Micro-plastiques dans les eaux : on n’en sait pas plus que ça.
Aujourd’hui je suis un lecteur lambda. Je crois que qu’on me dit, et que la presse écrit. Je ne creuse pas, je constate et m’étonne. Pour au final rester dans le bleu sur le sujet.
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Micro-plastiques dans les eaux : on n’en sait pas plus que ça.
Aujourd’hui je suis un lecteur lambda. Je crois que qu’on me dit, et que la presse écrit. Je ne creuse pas, je constate et m’étonne. Pour au final rester dans le bleu sur le sujet.
Rien à faire. On peut y mettre la gendarmerie, la police, le GIPN, les men in black. On peut même provoquer un tsunami, faire s’écrouler une montagne, lancer un référendum, attraper une grippe, gagner à être connu, perdre ses cheveux, rien à faire: on n’arrête pas le progrès.
Il faut se poser toutes les questions, sans tabou. Y compris celles qui ne rentrent pas dans le paysage politique correct. Coloniser, par exemple. La stratégie de colonisation est décriée partout dans le monde à l’heure actuelle, même par ceux qui la pratiquent en douce. Et pourtant, se pourrait-il qu'elle soit un mécanisme normal du vivant, une nécessité, une dynamique vitale?
Dans la livraison de juillet de Science & Avenir, un article sur la colonisation de notre peau par des bactéries. Des chercheurs en ont identifié près de 1‘000 souches différentes.