Aucune n’est juste. Deux ou trois sont approximatives. La plupart étaient à côté de la plaque. Les prévisions de trajectoire de l’ouragan Dorian ont mis en évidence la fragilité des modèles numériques de prévision du temps.
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Aucune n’est juste. Deux ou trois sont approximatives. La plupart étaient à côté de la plaque. Les prévisions de trajectoire de l’ouragan Dorian ont mis en évidence la fragilité des modèles numériques de prévision du temps.
Hier soir un changement de cap était annoncé par le NHC, le National Hurricane Center. L’ouragan de catégorie 1 Leslie file maintenant vers le Portugal et l’Espagne, alors qu’on l’attendait d’abord plus au sud et retournant vers les alizés.
Dans l’hémisphère nord les hivers froids récents seraient paradoxalement dus au réchauffement atmosphérique. Cette hypothèse, à nouveau relayée ces derniers jours, repose sur l’amplitude du courant jet (jet stream).
Ils font partie des phénomènes atmosphériques naturels les plus violents. Certes les vents de tornades sont plus rapides que ceux d’ouragans: on mesure au sol jusqu’à plus de 400 kmh pour les plus puissantes d’entre elles. On estime également la vitesse du vent à l’intérieur d’un tube de tornade aux alentours de 600 kmh.
J’ai déjà mentionné rapidement le fait que l’océan austral absorbe à nouveau le CO2 atmosphérique. Je reviens sur cette bonne nouvelle. On se souvient du cri d’alarme lancé il y a une dizaine d’année: les océans, puits à carbone, étaient saturés.
La pédagogie écologiste est fondée sur le catastrophisme. Des éléments du climats changent depuis quelques décennies, et ils doivent forcément être destructeurs et mettre en danger la vie sur Terre.