Je rebondis sur le dernier billet de Philippe Meyer. Il tient le blog PremiAirClasse sur le traffic aérien. Dans ce billet il s’exprime sur notre irréductible besoin de voyager.
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Je rebondis sur le dernier billet de Philippe Meyer. Il tient le blog PremiAirClasse sur le traffic aérien. Dans ce billet il s’exprime sur notre irréductible besoin de voyager.
Images saisissantes de la prolifération de déchets en plastique. Il y a une rivière dessous. On ne la voit plus, ou presque. On la devine. Et l’on se demande comment une telle pollution peut continuer.
Elle est jeune et jolie, Camille Callen. Il faut ça dans son travail d’influenceuse. Car elle vend, ou du moins pousse à l’achat de mode les jeunes filles qui la suivent sur les rézos. Elle fait partie de ces jeunes femmes bien faites qui servent de mannequin pensant.
Sur internet on trouve des sites météos complets et excellents. J’en ai découvert un nouveau. Sur ce visuel magnifique on peut visualiser de nombreux paramètres par couches. Il ne donne pas de prévision du temps mais vous verrez presque tout ce qu’il y a à voir de notre atmosphère.
La technologie modifie profondément notre manière de vivre. Cela dure depuis des millénaires. Et ça continue. Les avancées technologiques sont aussi de plus en plus aptes à corriger les défauts qu’elles ont autrefois engendrés, comme la pollution de l’air et de sites entiers.
En parlant hier de l’océan austral, sujet que je pensais neutre et fédérateur, j’ai réalisé qu’il était contaminé lui aussi. Par qui? Je n’en sais rien. On ne sait pas qui lance une légende. Celle des 1’000 ans en l’occurrence.
S’agissant des protections hygiéniques on doit reconnaître un brin d’humour dans le slogan Changer les règles. Il n’y manque que le tampon de l’administration. Pour une fois qu’elles sont drôles.
Comme je le signalais il y a plus de 6 ans les vaches pètent beaucoup. Elles rotent aussi. Ce sont des usines à méthane. Du bon méthane perdu faute de pouvoir raccorder le derrière des bovins au réseau. Donc ce méthane va dans l’atmosphère où il gazàeffetdeserrise 23 fois plus que ce malheureux CO2.
On a domestiqué l’eau qui tombe en construisant des barrages et des canaux d’irrigation. La prochaine étape sera-t-elle de capter la force de l’eau qui monte ? Une revue scientifique américaine publie le résultat d’une expérience réalisée par des chercheurs de l’Université de Columbia à New York et Loyola à Chicago. Comment cela marche ?
Suite du précédent billet.
Un constat de l’écologie politique, à la fois légitime et étrange, est que plus l’Homme agit sur son milieu plus il le dégrade. Mais pour corriger ce qu’il a défait il doit encore faire plus! Renaturer, entretenir, changer les systèmes et sources d’approvisionnement en énergie, freiner l’utilisation des productions industrielles qui font sa richesse (exemple: les voitures), etc.
L’écologie est fondamentalement conservatrice. Son discours depuis quarante années est rempli de mots et expressions comme: conserver le patrimoine naturel, préserver les ressources, rétablir l’équilibre antérieur, sauver la planète contre la surconsommation. L’Homme est perçu idéalement comme un gardien de la nature, pas un exploitant. Ou alors un exploitant sage et mesuré, ne cherchant à satisfaire que des besoins fondamentaux.
Dans les années 1960-70, la grande peur était la destruction de la planète par les pluies acides. Le problème a été identifié depuis 1870 mais il a commencé à être vraiment documenté il y a une cinquantaine d’années. Des études montraient une augmentation dramatique de l’acidité par rapport au début du 20e siècle. La fin de la planète était quasiment annoncée pour les 30 années à venir. Les arbres allaient perdre leurs feuilles, les végétaux mourir par manque de nutriments dissous par l’effet de l’acidité du SO2, principal accusé à l’époque.
Etrange article apocalyptique dans la revue Nature. Il relate une étude réalisée par la Simon Fraser University de Vancouver au Canada. Un chercheur prédit l’effondrement du climat de la planète avant la fin de ce siècle. Selon Arne Moers et son équipe, la rapidité du changement de la biosphère pourrait avoir une issue fatale d'ici à 2100.
Ce serait simple si le pôle Nord était une pancarte plantée dans la neige: «Ici, pôle Nord magnétique» ou encore: «Extrémité septentrionale de la grosse orange bleue». En réalité c’est possible pour le pôle géographique qui dispose d’un lieu fixe, soit l’extrémité de tous les méridiens. Mais cela ne suffit pas pour le pôle magnétique. Parce qu’il bouge. Et même de plus en plus vite depuis 1990.
Superman ne veut plus être américain. Non, ce n’est pas l’effet Bin Laden: Superman ne manifeste pas contre l’armé américaine ou contre le président Obama. Mais, indirectement, il y a quand-même un petit quelque chose de ça.
Quelques images fortes dans les affiches de campagne. De la castagne, de la vulgarité, de la douceur. Une palette d’émotions. Chaque parti ou groupe d’intérêt a son langage. Je propose une nouvelle fois une analyse visuelle et textuelle de la forme, de la manière de communiquer, sans prendre parti sur le fond, sur le contenu des positions. Ce qui ne m’empêche pas de dire ce mon avis sur le message véhiculé. Ce n'est qu'un point de vue, appuyé sur les éléments mis en images des affiches. J'aime tenter de décoder les images au-delà de ce qu'elles veulent nous montrer.
On sait - ou on ne sait pas - les multiples applications du cannabis. Une plante franchement extraordinaire. Avant de parler de Fukushima, un bref rappel est utile, histoire d’inciter les producteurs et les autorités à développer cette culture. Il est étonnant que l’on ne voie pas plus de champs couverts de ces belles feuilles vertes sur leur longues tiges.
Elle fait du bruit. Elle envahit les villes. Pour elle on bitume des campagnes. Elle utilise une place folle à l’arrêt. On lui construit des immeubles ou des grottes souterraines pour la parquer. Elle consomme une énergie épuisable. Elle pollue. Elle contribue à la mort de 1,2 millions de personnes chaque année selon l’OMS. En 6 ans c’est l’équivalent de la population de la Suisse qui disparaît. A ces morts on peut ajouter les blessés graves, mutilés, amputés, handicapés à vie, et les enfants orphelins, les familles détruites.
La crise de confiance dans le nucléaire causée par l’accident de la centrale de Fukushima suscite de nombreux débats, dont celui sur le remplacement de l’atome civil et le développement d’autres sources. Le gaz de schiste fait partie des alternatives envisagées, voire déjà exploitées comme aux Etats-Unis. Cependant les projets en France suscitent des réactions violentes. Retour sur un thème appelé à faire encore parler de lui.
La diminution quantitative et qualitative du sperme chez les hommes est un sujet inquiète les scientifiques depuis plusieurs années. Moins 40% de spermatozoïdes en 20 ans. Les recherches concernent en premier lieu les hommes occidentaux mais la dissémination des polluants concerne l’ensemble de la population masculine: produits phytosanitaires, cosmétiques, peintures, etc.