Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Voulant lutter contre la violence sexuelle sur les campus, Barak Obama, mal informé de la réalité, avait contraint les universités à durcir les procédures à l’encontre des auteurs présumés.
En effet Columbia et d’autres universités étaient accusées d’être trop laxistes avec les personnes dénoncées pour méconduite sexuelle. On parlait même d’épidémie de viols impunis. Un groupuscule d’activistes, One in Four, avait dès l’an 2000 préparé cette notion d’épidémie en affirmant qu’une étudiante sur quatre serait violée pendant ses études.
Une affirmation qui tient plus de l’hystérie ou du mensonge éhonté que de la réalité, comme nous le verrons plus loin.
La prestigieuse Harvard n’échappe pas au déferlement sexiste misandre:
« Plus d’une vingtaine de professeurs de droit de Harvard ont récemment publié une tribune s’élevant contre les nouvelles réglementations adoptées par l’université en matière de harcèlement sexuel. «Pour statuer sur des affaires d’infraction sexuelle présumée, Harvard a adopté des procédures qui dérogent aux éléments d’équité et de droit les plus fondamentaux», écrivent-ils.
Mais pourquoi une Université aussi cotée plonge-t-elle dans l’arbitraire et sacrifie-t-elle nombre de ses étudiants mâles au seul profit des femelles?
Réponse, dont la teneur fair frémir:
« Suivant ce nouveau système, l’accusé n’aura le droit à aucune audience et n’aura donc aucune possibilité d’interroger des témoins et de construire sa défense. L’Université d'Harvard, selon les auteurs de la tribune, «jette par-dessus bord toute notion d’équilibre et d’équité dans le seul but d'apaiser à la va-vite certains responsables de l’administration fédérale. »
« Mais aller à l’encontre d’un décret du Département de l’Éducation pourrait mettre en péril les subventions que le gouvernement fédéral alloue à l’établissement. Un risque que même une université comme Harvard, la plus riche du pays, n’est absolument pas disposée à prendre. »
On se croirait en régime de type fasciste.
En 2011 et 2014 Barak Obama avait donc imposé de nouvelles règles de procédure aux Universités en cas d’accusation de ce type.
La journaliste états-unienne Judith Schulevitz avait alors demandé un avis de droit à une avocate féministe, Robin Steinberg. Celle-ci réagissait rapidement:
« Quelques heures plus tard, Steinberg a répliqué, alarmée. Elle avait lu le document avec des collègues du centre d’aide juridique du Bronx qu’elle dirige.
Ils ont été horrifiés, a-t-elle dit, non pas parce que Columbia n’avait toujours pas suffisamment protégé les survivantes d’agression, comme certains critiques l’accusent, mais parce que ses procédures ont révélé un mépris cavalier pour les droits civils des personnes accusées de viol, d’agression et d’autres crimes sexuels. »
Elle avait même cette formule terrible qui résume la dangerosité de cette campagne pour les garçons: « Nous n’enverrons plus nos garçons à l’Université. »
Les directives du gouvernement Obama avaient clairement désavantagé les accusés et réduit leurs droits légaux au profit des accusatrices, faisant fi d’un principe fondamental: la présomption d’innocence. Nombre d’étudiants mâles ont été sanctionnés, voire exclus, sans aucun procès, comme c’est le cas de Drew Sterrett, dont l’histoire et son contexte sont racontés dans un article d’Emily Yoffe, traduit par la féministe évolutionniste Peggy Sastre.
Dans ce même article on en apprend plus sur l’origine de l’information sur la supposée épidémie.
« La Sexual Victimization of College Women, une étude de 2000 commandée par le Département américain de Justice, sert de base à une autre statistique fréquemment citée et encore plus sordide que les conclusions de la CSA: qu'une étudiante sur quatre sera violée au cours de ses études.
Le nom de l’association, One in Four, vient de là. Pourtant, si on lit l'étude, on trouve que 1,7% des femmes interrogées déclarent avoir été victimes d'un viol caractérisé. Comment les résultats d'une étude pour qui moins de 2% des étudiantes sont violées en moyenne chaque année peuvent se transformer en une probabilité de 25%?»
Sur l’image 3 tirée de cette étude on trouve ce chiffre de 1,7 % d’étudiantes ayant déclaré avoir été victimes de viol. Ce sont des auto-déclarations, pas des affaires jugées.
Une enquête fédérale étalée de 1995 et 2011 donne des chiffres encore plus faibles:
« Prenez par exemple le National Crime Victimization Survey. Cette enquête, menée sur un échantillon nationalement représentatif est menée par le gouvernement fédéral pour estimer le taux de signalement des crimes. Entre 1995 et 2011, selon Rennison, l’enquête montre qu’environ 0,8% des femmes non étudiantes âgées de 18 à 24 ans déclarent avoir été victimes de menaces ou de tentatives de viol/d’agression sexuelle, ou de viol/d’agression sexuelle caractérisés. Sur la même période, les femmes étudiantes sont environ 0,6%. On est loin de l’idée voulant qu’une étudiante sur cinq ait à subir une agression sexuelle entre le début et la fin de son cursus. »
Or, « c’est ce chiffre qui est le plus souvent cité pour laisser entendre que la violence sexuelle est endémique sur les campus des universités américaines. »
Les fausses accusations, en revanche, commencent à défrayer la chronique aux USA comme ici. On se rappelle ou non le fiasco d’un article de Rolling Stone. Du maxi bullshit. J’ai déjà abordé ces affaires ici.
Le résultat de l’hystérie misandre féministe est que ces mensonges exagèrent les chiffres à un point où ceux-ci deviennent suspects par principe pour toute autre publication. Et Obama a commis là une grande oeuvre: soutenir et amplifier le mensonge féministe et faire croître l’idéologie misandre.
En 2017 Donald Trump a abrogé le dispositif sexiste d’Obama. La presse a peu relayé. On se demande pourquoi. Dorénavant les universités n’auront plus à craindre les foudres des « progressistes » si elles n’appliquent plus cette politique ouvertement misandre.
Trump avait été accusé de sexisme à cause d’un propos de vestiaire. Obama a été encensé pour avoir imposé le sexisme d’État contre les hommes. Cherchez l’erreur.
Pendant ce temps le candidat démocrate Biden a été accusé d’agression sexuelle. Je n’ai pourtant pas vu de déchaînement médiatique à ce sujet.
Le Camp du Bien est en réalité le camp des néo-fachos. Ce qui s’est passé à l’uni d’Evergreen et les propos anti-blancs de plus en plus habituels chez les nouveaux racistes: les minorités racialistes, le montrent.
Au fait, que pense Obama quand il regarde les fesses d’une femme comme un amateur apprécierait un bel objet? Que Dieu est grand et miséricordieux?
Commentaires
Je pourrais commenter ce billet mais le principale est dit: les féministes mentent sur les chiffres et tronquent la réalité pour servir un discours qu'elle savent douteux et inacceptable.
De plus en plus, les hommes sont traités comme des chiens à qui ont n'hésite pas à conférer un statut inférieur. J'ai un exemple très simple, auquel je suis confronté de temps en temps, qui me rend fou:
dans un centre commercial près de chez moi, il y a 4 places de parc réservées aux femmes, avec ce panneau pour les désigner: "mesdames, ces places vous sont réservées". Vous vous en doutez, ces places sont les meilleures de tout le parking car situées le plus près de l'entrée principale. Même les places pour handicapés ne sont pas si bien placées.
Donc la petite nana de 20 ans, elle a droit a sa place, mais le petit vieux de 80 piges qui marche avec une canne, il va se parquer au fond, voir pas du tout, si il n'y a plus de places autres que celles réservées à ces dames.
Je suis absolument certains que quiconque a décidé de créer ces places, sa volonté était moins d'offrir des places de choix aux femmes que d'humilier les hommes et également de "tester" la société, pour voir si elle est prête à accepter ce genre de discrimination.
Je crois qu'il n'y a pas besoin d'expliquer pourquoi des places réservées aux personnes handicapées doivent exister. Par contre, des places réservées aux femmes, là, il va me falloir des détails. Je ne vois rien d'autre que de la vengeance, de la mesquinerie et de l'humiliation.
He oui, la photo qui dit tout !
Le camp du bien et sa morale à deux vitesses, surreprésenté dans les rédactions.
Quand l'art de la distorsion est portée à son apogée, la pente du déclin n'est pas loin. A moins que cela ne soit celui du monde démocratique occidental
Désolé, Aoki, la photo ne dit rien du tout.
Un instantané sorti de son contexte peut prétendre exprimer n'importe quoi. Obama peut parfaitement regarder (une fraction de seconde) la marche qu'il aura à franchir.
Il faut se méfier de ce que disent ce genre de prise de vue. En fait, elles n'expriment rien du tout. C'est juste une illustration adaptée à un commentaire malveillant.
Tout le monde devrait savoir ça, mais les gens ne sont pas du tout éduqués à l'interprétation d'une image. Et ça donne le champ libre à toute interprétation sauvage. .
PDO
La vidéo de la scène:
https://www.dailymotion.com/video/x37cze3
@ Jean-Paul:
Les parkings réservés aux femmes: 0n se demande en effet d’où vient cette idée. Elle illustre la démagogie de l’époque et les nouveaux privilèges. J’ajoute à votre analyse: ces places sont une accroche commerciale adressée aux consommatrices.
Notez que le fait que les femmes aient des places réservées comme des personnes en handicap, laisse entendre qu’on les considère comme handicapées, donc à l’autonomie réduite…
Aujourd’hui le sexisme misandre est institutionnel, systémique et admis comme normal.
La vidéo ne me convainc pas davantage quand aux intentions voyeuristes d'Obama. Franchement. .
PDO
Je pourrais commenter ce billet mais le principale est dit: les féministes mentent sur les chiffres et tronquent la réalité pour servir un discours qu'elle savent douteux et inacceptable.
De plus en plus, les hommes sont traités comme des chiens à qui ont n'hésite pas à conférer un statut inférieur. J'ai un exemple très simple, auquel je suis confronté de temps en temps, qui me rend fou:
dans un centre commercial près de chez moi, il y a 4 places de parc réservées aux femmes, avec ce panneau pour les désigner: "mesdames, ces places vous sont réservées". Vous vous en doutez, ces places sont les meilleures de tout le parking car situées le plus près de l'entrée principale. Même les places pour handicapés ne sont pas si bien placées.
Donc la petite nana de 20 ans, elle a droit a sa place, mais le petit vieux de 80 piges qui marche avec une canne, il va se parquer au fond, voir pas du tout, si il n'y a plus de places autres que celles réservées à ces dames.
Je suis absolument certains que quiconque a décidé de créer ces places, sa volonté était moins d'offrir des places de choix aux femmes que d'humilier les hommes et également de "tester" la société, pour voir si elle est prête à accepter ce genre de discrimination.
Je crois qu'il n'y a pas besoin d'expliquer pourquoi des places réservées aux personnes handicapées doivent exister. Par contre, des places réservées aux femmes, là, il va me falloir des détails. Je ne vois rien d'autre que de la vengeance, de la mesquinerie et de l'humiliation.
Pourquoi avez-vous recadré l`image ? Donnez-en le lien original et tout le monde verra que ce que regarde Obama n`a rien a voir avec les fesses de la donzelle.
Sur la vidéo, on voit clairement qu`Obama continue de regarder par terre bien apres que la fille ait disparu de son champ de vision. Il regarde en fait une objet blanc qui traine sur la marche d`escalier et qui parait etre un bout de tissu ou de papier.
Je n'ai rien recadré, Jean.
Autres images, avec la danoise premier ministre. Exemple de langage des corps.
https://nationalpost.com/news/barack-obamas-selfie-with-danish-prime-minister-leaves-twitter-a-tweet-about-michelle-obama-soap-opera
Regardez mieux et vous verrez qu`il n`y a aucun contact physique entre Obama et la PM danoise. Sur l`une des photos, elle se tient une main avec l`autre tandis que sur une autre elle semble bien rigoler avec son voisin de droite (son mari?).
Rendez-vous utile et aidez-moi plutot a choisir comment punir les violeurs. Je suis en train de préparer un projet de loi pour la FNUT (Fédération des Nations Unies de la Terre) sur le sort a réserver aux violeurs et j`hésite entre l`empalement sur un pal en forme de queue de violeur et l`écorchage lent avec une lime a ongle de victime de violeur.
@Jean Jarogh : je suis content de vous voir défendre Obama. Pensez désormais à défendre les garçons condamnés eux, sans la moindre preuve, sans même une photo, pour des faits autrement plus graves. Parce que votre attitude, ça sent plutôt la protection de la bande à Clinton habituée du lolita express d'Epstein plutôt qu'un désir de vérité (allons quoi, Obama n'aurait jamais regardé une femme avec concupiscence... drôle de position).
Oui, Obama est pur !
Je vous réfère aux 11.000 verges d’Apollinaire:. Il y a un passage concernant l'empalement tout à fait jouissif (dans tous les sens du terme). Peut-être pourrez-vous vous en inspirer?
PDO