Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
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Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
Miracle entre guillemets car il n’y a pas eu d’intervention surnaturelle. Le miracle c’est la volonté politique et sa mise en application par des milliers de mains, de pelles, de femmes et d’hommes.
La firme nippone l’a fait. En pleine frayeur climatique et anti-bagnoles il fallait oser. Cette pub iconoclaste, à contre-courant et provocatrice, joue sur la rupture d’avec les nouveaux codes vertueux et sur le retour du désir.
D’abord cette info surprenante. Une étude récente sur le réchauffement des océans a dû être modifiée après publication dans Nature. L’étude, très alarmiste, avait pourtant été révisée puis validée par un comité de lecture et publiée dans la plus prestigieuse revue scientifique au monde. Or la méthodologie et les conclusions de cette recherche étaient erronées.
La technologie modifie profondément notre manière de vivre. Cela dure depuis des millénaires. Et ça continue. Les avancées technologiques sont aussi de plus en plus aptes à corriger les défauts qu’elles ont autrefois engendrés, comme la pollution de l’air et de sites entiers.
Après la domination d’une pensée médiévale presque intemporelle, le temps a saisi l’esprit des hommes et lui a inspiré un nouveau déterminisme, non religieux celui-ci. Pensée médiévale: pourquoi presque intemporelle?
Mon précédent billet se terminait ainsi: « Le productivisme présente cette contradiction qu’à la fois il permet la survie de l’espèce dans des conditions inespérées, et la pousse en même temps au bord du précipice de la saturation et de l’insignifiance. » J’en dis un peu plus.
« La Terre n’appartient pas à l’Homme, c’est l’Homme qui appartient à la Terre ». Cette phrase attribuée au chef indien Seattle, de la tribu Suquamish, a été l’une des balises philosophiques de ma jeunesse.
Zemmour. Avec un Z comme Zorro. Il a pris du coffre sur Infrarouge. Il parle avec une force et une précision que je ne lui connaissais pas. Il tient son sujet et cloue le bec à ses contradicteurs. Fait remarquable, même Esther Mamarbachi n’arrive pas à le couper! Au fait, j’ai déjà vu Infrarouge mieux inspirée côté invités. Ceux-ci ont déroulé le tapis rouge au polémiste en n’étant simplement pas à la hauteur.
Suite du précédent billet.
Un constat de l’écologie politique, à la fois légitime et étrange, est que plus l’Homme agit sur son milieu plus il le dégrade. Mais pour corriger ce qu’il a défait il doit encore faire plus! Renaturer, entretenir, changer les systèmes et sources d’approvisionnement en énergie, freiner l’utilisation des productions industrielles qui font sa richesse (exemple: les voitures), etc.
Récemment les responsables d’Ecopop se sont défendus devant la presse. Le texte de leur initiative n'est pas raciste. Selon le directeur Andreas Thommen, «Il peut avoir un certain attrait pour les électeurs xénophobes, mais nous n'avons jamais voulu de ces gens».
Dans mon billet d’hier je souriais en montrant dans une vidéo quelques images de cette campagne américaine, ainsi que de son impact sur des hommes. J’était aussi étonné de voir des femmes et des hommes perdre à ce point toute fierté personnelle dans leur prise de position.
Retour hier soir d’une journée à Lyon. Je traverse la gare et passe par la galerie marchande pour remonter vers l’arrêt du tram 15. Un escalator permet d’y accéder. Devant moi un couple dans la vingtaine.
Il y a deux fêtes de la Saint-Jean. La plus citée est la Saint-Jean d’été, le 24 juin. C’est le moment de la plus grande force de la lumière solaire pour l’hémisphère nord. Non seulement le jour est long mais la lumière produit la chaleur qui fait pousser les végétaux vers l’extérieur. C’est la fête de Jean le baptiste, le convertisseur d’âmes, l’artisan de la mutation, celui qui annonce la lumière proche.
Ma bonne fée vient parfois me parler pendant mon sommeil. Elle s’introduit je ne sais comment, s’y installe comme un rêve, le bouscule et le chambarde, me lance un clin d’oeil et me fait signe d’écouter sans me réveiller. D’autres fois elle vient en volant d’un arbre voisin et se pose en amie sur le bord de la fenêtre ouverte, où elle m’entretient des choses de la vie et me demande si l’été sera chaud.
Sujet régulièrement mis sur le métier, la trame qui fonde les relations entre les femmes et les hommes n’en finit pas d'être détricotée et retricotée. Un nouveau pavé est lancé par le neurobiologiste Jean-François Bouvet, Le camion et la poupée. L'homme et la femme ont-ils un cerveau différent ? (Flammarion, 2012).
«Les troubles d'apprentissage, les difficultés de langage (comme la dyslexie et le bégaiement), le déficit d'attention avec ou sans hyperactivité et le syndrome d'Asperger, cette forme légère d'autisme, sont quatre à dix fois plus courants chez les garçons que chez les filles.»
Qu’est-ce qui différencie fondamentalement l’espèce humaine des autres espèces? L’apparence physique. Mais pas totalement: il existe des individus entièrement couverts de poils. On pourrait les confondre avec des grands singes. Un article fait la synthèse de six comportements et attributs, universels parce que partagés par tous les humains.
Markus Theunert, ex-Délégué aux questions masculines du Bureau zurichois de l’égalité, posait hier un principe: «La lutte des sexes n’est pas envisageable, car elle ne peut être gagnée. Il n’existe tout simplement aucune perspective stratégique en dehors de la coexistence et de la coopération entre hommes et femmes.» Ce préalable devrait figurer en tête de toute déclaration d’intention sur l’égalité des sexes.
Etrange article apocalyptique dans la revue Nature. Il relate une étude réalisée par la Simon Fraser University de Vancouver au Canada. Un chercheur prédit l’effondrement du climat de la planète avant la fin de ce siècle. Selon Arne Moers et son équipe, la rapidité du changement de la biosphère pourrait avoir une issue fatale d'ici à 2100.