Peut-on encore soutenir une parole différente et un doute, quand 97% des scientifiques sont supposés convaincus par l’aspect anthropique de la variation climatique? On me fait parfois cette remarque. La non-adhésion à la pensée dominante serait déraisonnable. Je rappelais il y a deux jours que l’ancienne ministre de l’écologie Nathalie Kosciusko-Morizet traite même les dissidents de connards. Drôle de manière de mettre fin à la controverse.
effet de serre
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COP 21 (4) : l’emportation
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Réchauffement et pergélisol : le méthane n'est plus une bombe climatique
Depuis des années le relargage de méthane a été placé au top du risque d’emballement de l’atmosphère vers le très chaud. Il est qualifié de bombe climatique. Il pourrait, selon certaines prédictions, faire monter la température terrestre de 8° Celsius.
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Réchauffement : l’effet du CO2 n’est pas confirmé par les observations réelles
La divergence entre modèles et réalité s’aggrave. On pourrait presque parler de divorce tant les chiffres prévus par le Giec et amplifiés par la presse se sont découplés d’avec les relevés sur le terrain. En clair, preuves à l’appui, la température réelle et observée de la troposphère est beaucoup plus basse que ce que les modèles informatiques prévoyaient.
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Méthane : les vaches rousses pètent moins. Les autres aussi.
Comme je le signalais il y a plus de 6 ans les vaches pètent beaucoup. Elles rotent aussi. Ce sont des usines à méthane. Du bon méthane perdu faute de pouvoir raccorder le derrière des bovins au réseau. Donc ce méthane va dans l’atmosphère où il gazàeffetdeserrise 23 fois plus que ce malheureux CO2.
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Revue de pub: Coca blanc - Hendrix - L’homme libre
La pub fait feu de tout bois. Elle est capable d’utiliser un thème, de le tourner, le retourner, et même de citer ses concurrents pour se mettre en valeur. Enfin, feu de tout bois... Ici elle fait glace de tout iceberg, ours polaire en prime.
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Changements climatiques: le rôle insoupçonné de l’ozone
Dans ses rapports sur l’évolution climatique de notre planète, le GIEC n’a jusqu’à ce jour pas pris en compte les déficits en ozone stratosphérique, soit les fameux trous dans la couche d’ozone. Un groupe de scientifiques s’est attelé à cette tâche et a réussi à modéliser l’interaction entre le déficit d’ozone, les climat austral et la capacité océanique à piéger le CO2.
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Climat: tout va mal. Ou pas. On ne sait pas encore.
La pédagogie écologiste est fondée sur le catastrophisme. Des éléments du climats changent depuis quelques décennies, et ils doivent forcément être destructeurs et mettre en danger la vie sur Terre.