Le débat dérangeant sur la légalisation des drogues, en particulier des drogues dures et leur mise à égalité juridique avec l’alcool, vient de franchir un pas. Celui de 15 minutes d’antenne dans une émission de débat à la télévision.
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Drogues: la guerre perdue de la prohibition
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Il faut sauver le soldat Rappaz: oui à une révision de son procès
A cette heure, Bernard Rappaz est en état de survie dont la durée diminue probablement rapidement. Il peut tomber en coma et ne plus s’en réveiller, ou son coeur ou ses reins peuvent cesser de fonctionner. Je sais d’expérience ce qu’il vit, même si le jeûne de protestation que j’ai fait à l’époque n’a duré «que» 33 jours.
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Stauffer et les dealers: le remède pire que le mal?
Un angle de vue n’a pas été abordé dans la chasse aux dealers: où se déplacera le marché et qui le contrôlera une fois les dealers chassés des rues?
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Cannabis: près de 40% des suisses l'approuvent; à quand l'interdiction des tubes de colle?
62% de la la population a rejeté l'initiative sur la dépénalisation du cannabis. Soit. Mais ce chiffre veut dire quelque chose.
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A propos des votations du week-end
Le peuple a décidé. La démocratie est ainsi et elle doit être respectée. Réflexion sur deux objets soumis au vote.
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Des joints à 12 ans? Ca va pas la tête?!
Je ne suis pas contre le cannabis pour les adultes, et j’estime qu’ils doivent pouvoir fumer leur joint tranquilles chez eux comme un boit un verre entre amis. Je l’ai déjà dit dans un précédent billet.
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Débat sur le cannabis: et si l’on parlait de l’eau ferrugineuse?...
En digression du débat mené depuis hier sur le cannabis - débat que j’apprécie beaucoup - je propose de revisiter quelques instants l’impact de l’alcool, drogue légale intégrée dans notre culture. Juste histoire de rappeler quelques fondamentaux.
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Cannabis: pourquoi tant de haine?
A l’approche de la votation sur la dépénalisation du cannabis, faisons le point sur les coûts sociaux engendrés par toutes les drogues consommées en Suisse. Les chiffres cités ci-dessous tiennent compte des coûts directs: traitements, prévention et répression; des coûts indirects: incapacités de travail et décès prématurés; des coûts humains: perte de la qualité de vie pour les usagers et les proches. Des études ont été menées en particulier par l’Université de Neûchatel, par Sarino Vitale, France Priez, Claude Jeanrenaud. L'administration fédérale a validé ces études.