Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
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Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
Le Matin d’hier s’est livré à la surenchère. L’ours blanc fatigué, actuelle vedette des médias, est désigné comme un martyr. D’ailleurs martyr est forcément pluriel, même sans S généralisateur (image 3). Un seul ours est malade et tous seraient martyrs. C’est le message.
Retour sur cette image largement diffusée dans les médias. Il y a comme un syndrome Aylan: l’ours est seul, peut-être mourant. Un seul spécimen tire des larmes au monde entier. Son agonie serait la preuve de la situation supposée dramatique des ours polaires.
Encore une fois les hommes présentent un magnifique modèle humain. Modèle que des femmes copient et reprennent à leur compte avec la même fierté que ces hommes qui leur ont montré la voie. Elles ont certes attendu longtemps pour faire comme eux: devenir «libres, déterminées, affranchies des convenances, audacieuses. Des femmes qui conduisent leur vie, libres, indépendantes. Des femmes modernes tout simplement» comme des hommes. Il s'agit sans doute des plus timorées, puisque les motos existent de longue date et que des femmes la pratiquent depuis fort longtemps. Vieux motard que jamais.
La pub fait feu de tout bois. Elle est capable d’utiliser un thème, de le tourner, le retourner, et même de citer ses concurrents pour se mettre en valeur. Enfin, feu de tout bois... Ici elle fait glace de tout iceberg, ours polaire en prime.