La condamnation de la Suisse par la CEDH : résister.
Les élus fédéraux des deux chambres ont fait la même analyse: la condamnation de la Suisse par la CEDH pour « inaction climatique » doit être rejetée.
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La condamnation de la Suisse par la CEDH : résister.
Les élus fédéraux des deux chambres ont fait la même analyse: la condamnation de la Suisse par la CEDH pour « inaction climatique » doit être rejetée.
Les boomers et le bidon à lait.
Les boomers ont-ils détruit la planète, comme on l’entend dire par les jeunes générations? Le texte qui suit n’est pas de moi. Il nous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître... Je l’ai trouvé sur un compte Linkedin. Il pourrait figurer comme sujet de philo dans la classe de Greta Thunberg. J’en reproduis des passages.
En décembre dernier, le Faucon Pèlerin japonais larguait sur Terre plus d’un gramme de matière capturée dans le ciel. Capturée assez loin: sur l’astéroïde Ryugu à 440 millions de kilomètres.
Qu’ont-ils tous? On dirait qu’ils ont vu le diable! Ils n’avalent pas ce « coup » du capitalisme amerloquain. Ils disent que cette campagne est immorale alors que la planète agoniserait à cause de notre consommation effrénée.
Ce samedi matin deux sites météo annonçaient la température à Genève à 08 heures. L’un indiquait 8°, l’autre 8,6°. C’est beaucoup: six dixièmes de différence sont équivalents à soixante années de réchauffement au rythme d’avant 2000.
Ce n’est pas une blague: la phase de réchauffement que nous connaissons a commencé il y a au moins 330 ans. Toutefois l’analyse plus fine du graphique présenté hier montre que ce réchauffement se produit par paliers, avec une alternance de poussées fortes, de plateaux, et de courtes séquences de baisse.
Sur internet on trouve des sites météos complets et excellents. J’en ai découvert un nouveau. Sur ce visuel magnifique on peut visualiser de nombreux paramètres par couches. Il ne donne pas de prévision du temps mais vous verrez presque tout ce qu’il y a à voir de notre atmosphère.
Le quotidien Le Monde a réalisé une première page spéciale sur la question: «Peut-on encore sauver la planète?». Je propose ici une série de réflexions en parallèle à la conférence de Paris sur le climat. Une réflexion critique car aucune dogme ne doit être accepté sans avoir poussé à son extrême le raisonnement.
Comment ne pas être sous le charme? Les images récentes de Pluton délivrées par la sonde New Horizon et la Nasa sont fascinantes. La toute dernière en haute définition fait penser à ces vues d’artistes qui illustrent l’espace inconnu.
Peu d’humains se questionnent, vérifient, réfléchissent librement. C’est une tâche ingrate: contrôler les affirmations lancées par des petits groupes suppose de chercher l'information, l'analyser, et douter par principe. On retrouve avec le NEF, qui calcule le jour du dépassement, un groupuscule jouissant d’une aura médiatique disproportionnée, diffusant un message anxiogène, simplifiant ce message à l’extrême et ne donnant pas le biais de son calcul. La manipulation des masses n’est pas loin.
La Nasa a mis en ligne une simulation du réchauffement climatique depuis 1880. Pleine de couleurs. Bleu pour le frais, jaune-rouge pour le chaud. On est presque rendu aux couleurs des filles et des garçons! Encore un coup de météorologues facétieux et opposés à l’indifférenciation des choses.
L’écologie est fondamentalement conservatrice. Son discours depuis quarante années est rempli de mots et expressions comme: conserver le patrimoine naturel, préserver les ressources, rétablir l’équilibre antérieur, sauver la planète contre la surconsommation. L’Homme est perçu idéalement comme un gardien de la nature, pas un exploitant. Ou alors un exploitant sage et mesuré, ne cherchant à satisfaire que des besoins fondamentaux.
L’émission télé Mars One a relancé l’intérêt du public pour une émigration sur la planète Mars. Des milliers de volontaires se sont inscrits pour un voyage sans retour, et seuls quelques-uns resteront dans l’émission pour un départ bien hypothétique. Serait-il possible d’émigrer et de coloniser la planète rouge?
L’idée d’unir la planète sous la direction d’un gouvernement unique, mondial, m’a longtemps paru être un objectif souhaitable. Ce serait peut-être la fin des guerres et des disparités excessives entre les populations. Aujourd’hui je vois cela d’un autre oeil.
Le ciel ne lasse jamais. Cette fois c’est une nouvelle image, sublime, de la planète Saturne (Cliquer pour agrandir). Et la comète Ison, en approche, qui reprend de l’éclat.
L’information circule depuis 2011. Le directeur de la division héliophysique de la Nasa, le Dr Richard Fischer, annonçait pour l’année 2013 une tempête solaire géante. Le titre de ce billet est repris d’un des nombreux sites qui ont relayé l’info. Selon un autre site le degré de gravité imminente est maximal:
La démesure semble la norme au Chili. Sur ses hauteurs, précisément dans le désert d’Atacama, se succèdent télescopes et observatoires tous plus grands et puissants les uns que les autres. Le nouveau se nomme ALMA et a été inauguré il y a deux jours.
C’est comme un fait exprès. A deux jours du barnum mystico-commercial de la fin supposée du monde la Nasa nous sort une info croustillante et vibrante, de quoi se dire au dernier moment: «Je n’y crois pas, mais... si c’était vrai?»
Le ciel semble avoir un agenda très chargé et quelque peu imprévisible. L’an dernier déjà la comète Elenin, supposée déclencher des éruptions volcaniques et des tremblements de terres en masse partout à la fois, n’a réussi qu’à faire virevolter quelques particules égarées dans le grand ciel noir.
Dans les dernières minutes de la descente les gens de la Nasa ne pourront plus modifier quoi que ce soit à la procédure d’atterrissage. Tout est confié à la technologie. Tout est programmé de manière extrêmement rigoureuse. Zéro erreur possible. La moindre panne, la moindre info aléatoire, le moindre rivet explosif qui fait pschittt plutôt que boum et c’est cuit.