Etrange article apocalyptique dans la revue Nature. Il relate une étude réalisée par la Simon Fraser University de Vancouver au Canada. Un chercheur prédit l’effondrement du climat de la planète avant la fin de ce siècle. Selon Arne Moers et son équipe, la rapidité du changement de la biosphère pourrait avoir une issue fatale d'ici à 2100.
L’effondrement planétaire
La notion «d’effondrement» du climat n’est pas décrite en détail: de quoi s’agit-il, comment se passerait-il, quelles en seraient les conséquences concrète? Néanmoins on comprend qu’il y aurait une sorte de passage de la planète à un autre état, irréversible selon l’équipe. La planète serait près d’atteindre un «point de non-retour», ou point de basculement. Qui pourrait, selon le chercheur, se produire en quelques années seulement.
En cause: la dégradation rapide des écosystèmes, les épisodes climatiques plus extrêmes et un changement du bilan énergétique. L’apport accentué d’énergie tirée des ressources planétaires a pour effet de modifier la biosphère: réchauffement, gaz polluants, dégradation et non régénération de certaines régions. L’accroissement de la population épuise les ressources en eau potable du sous-sol et des fleuves. En Inde par exemple, les nappes phréatiques sont exploitées au point où l’arrosage des cultures devient insuffisant, avec pour conséquence moins de production alimentaire. De plus elles sont polluées et des cultures sont contaminées à l’arsenic et aux pesticides, entre autres.
La nature a évidemment besoin de temps pour se régénérer, qu’ils s’agisse des sols (refaire de l’humus et neutraliser les polluants), des forêts ou des eaux, soit des éléments fondamentaux dans la possibilité d’exister pour de nombreuses espèces. De ces trois éléments proviennent la boisson, la nourriture et l’air.
Les constats divergent
La recherche canadienne est-elle fiable? Doit-elle être acceptée comme une certitude? Laisse-t-elle place à une légitime critique ou ferme-t-elle la porte à tout questionnement? Les articles concernant cette étude et disponibles sur le net sont peu détaillés et celui de la revue Nature n’est pas en accès libre. La logique de la recherche n’est donc pas apparente, seuls ses résultats alarmistes étant diffusés dans le public.
«Arne Moers, qui a dirigé la recherche, rappelle : «Le dernier point de basculement dans l'histoire de la Terre est apparu il y a 12.000 ans. C'est à l'époque où la planète est passée de la phase glaciale à celle actuelle, appelée inter glaciale. A ce moment, des changements biologiques les plus extrêmes menant à notre état actuel sont apparus en seulement 1.000 ans. C'est comme passer de l'état de bébé à l'âge adulte en moins d'une année. Et la planète est en train de changer encore plus vite aujourd'hui.»
On ne sait exactement ce que signifie «basculement» et quelles conséquences prévisibles il entraînerait. Le point de bascule est une notion théorique. Les chercheurs se basent sur l’étude du passé. Après 90‘000 ans de stabilité et de période glaciaire, la Terre s’est réchauffée il y a environ 11‘000 ans, passant d’une température nettement plus basse à la moyenne actuelle. Sur ce point les avis divergent. Un article de Science & Vie de ce mois nuance un point: le changement du climat glaciaire vers notre climat actuel a pris 25‘000 ans et non pas 1‘000 ans. L’étude citée par ce magazine tient compte de 80 points de forage du sous-sol - et donc d’exploration du passé climatique - répartis sur toute la planète.
Un risque qui ferait changer brutalement le climat dans certaines régions est l’arrêt de la circulation des courants de l’Atlantique nord, dû à la fonte excessive des glaces de l’Arctique. En quelques années l’Europe deviendrait beaucoup plus froide en hiver. Il y aurait une conséquence: réduction de l’agriculture et peut-être de l’autosuffisance alimentaire, et augmentation de l’usage de carburants de chauffage fossiles.
De l’étude du passé il faut aussi constater que, malgré plusieurs épisodes de glaciation depuis deux millions d’années, les espèces actuelles, dont les humains, ont survécu et se sont répandues. Le réchauffement interglaciaire d’il y a 11‘000 ans et le nouvel équilibre qui en a résulté - et qui prévaut encore à ce jour - ont été concomitants à l’expansion de notre espèce, au développement de l’agriculture et à l’émergence de plus en plus affirmée de la civilisation. On sait aussi que le réchauffement climatique du Moyen-Âge, l’Optimum médiéval qui a duré environ quatre siècles, a favorisé un saut quantitatif important pour notre espèce et pour ses moyens de subsistance. Les technologies et le mode de vie ont fortement évolué pendant cette période.
Positiver le changement
Le réchauffement actuel ira-t-il jusqu’à un point de bascule? Comment envisager précisément cette bascule? La planète ne dispose-t-elle pas d’une forme d’homéostasie, de systèmes de rétroaction qui viendraient tempérer le réchauffement? Les nuages de basse altitude, plus nombreux en cas de réchauffement, ont aussi un effet d’albédo (renvoi du rayonnement solaire) plus fort et rafraîchissent les températures au sol, dont celle des océans. Y en a-t-il d’autres? Sera-ce suffisant pour faire contrepoids au réchauffement? Une autre étude prévoit que l'enneigement de l'Antarctique sera plus important à cause du réchauffement, compensant en partie la fonte des glaces.
Le problème des annonces alarmistes et apocalyptiques est de neutraliser toute réflexion et tout discours critique. L’autre problème est qu’aucune étude n’envisage le réchauffement comme un facteur positif. Bien sûr qu’il y aura des changements et des pertes, mais aussi des gains ailleurs. L’espèce humaine s’est adaptée aux changements climatiques depuis des centaines de milliers d’années: pourquoi ne s’adapterait-elle pas cette fois?
La philosophie qui sous-tend cette recherche, comme celle qui imprègne les rapports du Giec, est que le changement est mauvais, négatif, dramatique. Cette philosophie conservatrice et réactionnaire ne se confirme pas dans l’histoire humaine. Les grands changements ont été source de progrès bien plus que de régression. Le catastrophisme n’est pas fondé historiquement. Et puisqu’un réchauffement est en cours, quelle qu’en soient les raisons, nous devons aujourd’hui le penser positivement, préparer notre adaptation et anticiper les inconvénients tout en valorisant les bienfaits. Changement de paradigme exigé! Les écologistes, conservateurs catastrophistes en chef, ainsi que les chercheurs, politiciens, gens de bonne volonté inquiets de l’état du monde, peuvent-ils faire ce retournement dès maintenant essentiel? La multinationale «Catastrophic International», cousine de «Radio-Litanie» peut-elle réformer sa philosophie?
Par contre le développement de ressources énergétiques durables et des technologies propres doit être amplifié quelles que soient les prédictions, alarmistes ou non, sur le climat. Cela non seulement pour des raisons environnementales mais aussi pour des raisons politiques d’indépendance énergétique.
Commentaires
"Par contre le développement de ressources énergétiques durables et des technologies propres doit être amplifié quelles que soient les prédictions, alarmistes ou non, sur le climat. Cela non seulement pour des raisons environnementales mais aussi pour des raisons politiques d’indépendance énergétique."
La richesse de l'homme réside dans sa création. Qu'elle soit scientifique ou artistique. Un peintre fait un portrait parce qu'il est inspiré. Aujourd'hui s'il veut vivre il dépend de l'argent à sa disposition pour le réaliser. La science est identique. On est scientifique par passion. Dès lors, on se dépasse et on peut mettre à jour des systèmes extraodinaires de déplacement grâce à cette richesse. Il est tout à fait concevable de faire des distances longues en très peu de temps. La technologie existe. Des trains suspendu avec un système électromagnétique par exemple. Fini le frottement des rails! Au niveau environnement en parle pas du bien fou pour la qualité de l'air. Un air plus sain économiquement est meilleur pour tout le monde et pour les coûts de la santé.
Mais pourquoi tout ceci n'est pas mis en avant ? Les raisons sont simples elles sont économiques. Le capitalisme a permi l'avancée de société à une époque ou les moyens techniques n'étaient pas celles d'aujourd'hui. Le capitalisme à ce niveau nous freine puisqu'il faut de l'argent pour construire des infrastructures que l'on pourrait avoir s'il n'y avait pas la barrière de l'argent. L'exemple du "Train à sustentation magnétique" en est un. Le projet a été enterré faute de soutien financier. Il semblerait que le développement des intérêts cumulés intéressent plus que celui du développement d'une société.
Bien à vous!
si il faut émigrer genre en Afghanistan, on est pas dans la dreux, pouahhh, je reste ici, jpréfère avoir l'homme de roswell disséqué comme compagnon de musée qu'un islamiste, c'est plus passionnant lol!!!
bizzzouxxx!!!
Notre terre est enveloppée dans une atmosphère dont la taille est déterminée par les interactions entre les forces de gravitation et de magnétisme terrestres, et les forces de gravitation et de magnétisme solaires, ces dernières déterminant en outre la taille et la forme de l'héliosphère dans leurs interactions avec le milieu interstellaire.
Notre atmosphère terrestre a une certaine densité et se déplace constamment dans l'espace, dont les diverses régions sont l'objet d'influences gravitationnelles et magnétiques variables et ont des densités en particules différentes les unes des autres.
Le facteur fondamental qui est probablement la principale cause des changements climatiques majeurs est la taille de l'atmosphère : ces diverses forces gravitationnelles et magnétiques déforment l'atmosphère en la dilatant ou en la contractant, ce qui modifie la pression atmosphérique et donc la circulation des vents, le cycle de l'eau, la quantité de chaleur que la terre reçoit du soleil, les températures etc ... de manière fondamentale.
Si par exemple la taille de l'atmosphère diminue brusquement, la vapeur d'eau qu'elle contient occupera une part plus grande de son volume total ce qui induira un effet de serre, alors que si la taille de l'atmosphère augmente, la vapeur d'eau qu'elle contient occupera une part moins grande de son volume total ce qui diminuera l'effet de serre.
Ces déformations ne sont pas dues uniquement à des modifications des forces gravitationnelles et magnétiques s'exerçant sur l'atmosphère terrestre ou à l'interaction entre le magnétisme terrestre et le flux de particules émanant du soleil, mais aussi aux variations de densité en particules des régions traversées par cette dernière : si l'atmosphère terrestre traverse une région de l'espace très dense en particules, elle aura tendance à se réchauffer, alors que si elle traverse une région de l'espace moins dense en particules elle aura tendance à se refroidir.
La terre tourne autour du soleil à une vitesse d'environ 30 kilomètres par seconde, soit plus de 100'000 kilomètres/heure, et elle est comprise dans un système solaire se déplaçant lui-même autour du centre de la Voie Lactée à environ 960'000 kilomètres/heure, à de telles vitesses le frottement de l'atmosphère avec une particule même minuscule produit beaucoup de chaleur.
Les scientifiques estiment que la terre rencontre ainsi actuellement, plus de 10 tonnes de poussières spatiales et particules diverses, dont environ 3'000 météorites d'un kilo chacune, et ce chaque jour.
Les scientifiques estiment que plus de 99% de la chaleur se trouvant à la surface de la terre est produite par le soleil, mais ce chiffre n'est certainement pas valable s'agissant de la quantité de chaleur comprise dans l'atmosphère terrestre, puisqu'ils ne tiennent pas compte de la quantité de chaleur produite dans l'atmosphère par le frottement de ces diverses particules.
Il en résulte que les variations des quantités de chaleur émises par le soleil, n'ont pas nécessairement une influence aussi grande sur l'atmosphère terrestre que les variations des forces gravitationnelles, magnétiques et de la densité en particules des diverses régions spatiales que la terre rencontre dans son double voyage elliptique.
Si nos scientifiques pouvaient connaître avec précision les forces gravitationnelles et magnétiques rencontrées par l'atmosphère terrestre, plus la quantité exacte de particules reçues par elle et s'ils connaissaient les diverses densités en particules des différentes régions de l'espace qu'elle a traversées depuis quelques centaines de millions d'années, ils seraient en mesure de constater quelles corrélations existent entre ces variations de forces gravitationnelles, magnétiques et de densité, et les variations climatiques majeures que la terre a connues au cours de son existence.
Nos scientifiques pourraient ensuite, en examinant les forces gravitationnelles, magnétiques et la densité en particules des régions de l'espace que la terre va traverser dans les prochaines années, prévoir quelles seront les tendances fondamentales du climat terrestre pour ces années-là.
Le problème est que le système solaire met environ 250 millions d'années à faire le tour de la galaxie et qu'il traverse le plan galactique toutes les 33 millions d'années environ, nos scientifiques ne possèdent donc pas les données nécessaires à une modélisation fiable.
Tout ce qu'ils ont pu constater à ce jour est une corrélation entre les principales étapes géologiques de la terre et cette période de 33 millions d'années, plus le fait que la forme de l'héliopause, et donc de l'héliosphère dépend des interactions entre le champ magnétique solaire et le milieu interstellaire.
Puisque la taille de notre atmosphère dépend des interactions entre les gravités et magnétismes terrestre et solaire et l'héliosphère, et puisque la forme de cette dernière dépend des interactions entre le champ magnétique solaire et le milieu interstellaire, il n'est pas déraisonnable de penser que des modifications affectant l'héliosphère sont aussi susceptibles d'affecter l'atmosphère terrestre, or nos scientifiques sont encore plus démunis sur ce point puisqu'ils ne connaissent rien du milieu interstellaire, aucune sonde spatiale n'a jamais dépassé l'héliopause (si j'ai bien compris un de vos derniers billets cela serait en cours actuellement).
Pour déterminer quelle météo il fera dans les 5-6 jours il est nécessaire de savoir ce qui se passe à l'intérieur de l'atmosphère terrestre, mais pour déterminer quel sera le climat à long terme il est nécessaire de savoir aussi et surtout, ce qui se passe à l'extérieur de notre atmosphère : voilà toute la différence entre la météorologie et la climatologie, et actuellement les scientifiques du GIEC prétendent faire de la climatologie en utilisant les outils de la météorologie.
Tant qu'ils agiront ainsi, leurs modèles climatiques demeureront fantaisistes, et tant que de tels modèles seront invoqués pour justifier telle ou telle politique, il faudra se méfier de l'arnaque.
Faire croire à la population mondiale qu'elle sera en mesure de stopper le changement climatique, comme on l'entend si souvent de nos jours, c'est faire preuve d'un orgueil démesuré car l'humain ne maîtrise pas les diverses forces et densités que l'atmosphère terrestre rencontre, c'est donc une dangereuse arnaque et il vaudrait bien mieux préparer l'humanité à s'adapter à ce changement, ce qui bien entendu n'empêche pas de limiter les pollutions dont nous sommes responsables.
Tant mieux, plus vite ce monde s'écroulera mieux ce sera
@kasilar je suis de votre avis ,cependant on peut compter sur le Cern pour refaire un monde sur mesures afin de contenter tous les perfectionnistes tous ceux qui veulent tout interdire qui font pire dans le dos des autres et qui sont aussi teigneux que punaises et cancrelats réunis.Ceux là auront aise pour respirer un air absolument pur débarassé de toutes molécules toxiques grace à l'atome seul vrai dépolluant créé par le grand Architecte et sur lequel nous vivons tous 24 sur 24 et ce depuis Adam et Eve
alors pourquoi s'en faire les plus riches seront partis pour Mars tandis que les plus mal nantis retourneront à la chasse aux papillons
Bonsoir Plume Noire,
Entièrement d'accord sur cette réflexion... enfin presque. :-) Oui, il y a un manque d'audace et de fonds pour des projets innovants et bon écologiquement. Par contre je ne sais pas si c'est seulement le capitalisme qui est la raison de ce frein. Peut-être était-il plus audacieux quand il n'avait pas encore la puissance qu'il a aujourd'hui. Ou bien il rentabilise les système existants jusqu'à la corde. Pourtant les innovations technologiques sont aussi bonnes pour l'économie, l'emploi, la consommation.
Mais par exemple sur le projet de train à suspension magnétique qui avait été projeté en Suisse, est-ce seulement une question d'argent? N'y a-t-il pas aussi des blocages administratifs ou autres?
Le Japon en a réalisé un. Et il gagne un savoir-faire industriel et technologique que la Suisse n'a pas développé. Dommage...
Bien à vous!
@ Lovsmeralda:
J'aime bien l'idée de la chasse aux papillons! :-) Mais j'aimerais bien voir Mars de près aussi. Ne pourrait-on pas introduire des papillons sur Mars?¿? :-)))
Bonne soirée.
@ Sarah:
Si vous voulez je vous emmène sur la Lune. J'y ai une petite datcha Au bord de la mer de la tranquillité, avec jacuzzi et solarium. Et je vous dis pas les clairs de Terre!!!
:-))))
Bizzzouxxx!!!
@ Fabula:
Merci pour cette information. Evidemment la difficulté est de mesurer à l'avance ce qui nous attend. J'ignorais le calendrier des 33 millions d'années. Votre développement apporte un regard plus global.
Oui j'ai parlé dans un récent billet du fait que Voyager 1 pourra bientôt envoyer des mesures du milieu interstellaire. C'est une question de quelques mois, au plus un an ou deux normalement. C'est passionnant.
Nous sommes d'accord que nous devons nous préparer à nous adapter. Le discours politique doit changer sur ce sujet, et les scientifiques devraient chercher comment utiliser au mieux le changement plutôt que de nous dépeindre des catastrophes. Mais la psychologie humaine...
Cela me fait plaisir de vous lire à nouveau. J'ai une question: est-ce vous qui tenez un blog dénommé fabula.org, sur la recherche en littérature? J'y ai lu des articles intéressants.
J'ai toujours en attente quelques idées à vous répondre. Cela date d'il y a un moment... :-/// C'est un de mes côtés. Je plains mes amis!!! :-)))
Bien à vous.
Sans chercher de midi à 14 heures et sans "enculer les mouches", un constat terrifiant s'impose:
la planète a passé de 3 milliards à 8 milliards d'individus en moins de 40 ans. Après on s'étonne.
Un grand merci aux religions obscurantistes pour avoir activé cette "évolution"!
@ Pétard:
En effet, le plus que doublement du nombre d'humains a nécessité des ressources alimentaires et autres considérables. Et comme le niveau de vie s'élève dans les pays émergents, on consomme plus de tout.
Les projections démographiques (de l'ONU je crois?) montrent un tassement de la croissance vers 2100. Nous serons alors 12 milliards. Alors à moins d'une épidémie - ou d'une guerre - il va falloir faire avec. Ensuite peut-être redescendre. Et ça n'est pas plus simple à gérer.
Dans les pays du Maghreb le nombre d'enfants par femme a déjà fortement baissé. Il semble donc que l'emprise religieuse cède du terrain.
@Hommelibre,pauvres papillons et pauvres humains avec une température moyenne de moins 60 degrés y'a forte chance que votre survie ne dépende plus ni de l'un ni de l'autre mais peut-être que les petits hommes verts attendent avec satisfaction l'instant ou ils pourront se venger de la stupidité humaine qui se veut conquérante mais en ayant tout détruit avant afin de les manger tout cru et dépourvus de toxines mensongères le froid tuant toutes les bactéries qui sait!
@Fabula. J'adore et vous remercie pour votre commentaire!
Il fait vraiment plaisir à lire et démontre que nous sommes encore en période de compréhenssion et d'analyse et nous ne pouvons à l'heure actuelle, que tirer des conclusion subjective.
Si je suis sceptique au réchauffement anthropique, ce n'est pas parce que je crois ou que je ne crois pas (on est pas à l'église) aux scientifiques ou à leur détracteur. C'est que les solutions avancée jusqu'à maintenant ressemble bien trop à de l'idéologie qu'à de réelle solution scientifique.
D'ailleurs la grande majorité des améliorations, se font dans l'ombre, à petit pas un peu partoutet améliore constement notre impacte sur la nature. Même si dans certains région du monde cela traine et peu et c'est normal. Nous ne sommes pas arrivé à l'IPAD du premiers couts... Les évolutions de chaque culture doit se construire par elle meme pour être véritablement solide.
Petard
Quel est le pays qui compte 15% de la population mondiale ? La Chine et l' idéologie dominante y est le communisme idéologie à mettre dans les poubelles de l' histoire. Je connais des familles occidentales qui ont sept gosses.
Mais bon mettre de façon simpliste tout sur le dos desvreligions et faire des amalgames grotesques est à la mode.
C' est beau le progrès...
@hommelibre Voici un site à visiter pour éclater de rire en voyant combien notre pays et d'autres s'est fait posséder par les écolos et leur fameux slogan durable qu'il sont eux-mêmes entrain de remettre en cause faute de réflexion intelligente bien entendu
il s'agit du site :Contrepoint /le nivellement par le bas
@Hommelibre : je n'ai aucun rapport avec le site fabula.org, comme je vous l'écrivais l'autre jour j'ai choisi mon pseudo en référence au mot latin signifiant histoire en français, parce que j'aime lire et écrire des histoires.
A l'époque vous m'avez demandé où l'on peut me lire, je précise donc que je ne suis pas écrivain et ne tiens aucun blog, on peut trouver les rares textes que j'ai eu le temps d'écrire dans les commentaires de divers blogs TDG.
Il serait fastidieux de rechercher ces textes, alors voici un exemple d'histoire que j'aime écrire, il s'agit de la parabole de la feuille de chêne, que j'ai postée sur un blog TDG il y a quelques mois.
Une feuille qui avait poussé au bout du plus haut rameau d'un chêne majestueux, avait toujours la sensation d'avoir déjà existé auparavant, de sorte qu'elle était persuadée d'être la réincarnation d'une feuille ayant vécu sur ce rameau il y a une ou même plusieurs années.
Cette feuille demanda aux autres feuilles du chêne :
- Avez-vous la même impression que moi, pensez-vous que nous puissions être des réincarnations de feuilles ayant vécu sur ce chêne il y a une ou plusieurs années ?
- Oui nous avons cette impression mais nous ne pouvons pas l'expliquer, répondirent certaines feuilles situées au bout des rameaux.
- Non, répondirent les autres, et celles situées près du tronc ajoutèrent qu'une telle idée leur semblait absurde.
La feuille posa la même question à une mouche qui s'était posée sur elle et qui lui répondit :
- Je vois que chaque feuille de ce chêne a une forme unique et différente des autres, que chacune a un emplacement bien déterminé, mais je ne vis qu'une saison, je ne sais pas comment étaient les feuilles de ce chêne il y a un an et je ne peux donc pas les comparer avec toi.
La feuille posa alors la question à un moineau qui s'était posé sur le rameau à côté d'elle, et il lui répondit :
- Je ne sais pas si la réincarnation des feuilles de chêne est possible, mais je peux te dire qu'il y a un an je me suis déjà posé sur ce même rameau, et il y avait une feuille qui te ressemblait comme deux gouttes d'eau, sauf qu'elle était située plus près du tronc parce que le rameau qui te porte n'était pas aussi long que maintenant.
La nuit suivante, un hibou réputé dans toute la forêt pour sa sagesse se posa sur le rameau, la feuille le questionna et il lui répondit :
- Les réincarnations existent mais ne sont pas semblables à des perles enfilées sur un collier et traversées par un fil unique qui serait l'âme, elles sont semblables à des dés empilés les uns sur les autres et reliés par des conditions ; ne cherche pas à connaître tes incarnations passées, tu en es le résultat alors vis pleinement ta vie présente et lorsque tu rencontreras ta monade, tu auras la réponse à ta question.
Ne sachant pas ce qu'est un collier de perles, un dé ou une âme et encore moins ce qu'est une monade, mais ne voulant pas importuner le sage hibou par toute une série de questions, la feuille de chêne demeura perplexe.
A la fin de l'été, la feuille constata que son pourtour commençait à sécher, pendant l'automne la partie vivante de son corps diminua de plus en plus et la partie sèche et morte augmenta de plus en plus.
Vers la fin de l'automne, la partie encore vivante de la feuille n'était plus constituée que par la tige qui la rattachait à la branche et par la sève contenue dans cette tige, tout le reste de la feuille était sec et mort, de sorte que la feuille se dit :
- La feuille que j'étais est sèche, désormais je ne suis plus qu'une tige avec un peu de sève dedans !
Au début de l'hiver, même cette tige commença à sécher, la feuille se dit alors :
- La tige que j'étais commence aussi à sécher, désormais je ne suis plus qu'une goutte de sève de feuille, et je ferais mieux de quitter cette tige mourante avant qu'elle ne se détache du rameau !
Et juste avant que la feuille, désormais entièrement sèche et morte, tombe du rameau, sa dernière goutte de sève remonta par la tige et entra dans ce rameau.
A ce moment précis, cette goutte constata qu'elle n'était pas seulement de la sève de feuille, mais aussi celle du rameau, et elle se rappela la vie de toutes les feuilles qu'elle avait incarnées sur ce même rameau pendant les années précédentes.
Elle comprit que seul le rameau qui a porté ces feuilles peut conserver en mémoire la vie de chacune d'entre elles, parce que seul ce rameau a recueilli les dernières gouttes de sève de toutes les feuilles qui ont poussé sur lui, au contraire de ces feuilles elles-mêmes dont aucune n'a reçu directement ces dernières gouttes, bien qu'elles aient reçu la sève du rameau, soit un condensé des informations contenues dans ces dernières gouttes.
Elle comprit aussi ce que voulait dire le sage hibou : sa naissance au bout du rameau puis sa vie de feuille n'avait pu se produire qu'à condition que d'autres feuilles plus anciennes aient vécu sur ce même rameau mais plus près du tronc, car le rameau n'aurait pas pu pousser et lui donner naissance à cet endroit-là, s'il n'avait pas reçu de ces feuilles plus anciennes l'énergie nécessaire à cela.
Elle se dit alors :
- La sève que j'ai reçue du rameau pendant toute ma vie passée de feuille contenait la réponse à ma question, donc si j'avais examiné attentivement ma propre sève au lieu d'interroger les autres feuilles puis la mouche, le moineau et le hibou, j'aurais eu plus vite cette réponse, je ne l'ai pas fait parce qu'en tant que feuille, je me croyais distincte du rameau qui me portait jusqu'à ce que ma mort me contraigne à m'identifier à la sève, mais maintenant je veux en savoir plus !
Ayant compris qu'elle n'était pas seulement sève de feuille ou de rameau mais sève du chêne tout entier, elle revit alors le tronc de ce chêne se développer en 7 parties, puis chacune de ces parties donner naissance à 7 branches, puis chacune de ces branches donner naissance à 7 rameaux, et finalement elle vit des millions de feuilles qui, saison après saison, avaient vécu sur les 343 rameaux de ce chêne plus que centenaire.
L'humanité est analogue à ce chêne, et les humains sont analogues à ses feuilles.
Rien de bien optimiste...
encore faut-il passer l’année 2014 et le calendrier mayas. Bonne nouvelle tout de meme nous avons deja echappé a la derniere hypotheses de l’article ci-dessous :
Merci pour cet article :)
peut être, je suis d'accord avec votre theorie.
Depuis longtemps, le monde scientifique est parcouru par des ambitieux qui ne reculent devant rien pour se mettre en avant. On est plus dans l'art de la manipulation qu'autre chose. De toute façon, je n'ai rien lu dans votre résumé concernant la surpopulation, qui est LE problème...
Merci pour le partage