Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
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Saga du CO2 : l’Europe de l'ouest prend un coup de froid.
Depuis des semaines nous recevons d’importantes pluies accompagnées de températures nettement sous la moyenne. Pourtant les médias continuent à annoncer des records. Que se passe-t-il?
Fin de la brève période hivernale. Pas de record cette semaine. Quelques gelées matinales, une bise supportable, et déjà le thermomètre grimpe l’après-midi. Point de comparaison: à Genève, les derniers coups de froid vifs de fin mars, du 22 au 30, datent des années 1901, 1915, 1962, 1971. Les minima oscillaient alors entre -4° et -6,1°.
Dans l’hémisphère nord les hivers froids récents seraient paradoxalement dus au réchauffement atmosphérique. Cette hypothèse, à nouveau relayée ces derniers jours, repose sur l’amplitude du courant jet (jet stream).
Depuis des années le relargage de méthane a été placé au top du risque d’emballement de l’atmosphère vers le très chaud. Il est qualifié de bombe climatique. Il pourrait, selon certaines prédictions, faire monter la température terrestre de 8° Celsius.
Juillet 2015: le plus chaud de l’histoire, selon la Nasa. Précision: de l’histoire des relevés météos. Et encore, pas sûr. Les relevés des satellites et ballons-sondes ne confirment pas les relevés thermométriques de la Nasa.
Une expédition arctique dont l’objet est d’étudier le réchauffement est actuellement bloquée dans les glaces au large du Canada, dans la baie d’Hudson. Le bateau qui héberge cette expédition est le garde-côte et brise-glace Amundsen. Il s’agit des pires conditions de glace rencontrées depuis 20 ans, selon l’un des officiers du brise-glace.
A fin avril deux chercheurs ont disparu sur la banquise arctique. Ils en étudiaient l’épaisseur. Sont-ils tombé dans un trou qu’ils ont eux-mêmes percé pour mesurer la couche de glace? Ont-ils fragilisé cette glace ou pris des risques excessifs? Est-ce une conséquence du réchauffement du climat, comme on le suggère désormais à chaque épisode météo sortant un peu des normes?
«L'Océan Arctique se réchauffe, les icebergs se font de plus en plus rares et dans certains endroits les phoques trouvent l'eau trop chaude. Tous les rapports pointent vers un changement radical des conditions climatiques et jusqu'à des températures inconnues jusqu'à présent dans la zone arctique. Des expéditions nous rapportent que pratiquement aucune glace n'a été vue au dessus d'une latitude de 81 degrés 29 minutes. D'énormes masse de glace ont été remplacées par des moraines de terre et des pierres tandis qu'en de nombreux endroits, des glaciers bien connus ont entièrement disparu.»
Le réchauffement des pôles devait être un signe majeur du changement climatique anthropique. Depuis des années nous sommes submergés d’informations alarmistes sur cette partie du globe. Mais pas toutes les années. Pourquoi? Parce que la banquise n’en fait qu’à sa tête. Ou presque.
Ce serait simple si le pôle Nord était une pancarte plantée dans la neige: «Ici, pôle Nord magnétique» ou encore: «Extrémité septentrionale de la grosse orange bleue». En réalité c’est possible pour le pôle géographique qui dispose d’un lieu fixe, soit l’extrémité de tous les méridiens. Mais cela ne suffit pas pour le pôle magnétique. Parce qu’il bouge. Et même de plus en plus vite depuis 1990.
Les amants de la lumière disposent d’un endroit où leur passion peut être satisfaite pleinement. Un endroit où du matin au soir et du soir au matin, il peuvent courir, observer, voir dans toutes les directions: la lumière ne s’en va jamais.
Dans ses rapports sur l’évolution climatique de notre planète, le GIEC n’a jusqu’à ce jour pas pris en compte les déficits en ozone stratosphérique, soit les fameux trous dans la couche d’ozone. Un groupe de scientifiques s’est attelé à cette tâche et a réussi à modéliser l’interaction entre le déficit d’ozone, les climat austral et la capacité océanique à piéger le CO2.
En mars 1989, six millions de québecois ont été plongés dans le noir et le froid pendant plus de neuf heures. Un gigantesque panne d’électricité a paralysé la Belle Province. La cause: un orage magnétique particulièrement intense qui a perturbé tout le réseau électrique.