Après l’Uni de Genève c’est l’Unil, université de Lausanne, qui gomme le genre des personnes diplômées. Pas de marque permettant de distinguer un genre ou un sexe. Pour les éviter le document ne contiendra que le nom et prénom, et date de naissance à la place de né le.
Disparaissent également les titres professionnels. Par exemple Docteur ou Docteure seront remplacés par Doctorat. En soi c’est une simplification. Elle ne me dérange pas. Ce qui me dérange est la raison invoquée:
« Cette modification fait partie des mesures de la Direction pour une université qui favorise la diversité et assure une meilleure inclusion. Elle permet de s’assurer que chaque membre de la communauté se sente accueilli et respecté. »
Pour inclure, on exclut. Curieux. Évidemment c’est compliqué: maintenant que l’élite universitaire a admis que les genres sexués fondés sur la biologie sont invalidés par la subjectivité on n’ose plus dire la ou le.
Avec la subjectivité vous pouvez être femme, homme, oiseau, rat, cerise, extra-terrestre, noir, blanc, etc. Cela n’a plus de lien avec le réel mais c’est la mode que des dominants imposent au monde.
Pour moi la biologie reste le marqueur de référence. Une personne trans est d’abord définie par son sexe biologique de naissance, et c’est d’ailleurs par un mouvement de balancier qu’elle se définit comme appartenant à l’autre sexe.
Je dis bien à l’autre sexe et non à l’autre genre car tout montre que la différence sexuée conditionne l’identité choisie par les personne transgenre. Pour preuve: la prise d’hormones, le look, la chirurgie imitative, utilisés aux fins de ressembler à l’autre. Le genre nait du sexe biologique. Il prend place dans le sexe.
Précédente note: Le féminicide est-il un génocide?
Commentaires
Faut vraiment aller voir «Le Monde d'Après» de Laurent Firode.
On est en plein dedans !!!!
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Au deuxième ou au troisième degré....
La guerre entre la Russie et l'Occident, c'est à cause de ça !!!
Bien vu ! Le sexe n'existerait pas mais on ne peut changer de genre qu'en modifiant le sexe biologique, par l'apparence, les hormones et les opérations. Quelle contradiction ! Cela en dit long sur le niveau intellectuel des universitaires.
La contradiction est bien réelle à mon avis aussi, masquée par des astuces de langage et un concept dont la validité n'est démontrée par aucune étude scientifique.
Bonjour,
Quelle embrouille en vérité(s). Sont-ils aussi nombreux les non genrés pour en arriver à de telles décisions ? Je m'y perd. . .
Embrouille, oui.
De toutes façons si une femme trans se définit comme femme, on peut lui dire "madame", enfin il me semble.
Sauf que si elle rechange après ça ne marche plus.
Pour les non binaires, rien n'empêche de reconnaître leur appartenance biologique à leur sexe anatomique.
Je me demande comment les historiens analyseront cette embrouille dans un siècle...
On va vraiment finir par les détester, CEUX qui ne sont pas au clair avec leur service 2 ou 3 pièces entre les cuisses... Y'en a marre de ce sujet con comme la lune !