On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
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On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
Aux États-Unis les Démocrates sont qualifiés de libéraux, avec une connotation de gauche. Les Républicains, considérés comme conservateurs, sont encore plus libéraux en matière économique. En Suisse les libéraux sont clairement à la droite de la disposition géographique en politique. Alors qui est quoi?
La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
Je lis deux commentaires sur un forum à propos du résultat de la primaire socialiste. Deux soutiens au candidat investi pour la présidentielle. L’un de ces commentaires dit: « Je suis profondément pour les gens et contre l’économie ».
Le débat devrait être univoque. Décidons une fois pour toutes que seuls les tenants du progrès ont droit de parole et de vote. Les autres n’étant que des obstacles au sens de l’Histoire.
Mon précédent billet se terminait ainsi: « Le productivisme présente cette contradiction qu’à la fois il permet la survie de l’espèce dans des conditions inespérées, et la pousse en même temps au bord du précipice de la saturation et de l’insignifiance. » J’en dis un peu plus.
Le mouvement continue: la ministre responsable de l’immigration du Québec, Diane de Courcy, membre du parti québecois (souverainiste), a déposé cette semaine un projet de loi reformulant les conditions de l’immigration dans la province.
Il y a des mots qui unissent l’humanité. Peu. Le mot «paix» est lui-même sujet à controverse alors qu’il est supposé signifier la fin des hostilités. D’autres mots la divisent. Leur sens et leur usage est destiné à marquer une différence irrémédiable ou un clivage définitif.
Je lis régulièrement des articles de blogs appelant à une nouvelle révolution politique. L’ennemi déclaré est en vrac le capitalisme, les médias, le nouvel ordre mondial, le libéralisme, la classe politique pourrie, les banksters, l’union européenne. Une révolution est-elle réaliste? Quels mécanismes l’alimentent, et de quel éventuel projet de société est-elle porteuse?
Regarder un feux d’artifice en photo ou vidéo est décevant. Cela semble si petit en regard de ce que la mémoire garde d’autres années! Quoi! C’est cela un feu? Ce n’est que cela? Aucune magie. La mémoire ne supplée pas aux images, ne rend pas les couleurs dans la nuit, l’impression de cathédrale de lumière au-dessus des têtes.
(Prédécent volet ici)
La théorie globalisante que je critique décrit l’humanité comme radicalement partagée un genre qui endosserait la violence, la domination, l’esclavagisme, et l’autre qui aurait subi l’écrasement et l’annihilation. Cela sans nuance, de manière générale et depuis la nuit des temps.
(Suite du précédent billet).
Si la domination ne suit pas la ligne de démarcation des genres, si elle est transversale aux genres, il devient difficile de justifier la théorie d’une domination masculine massive, délibérée, systématisée. La spécialisation et la répartition des tâches et des fonctions dans le couple a donc possiblement pu être le fruit d’une volonté commune des hommes et des femmes, selon les dispositions jugées les meilleures à une époque donnée. Mais il peut aussi bien s’être produit une prise de pouvoir autoritaire des hommes.
La spécialisation est source de progrès. Dans les activités où une spécialisation est instaurée, les résultats sont plus nombreux, qu’il s’agisse de la recherche ou de l’économie. Le progrès est associé étymologiquement à la notion d’avancer, de progresser dans une direction. On progresse dans un tunnel, dans une exploration. On parle des progrès d’une maladie quand elle gagne des zones saines, ou de sa régression quand elle se retire.
Rien à faire. On peut y mettre la gendarmerie, la police, le GIPN, les men in black. On peut même provoquer un tsunami, faire s’écrouler une montagne, lancer un référendum, attraper une grippe, gagner à être connu, perdre ses cheveux, rien à faire: on n’arrête pas le progrès.