En relisant le courriel de madame Iacub à DSK je l’imagine en lingère, faisant la lessive dans la buanderie, quand un serririer nu survient. J’ai évoqué la teneur de ce courriel dans mon précédent billet. Elle «regrette profondément» et demande pardon à Dominique Strauss Kahn. Sa motivation était «d’essayer de comprendre ce phénomène étrange que tu es.» Une lingère a parfaitement le droit de comprendre. Ce n'est pas réservé à Michel Onfray ou à Flaubert.
lsurent joffin
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Le besogneux, le serrurier et la pipe de la lingère