Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
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Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
Il y a neuf jours la douceur nous offrait le printemps sur un plateau. Mais le jour d’après il neigeait. Certaines régions ont même connu le début avril le plus froid jamais enregistré.
Malgré la douceur, Genève n’a pas connu de record de chaleur hier. Il a fait « seulement » 16 degrés. Le record tient depuis le 22 février 1903: 20,6°. Celui du 23 tient également depuis 1903: 19,6° (image 2, clic pour agrandir).
Dans l’hémisphère nord les hivers froids récents seraient paradoxalement dus au réchauffement atmosphérique. Cette hypothèse, à nouveau relayée ces derniers jours, repose sur l’amplitude du courant jet (jet stream).
La notion de température ressentie a été introduite en France en 2008. Elle existait déjà aux Etats-Unis. Elle est en général évoquée pendant la saison d’hiver mais on trouve son équivalent en été : l’indice humidex.
La grosse patate s’en va. Elle fiche le camp vers le sud-est et la méditerranée. La grosse patate c’est Gulliver. L’anticyclone costaud qui se baladait sur nos têtes depuis quelques temps.