La Tribune de Genève se fend d’un article sur un homme battu, sous la plume de Shaymaa Gabr. Fort bien. Parler de l’homme battu devient donc tendance. Oui, c’est bien en société. Les femmes battues ont saturé les médias, les campagnes ont peu d’effet, la culture du morbide a pris le dessus sur la défense des vraies victimes. Alors parler d’un homme battu est tellement incroyable que cela vous fait briller en société.