pouvoir. N’oublions pas qu’il est habité par son désir de toute-puissance infantile. Le message environnant a installé l’enfant au sommet de la pyramide familiale. Nous vivons une époque où l’enfant est roi. Et on a fabriqué cette machine à donner des ¬adultes infernaux. C’est pourquoi je dis : « Soyez parents » et que l’on lit sous ma plume¬, scandalisant certains : « Élevez vos enfants de façon fasciste et ¬autori¬taire, vous en ferez des démocrates, élevez-les de façon démocratique, vous en ferez des fascistes. »
Dans ces conditions, prônez-vous le retour de la fessée, de la gifle ? Absolument pas. J’ai toujours dit que je condamnais totalement les châtiments corporels, jusqu’à la petite tape sur la main. Chaque coup donné est le résultat d’un échec de la parole. Le parent qui sait exercer son autorité n’a pas besoin de donner une gifle, puisque son enfant lui obéit. Pourtant, dans ¬cer-taines circonstances, le parent perd sa maîtrise et le coup part. C’est ¬inévitable mais ce n’est pas une catastrophe. Une fessée n’a jamais ni tué ni démoli qui que ce soit. En revanche, je pense qu’il est fondamental de ne pas intervenir dans ce type de situation et je ¬condamne l’intervention des institutions. Il ne faut surtout pas légiférer. En entrant dans l’intimité de la relation parents-enfants, on nuit encore une fois aux parents, on altère leur position. Beaucoup d’enfants disent encore accepter l’autorité de leurs parents parce ¬qu’elle est juste. Cela signifie que l’enfant per¬çoit que les limites posées fonctionnent comme des parapets autour de lui. -Solides, justifiés et qui le protègent. Il remer¬cie ses parents de les avoir construits et de lui donner une très grande sécurité. Parce que les limites posées sont rassurantes. Et c’est là le problème. Aujourd’hui, les parents, bien souvent, ne fabriquent plus ces parapets, ne placent plus ces limites avec leurs enfants au nom de l’idée selon laquelle il est fondamental de laisser l’enfant se déployer. Même l’école, dans les ¬consignes qu’elle donne, a parfois perdu le sens commun. On est passé de l’individu à qui l’on délivrait un savoir et dont on contrôlait les acquisitions à un enfant qu’il faut “accompagner” dans le dé¬ploiement de ses potentialités. Il serait en quelque sorte un être capable, seul, de découvrir la bonne voie.
Quelle est, selon vous, la proportion de parents qui ne savent plus exercer cette autorité légitime ? L’Éducation nationale, en septembre 2007, a relevé que 40 % des enfants arrivent en sixième sans maîtriser l’écrit ni le calcul. Et je crois que cela correspond aux parents ne sachant plus comment éduquer leurs enfants. Ce qui les met d’ailleurs en difficulté. Pourquoi j’associe ces deux phé¬nomènes ? Parce que le ¬sys¬tème ¬scolaire, qui est là pour délivrer un savoir, exige de l’enfant qu’il ne déploie plus sa toute-puissance infantile, qu’il ait intégré un certain nombre de règles. Un jour, une institutrice de CE2 m’a dit, désespérée, qu’elle n’avait plus des élèves, mais des clients. Quand elle disait : « Ouvrez vos livres, on va faire de la lecture », la moitié de la classe se levait, se mettait à discuter. Les uns disaient qu’ils voulaient plutôt dessiner, les autres chanter. Quand cette enseignante essayait de signaler aux parents ces comportements, ils lui répondaient qu’elle manquait d’autorité. Cette institutrice n’en pouvait plus. Et les parents avaient tort. Ce qu’ils ne comprennent plus, c’est que l’école n’est pas là pour éduquer, même si l’on parle d’Éducation nationale. L’éducation doit être préalable à l’entrée à l’école et doit commencer au berceau. Ce n’est pas à l’école mais aux parents d’éduquer. L’école est là pour délivrer un savoir. Autre problème, nous sommes passés d’une société de pénurie dans laquelle le message était : “Dans la vie on ne peut pas tout avoir”, où chacun allait essayer d’obtenir le maximum en étant conscient qu’il ne pourrait pas tout obtenir, à une société d’abondance où l’on considère avoir droit à tout. C’est au nom de cette idée que les publicitaires se vantent de ce que 53 % des décisions d’achat dans les familles sont prises par les
oui les aptitudes des hommes et des femmes ne sonts pas les mêmes extrait de la conclusion du livre.
le sexe du cerveau hommes/femmes lers vraies différences du Dr Jean-Albert Meynard
"L'identité de genre en est un exemple. Depuis l'aube de l'humanité, le chromosome souverain, maître du jeu de la survie par le nombre, c'est l'X. Il possède les meilleures cartes pour l'évolution. Son jeu manque seulement de lisibilité sur le très long terme. Il y a 3 ou 4 millions d'années, il prêtait beaucoup, mais à l'usure. La nécessité d'une reproduction sexuée, plus à même de multiplier un ADN diversifié, avait ses exigences. Le petit Y serait une sous-marque perfectionnée. Futur rejeton insatiable, créé à des fins de fécondation et de protection, il accomplira sa tâche avec l'abnégation qu'on lui connaît. La dépassera-t-il ? Il sera le moteur du générationnel par partition des gamètes, mais aussi doté de tous les attributs nécessaires à cette fonction. Étalon, chasseur, gardien, homme de main, fort en muscles et en gueule, mais de santé fragile et faible devant l'ave¬nir, l'Y sera tout cela. Plus tard, esbroufeur, il se parera volontiers de nobles desseins, mais de pure autoprocla¬mation. Le cahier des tâches imposées était cependant trop étriqué. Par son génie propre, par défi aussi, il allait le dépasser. L'hyperfonctionnement de son hémisphère droit, la spatialisation, la mathématique, la créativité, la domination, l'agressivité, autant de passe-temps pour distraire ce grand tâcheron de l'évolution, il les fera siens. Oubliée, alors, sa faiblesse congénitale ?
Non, bien sûr! Mais en attendant Godot, l'Y marque toujours son territoire. Les hommes, pourvus d'un cerveau spécialisé, restent en majorité fixés, et pour longtemps encore, au pouvoir, à la règle, à l'abstraction, à la compé-tition. Leur cerveau ne traite pas de la même manière les informations contextuelles. Les femmes, plus bilatérales, opposent plus généreusement à ces caractéristiques leur sagesse tellurique, leur désir de vie, de communication, de paix, de construction sociale. Leur matériel verbal est défi-nitivement supérieur, qu'il s'applique aux mots relatifs à des concepts, ou à des mots désignant des objets concrets. Ceci est toujours d'actualité.
Pourtant, des rapprochements dans le dimorphisme premier sont nettement perceptibles. Le contexte social, la démographie, l'environnement, l'évolution des mœurs apportent des éléments partiels de réponse. Sommes-nous pour autant à la veille de l'uniformité ? Beaucoup trop de faux-semblants pour une explication univoque, mais quelques faits réels constatés, exposés dans ce livre, soulèvent des questions. Dans l'autre sens, des invariants
dans la différence s'affirment comme jamais. Et le futur? Surtout ne pas s'en tirer par une pirouette.
Ne pas nier des évidences. La différence des sexes ouvre, certes émotionnellement, mais indubitablement, les chemins de la connaissance. L'autre si proche, si loin¬tain, jamais totalement perçu, éternellement secret... reste l'objet d'une préhension imparfaite. Sa représentation est source de découvertes et d'apprentissages. Une quête éternelle que seule la mort arrête. Un possible est toujours devant, une hérésie toujours passée. La différence est l'aspi¬ration à la complétude dont on sait l'intouchable limite. Optimisme de circonstance, la différence des sexes nous entraîne dans le projet passionné de tout comprendre. Le désir de perfection à la clé. En attendant : que vive la diffé¬rence des sexes ! Du bonheur pour chacun, si l'on regarde la mixité comme une richesse. Aborder avec sérénité une diversification qui nous marque dès la conception est affaire de bon sens. La chromatine est féminine et le reste. Pas de demi-mesure, pas d'affadissement de ce petit corpuscule. Les hommes en sont privés, même les plus gourmands. Ils ne vivront jamais tout à fait le vécu d'une femme, et réciproquement. La recherche à tout crin du particularisme est une démarche parfois utile lors d'un vécu de préjudice, mais se révèle tendancieuse lorsqu'elle est de pure forme. L'égalitarisme sexuel ne renverrait-il pas au mythe plato¬nicien de l'androgynie dans lequel l'humanité primitive, modèle de perfection cosmique, repose sur l'existence de trois genres, donnant ainsi corps à l'Éros? Le couronne¬ment d'un système imaginaire pour rendre intelligible le désir dans lequel hétérosexuels et homosexuels pourraient se reconnaître. Mais ainsi, femmes et hommes dans leur facture pleinement signifiée deviendraient une déchéance de ce monde idéalisé. Pas très satisfaisant. À revoir."
"L'hyperfonctionnement de son hémisphère droit, la spatialisation, la mathématique, la créativité, la domination, l'agressivité,"
oui les hommes sonts plus créateurs plus dominants plus agressifs, plus dans la compétition et alors ce n'est pas du machisme c'est simplement qu'ils sonts différents des femmes.
"oui plus créateurs je l'ai constaté en vingt ans de bureau d'étude", mais il ne faut pas le dire c'est contraire à la bien-pensance dans notre époque d'égalité à tout crin, la réalité c'est que la discrimination positive bat son plein hein anne lauvergeon.
même si les femmes sonts meilleures à l'école.
"Ces données servent l'illustration que le cerveau masculin naturellement imprégné de testostérone serait plus développé dans son évolution normale1, pour les performances spatiales et mathématiques. pour preuve, cette étude réalisée chez des adolescents des deux sexes sélectionnés pour leurs dons préalables. Ils sont évalués à l'aide d'un test de performance scolaire, le STA-M. Deux garçons pour une fille obtiennent un score de 500, quatre garçons pour une fille obtiennent un score de 600, et treize garçons pour une fille seulement obtiennent un score de 700. L'unilatéralité hémisphé-rique droite des hommes adoubée par leur testostérone créerait donc un différentiel non négligeable entre hommes et femmes au regard de la rigueur mathématique et de la logique spatiale.
Quelques précisions sont nécessaires avant d'extrapoler abusivement vers une suprématie des mâles dans cette discipline. L'hormone mâle joue certes un rôle primordial, mais dans un sens inattendu. Les femmes qui réussissent le mieux dans les tâches spatiales ont le taux de testostérone le plus élevé, alors que les hommes qui réussissent dans ces mêmes tâches sont ceux qui possèdent les taux les plus bas. Il existerait donc un niveau optimal de testostérone, un niveau seuil au-delà et en dessous duquel les performances sont moindres. Ce seuil correspond globalement à un taux bas pour les hommes.
La Théorie du Genre
en question ?
La théorie du genre semble aujourd’hui s’imposer dans la société moderne. L’introduction de celle-ci dans les manuels scolaires de SVT de classe de première ES et L des lycées a cependant entraîné une vague de contestation. Qu’en est-il alors de cette théorie ? Et quelles en sont les répercussions dans les relations hommes/femmes et l’éducation des enfants ?
La « théorie du genre » affirme que toute différence de comportement et de résultat entre les hommes et les femmes est la conséquence de la construction sociale. Cette idéologie s’est développée dans les années 1970, surtout aux Etats-Unis, et se retrouve aujourd’hui dans l’actualité. Elle commence cependant à inquiéter et a entrainé récemment de vives réactions.
Les études sociologiques faites par les féministes du « genre » permettent de constater des conséquences de l’éducation mais ne peuvent cependant absolument pas démontrer que les inégalités de comportement et de résultats entre les hommes et les femmes ne s’expliquent que par la culture.
Celles-ci résultent déjà de différences biologiques et notamment hormonales, parfaitement vérifiables aujourd’hui. On sait qu’à la naissance le petit garçon est littéralement « bombardé » de testostérone pour se construire physiquement homme et que cette hormone est aussi celle de la hardiesse et du mouvement. De même, au moment de l’accouchement, la femme voit son taux d’ocytocine augmenter considérablement afin de faciliter « l’accordage » avec le petit enfant…
La théorie du genre n’accorde que peu d’importance à ces différences biologiques et elle oublie, par contre, totalement la différence de structuration du psychisme. Et pourtant il y a bien une énorme différence au départ entre la petite fille qui naît d’une personne du même sexe et le petit garçon qui naît d’une personne de sexe différent.
Chaque petit enfant perçoit celle qui l’a mis au monde comme une divinité toute-puissante. Cela s’imprègne dans notre inconscient et fait que chaque humain homme ou femme continue de fantasmer sur la femme même si cette Femme, comme le dit Lacan, n’existe pas dans la réalité. En se rendant compte de la différence des sexes, le petit garçon apprend qu’il ne pourra jamais devenir comme sa maman et qu’il doit renoncer à jamais à son premier modèle et à la toute-puissance. Il subit alors une castration psychique terrible qu’il ne peut supporter qu’en la refoulant. Le refoulement, pour lui, consiste à se persuader qu’il n’a jamais voulu être comme sa maman et ainsi qu’il n’a pas de raison de souffrir. Pour cela, il lui faut démontrer qu’il est préférable d’être un garçon qu’une fille. Qui n’a pas vu des petits garçons exhiber avec fierté leur « zizi » et affirmer que « les filles sont nulles » ?
A la différence du petit garçon, la petite fille n’a pas à changer d’identification. Elle peut se dire qu’elle deviendra toute-puissante comme sa maman et qu’il lui suffit de grandir.
Les sociétés patriarcales ont presque toujours cherché à accentuer ces bases inconscientes pour marquer la séparation entre les sexes, inférioriser le sexe féminin et empêcher le retour à la mère. Il fallait donc (et il le faut encore) mettre fin à tout ce qui peut être construction sociale sexiste. La théorie du genre y a largement contribué et a servi la démocratie en contrant les arguments naturalistes des sociétés traditionnelles. Mais, aujourd’hui, elle fait de toute différence une injustice comme si l’asymétrie était toujours associée à une forme de domination. Certes, elle maintient la mobilisation contre des discriminations sexistes encore trop nombreuses mais aggrave la guerre des sexes au lieu d’essayer de la dépasser.
Dénier la différence des sexes fait en effet de l’homme le coupable idéal de toute inégalité de résultat et de la femme une éternelle victime : si la femme se trouve moins performante, l’homme est accusé de l’avoir discriminée ; si elle pense avoir des aptitudes supérieures, l’homme est rendue responsable de sa mauvaise éducation et enjoint de faire un travail sur lui pour se bonifier.
En déniant la différence des sexes et donc en s’évitant ainsi de la gérer, cette idéologie accentue les problèmes inévitables liés à l’altérité et exacerbe les conflits entre les sexes.
Plus dramatique encore, cette idéologie ne donne pas aux fonctions symboliques non interchangeables de père et de mère la possibilité de s’exercer. La mère sur le même plan que le père ne voit plus la nécessité de nommer un homme dans la fonction d’autorité pour faire intégrer les limites à l’enfant. Cette maman dont les capacités ne sont pas en cause, peut vouloir limiter l’enfant mais celui-ci, la percevant toute-puissante et donc sans limite, ne cherche qu’à l’imiter. Il n’a qu’un seul but : faire plaisir à sa maman pour rester dans la fusion et la toute-puissance avec elle, c’est à dire hors la loi.
En voulant éviter les névroses qu’a pu engendrer l’autoritarisme sexiste, l’idéologie du genre fait de « l’autorité parentale » « une autorité pas rentable » qui ne permet pas aux enfants d’intégrer les limites. Elle les laisse dans l’angoisse de l’unité, sans père et sans repère.
En recherchant l’unité de sexe comme d’autres ont recherché l’unité de race ou de classe, cette idéologie dérive. Elle a des conséquences graves sur les relations hommes/femmes et l’éducation des enfants et risque de nous entraîner vers l’utopie et la confusion ! … Ne sommes-nous pas déjà un peu dans l’indifférence ?
Belle explication, dans un langage clair Monsieur Gabard.
J'approuve complètement votre synthèse au ton nuancé, mais bien positionné.
Votre dernière phrase me donne envie de rebondir:
"des conséquences graves sur les relations hommes/femmes et l’éducation des enfants et risque de nous entraîner vers l’utopie et la confusion ! … Ne sommes-nous pas déjà un peu dans l’indifférence ?"
Non je ne penses pas que chaque individu pensant soit dans l'indifférence, mais il y a un paramètre de plus qui tend à nous confisquer cette détermination à affirmer des valeurs éducatives. C'est la tyrannie économique qui ramène invariablement les individus,homme, femme, enfant, et même nourisson au rang de consommateur-producteur avant toutes autres choses.
La communication, la publicité avec ses messages aux émotions dépersonnalisées surfent autant sur l'hypergenre, que sur l'androgynie, mais toujours sous une laque de papier glacé. Renvoyant l'image d'un monde idéal virtuel subliminal, pendant que chacun triment pour correspondre à des critères d'efficiences économique tout autant dépersonnalisant.
En bref, l'exigence économique fait que nous sommes la cible constantes de messages et de pressions contradictoires et idéalisés qui aliène les ressources personnelles.
En réalité qui a encore l'espace de pensée individuelle sur des valeurs humaines et l'énergie de s'indigner à bon escient dans ce brouhaha ?
"La pornographie est aussi une violence faite aux femmes, comme la prostitution. Il n'y a aucune moralisation dans ce constat : même le porno gay est plein de clichés sur les hommes dominés comme des "chiennes", des "salopes". On ne sort jamais de la violence."
Ca devient finalement intéressant sur quelques points de discuter avec vous pierre.
Concernant les hommes soumis aux femmes qu'en penses-tu ?
Je viens de tomber sur un lien en anglais qui parlait de la perte de la virilité de l'homme lors d'un rapport où ce dernier faisait un cunnilingus.
Il y a des femmes qui dominent les hommes. Je ne parle même pas des podophiles, scatophiles ... qui vénèrent les femmes comme des déesses.
Oui la pornographie a fait des dégâts, mais ce n'est pas le fait des hommes. C'est juste la maltraitance d'un sexe sur un autre qui est condamnable.
@aoki:
Nous sommes tous inconsciemment des esclaves du capitalisme : de nos idéologies qui ont permis à ces derniers de nous diviser, à notre quotidien conforter par des gadgets loufoques qui coûtent la peau du derrière ... et finalement à force de faire du crédit, on a finit par en payer les conséquences, enrichir les grosses sociétés et nous retrouver en galère.
Je me dis que le confort de notre époque est plutôt fabriqué sur un noyau nommé dieu désir.
"Cette idéologie s’est développée dans les années 1970, surtout aux Etats-Unis, et se retrouve aujourd’hui dans l’actualité."
Oui toutes les merdes que l'on a eu jusqu'à maintenant nous viennent de ce charmant pays.
Merci à la mondialisation.
Au fait y avait il un référendum pour chaque pays ?
"Si vous tenez tant à défendre la cause des hommes, au lieu de toujours vous concentrer sur les féministes, pourquoi vous ne parlez jamais du machisme des hommes envers les hommes ?
de l'homophobie ?"
Peut-être parce qu'il n'y a tout simplement personne pour oser en parler bien que ça existe.
Peut-être aussi parce que si les féministes ont été capables de bouger la société depuis quelques temps, elles sont capables de faire bouger la justice pour prendre en compte les cas.
Peut-être que les femmes mentent : bingo d'où l'existence des blogs homme libre
Au risque de me répéter ce n'est pas à nous mais à vous de s'occuper de celà. Les homosexuels sont très bien défendus vous pouvez me croire, plus que les hétérosexuels la preuve.
"ce blog est malheureusement devenu complètement machiste,un repère d'hommes ou pratiquement plus aucune femme ne vient débattre.
Il n'y a qu’à observer, nous étions encore assez nombreuses il y a quelques mois, nous ne sommes plus que 2 ou 3, et encore....
Dommage, vous allez vite vous ennuyer entre vous à tourner en rond et à casser de la meuf.
Et je le déplore pour l’auteur qui n’est pas complètement misogyne comme certains."
L'auteur sait garder son sang froid contrairement à moi. Si ça peut faire fuir les féministes convaincus de l'ultime vérité et qui traite de macho/miso et ancêtre des gens comme moi, j'ai deux mots à dire : vive moi !!
Faudrait que HL sanctionne les propos comme ceci, parce que insulter les gens qui ne pensent pas comme toi c'est limite. Enfin venant de toi plus rien de m'étonne :)
"ce blog est malheureusement devenu complètement machiste,un repère d'hommes ou pratiquement plus aucune femme ne vient débattre."
Vas y je te mets au défi de chercher des quelconques termes machistes dans mes propos. C'est Aristote c'est ça ? oui c'est vrai les femmes sont plutôt mutines, on le voit dans vos revendications féministes. C'est pas parce que je suis contre quelques aliénés ou malades, en l'occurence contre toi, que tu dois prendre ton cas pour une généralité, et par conséquent condamner les autres femmes. Il y a des femmes ici que je n'ai pas insulté : aoki, madison ... et pourtant une de ces femmes est plutôt contre certains billets. Tu veux que je te dises ? c'est toi le problème tu te fais des films, tu passes ton temps à essayer de me répondre, je pense que ça doit te distraire sans doute. Mais j'ai le droit de donner mon avis contre le féminisme qui m'emmerde en tant qu'homme viril hétérosexuel assumé. Je ne comprend pas le raccourci.
Tu dis que des femmes ont quitté ce forum, grand bien leur fasse, il y a certains que je peux pas piffer d'autres que j'apprécie plus ou moins et d'autres que j'aime bien. C'est le miracle de la vie.
"De ces ados rackettés part d'autres et tabassés à la sortie des cours par leur congénères parce qu'ils sont considérés comme faibles ?
Pourquoi ne parlez vous pas de tous ces hommes pris en faute par d'autres hommes ?
Ils existent pourtant et je ne vous vois pas monter au créneau pour défendre leurs victimes.
C'est dérangeant de parler de la violence physique ou psychologique faite aux hommes par des hommes ?"
Oui vous avez raison patricia non sans ironie. Je suis pour un billet sur la violence entre hommes.
Je dirais même plus allons plus loin, pourquoi une violence entre hommes et pas une violence homme/femme ?
"Faudrait que HL sanctionne les propos comme ceci, parce que insulter les gens qui ne pensent pas comme toi c'est limite. Enfin venant de toi plus rien de m'étonne :)"
Et tes menaces de mort à mon encontre, parce que j’ai l’audace de contredire tes délires de psychopathe, c'est pas pire que ce que Patricia a écrit ?
@hl, je n’ai aucun problème avec la sexualité mais vous mettez le doigt sur le problème : la sexualité, ce n’est pas de la violence. Or, la prostitution, la pornographie (dans 99% des cas) et la pédophilie, c’est de la violence. Je rappelle ce que disait l’ex-prostituée Rosen Hicher la semaine passée à l’Assemblée : « chaque passe était un viol ».
En réalité, vous confondez comme bcp de gens prostitution et sexualité. Quand vous aurez fait la différence, vous comprendrez le point de vue des abolitionnistes sans pour cela, le partager.
"Je pars du principe que si l'on est en possession de ses moyens, sans pistolet sur la temps, on doit être considéré-e comme responsable de ses actes. Je milite pour la responsabilité individuelle. L'idée que les femmes sont aliénées les infantilise. Aucun respect pour elles dans cette idée"
A ce compte-là, dans les années 30, les Allemands qui ont adhéré aux thèses nazies étaient aussi responsables de leurs actes, ils n’ont pas été manipulés et aliénés par Hitler. Et les publicitaires qui s’esquintent à nous vendre ce dont nous n’avons pas besoin, ils perdent leur temps.
Descendez de votre nuage de oui-oui au pays des Bisounours, je vous en prie. C'est pathétique de refuser à ce point l'idée du conditionnement, de l'aliénation, de la puissance des normes.
Vous faites des formations, vous vous dites coach mais vous pensez que chaque personne à son libre arbitre ? Pourtant, quand je lis le dossier sur votre accusatrice, vous faites mention de diverses influences qu’elle aurai subies pour porter plainte contre vous. En réalité, vous refusez l’aliénation et le conditionnement quand ça vous arrange mais dès que ça ne vous arrange plus, vous mettez en avant l’influence d’autres personnes. Je ne suis pas dupe de votre double langage.
Je vous cite "Parce qu’elle est coachée et instrumentalisée par une avocate casseuse d’hommes."
Alors, il est où son libre arbitre ? Elle avait un pistolet sur la tempe pour porter plainte contre vous ? C'est la faute de son avocate ?
Si ce n'était aussi grave, on aurait presque envie de rire de toutes vos contradictions. En tout cas, les Allemands doivent apprécier que vous imaginiez que leurs grands-parents étaient tous pour la destruction des Juifs, tziganes, gays, francs-maçons, communistes, etc.
Vive le libre arbitre !
"Vas y je te mets au défi de chercher des quelconques termes machistes dans mes propos."
Il suffit de voir comment tu demandes à "Pierrette" d'aller s'acheter une paire de couilles...ça en dit long.
De toute façon, te fatigues pas avec moi : tu collectionnes les vestes avec les femmes. C'est évident.
Soit tu choisis mal, soit tu n'arrives pas à te faire remarquer de celles qui te plaisent.
Voila d'ou vient réellement ta haine.
"Et tes menaces de mort à mon encontre, parce que j’ai l’audace de contredire tes délires de psychopathe, c'est pas pire que ce que Patricia a écrit ?"
Toi t'as l'audace de rien du tout, t'as appris ta leçon par coeur et lorsque quelqu'un apporte un argument construit, raisonnable ... tu te permets de l'insulter d'être ouvertement condescendant avec ce dernier. Ce n'est pas pour rien que je passe mon temps à t'insulter comme je disais à l'autre, il y a des gens avec qui je me sens à l'aise de discuter, toi et certains n'en faites visiblement pas partie.
Elle elle est un peu comme toi, convaincue de ses positions sans chercher la discussion, ce qui enlève tout l'intérêt d'un débat et toute crédiblité .
Comme je le signifiait plus haut, je suis bien plus névrosé, et moins sympathique envers mes adversaires que ne l'est homme libre.
"De toute façon, te fatigues pas avec moi : tu collectionnes les vestes avec les femmes. C'est évident.
Soit tu choisis mal, soit tu n'arrives pas à te faire remarquer de celles qui te plaisent.
Voila d'ou vient réellement ta haine."
Je collectionne surtout tes interventions stériles où désormais je vais feindre de les ignorer. En résume beaucoup de bruits pour rien.
Edit: t'as toujours pas répondu à ma question dans quel post ai-je manifesté de la haine envers une quelconque femme ce que t'appelle la misogynie ?
"A ce compte-là, dans les années 30, les Allemands qui ont adhéré aux thèses nazies étaient aussi responsables de leurs actes, ils n’ont pas été manipulés et aliénés par Hitler. Et les publicitaires qui s’esquintent à nous vendre ce dont nous n’avons pas besoin, ils perdent leur temps."
Il est arrivé au pouvoir à cause de la crise de 29
http://hgeo-college.blogspot.com/2007/11/janvier-1933-hitler-chancelier.html
Cette même crise que nous connaissons et qui fait le bonheur des extrémistes : de gauche à droite. Comme quoi c'est à partir de la merde que se construisent les extrémismes.
"Alors, il est où son libre arbitre ? Elle avait un pistolet sur la tempe pour porter plainte contre vous ? C'est la faute de son avocate ?"
Comme disait De Gaulle "les Français sont des veaux"
Tant que les gens ne penseront pas d'eux même ne se donneront pas le droit de critiquer un système quelconque, nous en resterons aux dérives des diverses aliénations. Les populations ne se rendent pas tous compte qu'ils sont allégrement manipulés.
"Alors, il est où son libre arbitre ? Elle avait un pistolet sur la tempe pour porter plainte contre vous ? C'est la faute de son avocate ?
Si ce n'était aussi grave, on aurait presque envie de rire de toutes vos contradictions. En tout cas, les Allemands doivent apprécier que vous imaginiez que leurs grands-parents étaient tous pour la destruction des Juifs, tziganes, gays, francs-maçons, communistes, etc.
Vive le libre arbitre !"
J'ai beau cherché je n'arrive pas à trouver un lien entre une victime de plainte et les éventuelles penchants du nazisme pour cette dernière. Expliquez vous, car je ne crains que vous ne puissiez vous comprendre vous même.
@ Pierre:
Donner trop de place à une influence extérieure c'est diminuer notre part individuelle dans notre destin. Il y a de nombreux prédéterminés chez un humain, biologiques et culturels. Mais je par du principe que la responsabilité individuelle est entre autres une manière de reprendre le pouvoir. Si j'agis selon une influence c'est que je n'ai pas d'opposition irréductible et que je peux m'en accommoder.
Vous citez les nazis. Ceux qui à un moment ont voté pour l'accession d'Hitler au pouvoir devaient être d'accord avec ses thèses. Mais une partie du peuple allemand a été sous la contrainte physique, ce qui atténue la responsabilité. Les soldats n'ont pas un grand degré de responsabilité parce qu'ils sont contraints physiquement à faire la guerre.
Le thème de l'aliénation est un thème déresponsabilisant. J'inverse les données: je suis, chacun est responsable. A nous d'être lucides et attentifs à nos choix. A nous de dire non si nous ne voulons pas. La contrainte physique est pour moi la démarcation.
Vous citez l'accusatrice de mon dossier. Je ne crains habituellement pas d'être contradictoire mais là je ne le suis même pas. Oui elle a été coachée, préparée dans les gestes et les mots. Cela n'enlève en rien sa responsabilité. Elle a décidé toute seule de faire ce qu'elle a fait. Elle a choisi les gens, les institutions, les procédures qui allaient dans son sens. Personne ne l'a forcée à faire le premier pas. Elle n'aurait peut-être pas été si loin si quelqu'un avait tenté de vérifier ou de nous mettre face à face. Mais elle a fait en sorte que cela n'arrive pas. Elle est responsable et d'autres sont complices.
Edit: t'as toujours pas répondu à ma question dans quel post ai-je manifesté de la haine envers une quelconque femme ce que t'appelle la misogynie ?
Désolée, dans un autre post, tu trouvais pas mal le jour ou on les verrait se balancer au bout d'une corde.
Je voudrais bien voir ta réaction si je parlais comme ça des hommes.
Euh je parlais pas des femmes en général je parlais des féministes misandres. Désolé si tu confonds les deux termes c'est ton problème pas le mien, mais je refuse de mettre celà sur le compte de la misogynie comme tu t'amuse à le faire.
Dans les temps les plus reculés de l'histoire des espèces humaines (plusieurs centaines de milliers d'années) la soumission de la femelle-femme n'est pas à négliger.
La femme femelle tout comme le mâle homme sont soumis à l'évolution. l'étude des différentes typologies des deux sexes aboutissent à ce qui est justement constaté chez les animaux. Le tri "sélectif" de la femelle fut et est prépondérant à la survie des espèces.Le tri "sélectif du mâle a et contribue a la survie de l'espèce.
Les organisations sociales ont elles aussi évolué, ce faisant elles ont permis aux femmes et aux hommes d'autres comportements. Le désir des uns et des autres est également un "outil" de survie de l'espèce humaine. La parade du paon est très bien connue, sa "queue" est un handicap qui plaît aux femelles!
Une femelle paon ne choisira pas un paon avec une petite queue mal faite, mais choisira le beau mâle reproducteur avec sa jolie grande queue afin d'assurer l'avenir de l'espèce dans les meilleurs conditions.
Les femmes et les hommes portent des parures de séduction afin de montrer le meilleur d'eux mêmes, ajoutées au reste, muscles, charpente, belle gueule et culture les ingrédients sont là pour un acte d'amour qui pourra assurer la survie de l'espèce dont le désir est "l'énergie".... Tout cela se fait d'une manière inconsciente ou presque, mais c'est ainsi qu'il faut peut être voir les choses.
En résumé, la femme qui s'épile est de ce fait plus désirable sur le plan esthétique, la "magie de la séduction fait le reste. Penser que c'est différent pour l'homme, c'est oublier que nous avons à séduire et ce, quelque soit notre morphologie et nos cultures.
Quelques mots sur les putes: "elles sont belles et heureusement qu'elles existent depuis la nuit des temps" cela n'empêche pas de combattre l'esclavagisme autant que les adeptes de M. Richard et des maisons closes.
Je ne suis pas un adepte de la pornographie, mais celle-ci est aussi utile que la contraception. Prend la pilule qui veut, quelqu'en soit les raisons.