Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
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Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
Il y a quelques jours le gouvernement genevois livrait son bilan de la criminalité. Avec une certaine satisfaction puisque les chiffres sont en baisse. Voyons ce que disent ces chiffres dans le domaine particulier et sensible des relations femmes-hommes.