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Violence conjugale: le lavage de cerveau continue...

La Tribune de Genève se fend d’un article sur un homme battu, sous la plume de Shaymaa Gabr. Fort bien. Parler de l’homme battu devient donc tendance. Oui, c’est bien en société. Les femmes battues ont saturé les médias, les campagnes ont peu d’effet, la culture du morbide a pris le dessus sur la défense des vraies victimes. Alors parler d’un homme battu est tellement incroyable que cela vous fait briller en société.

1GAverySWNS_468x598.jpgPourtant on pourrait dire que c'est bien de parler de cela, d'informer le public sur cette réalité. Oui, en effet. Mais je lis ce qui est dit ci-après ou ce qui n'est pas dit (sur les chiffres, par exemple: on parle d'un cas mais il n'y a pas d'investigation sérieuse sur le sujet). Alors pourquoi commencer ce billet sur un ton sarcastique? Parce que l’article de la Tribune ne veut quand-même pas faire perdre de subventions aux professionnelles de la victimisation:

«Anna Golisciano, cheffe du projet Vivre sans violence exprime sa crainte de banaliser les cas d'hommes qui subissent des violences conjugales, et d'en oublier la réalité que les femmes sont les principales victimes.  Les chiffres du centre genevois de consultation pour victimes d’infractions (LAVI Genève) le montrent bien ; par exemple, en 2009, dans le cadre de lésions corporelles en situation de violences conjugale, les chiffres indiquent 29 cas d’hommes et 407 cas de femmes.»

Quel aveu: il ne faut pas banaliser les hommes battus, ils doivent rester l'exception, donc n'en parlons pas.  Moi qui pensais que l'on pourrait voir un jour un défilé unitaire contre la violence conjugale, c'est irréalisable tant que des gynarques de cet acabit sont au pouvoir dans les groupes et officines concernés. La leçon de l'URSS, qui écrivait l'Histoire selon les besoins de son idéologie et non selon la réalité, a bien été retenue.

Selon la Lavi on serait donc à 5% d’hommes battus parmi les victimes déclarées, donc 95% de femmes. Ouf`Les professionnelles vont continuer à vivre et laver le cerveau du public. L’homme-patron reste le bourreau et la femme-prolétaire reste la victime (selon le langage des féministes radicales marxistes du mouvement dans les années 60-70 et tel qu'il a été sacralisé par Bourdieu et entonné en choeur par les féministes actuelles).

La violence serait de genre, et la lutte contre la violence est communautariste. Mais que fait cette cheffe à ce poste? Elle pratique ouvertement une discrimination inacceptable et fait dans le déni de la violence faite aux hommes. Pourtant les féministes ont accès aux chiffres que je cite plus loin. Mais elles n’en parlent jamais. L’Etat est infesté, contaminé par les féministes marxistes qui ont trouvé là un bon recyclage. Quand aux Bureaux de l'égalité, la plupart sont des centres de propagande communautaristes féministes-radicaux.

On verra plus bas que le lavage de cerveau a atteint au Québec des niveaux proprement hallucinants: de 20 à 75% de femmes seraient battues selon l’impression qu’en ont les gens. Donc autour de vous il pourrait y avoir 3 femmes sur 4 battues, démolies, insultées, méprisées, humiliées, terrorisées, des esclaves. Et il pourrait y avoir 3 hommes sur 4 qui sont des salauds, des cogneurs, des méprisants, des casseurs. C’est le monde selon l’évangile victimaire des féministes-marxistes radicales professionnelles. L’oligarchie gynarque, soutenue par l'ensemble des gauches, a la maîtrise des médias et le communautarisme féministe continue ouvertement ses ravages, sans même cacher ses intentions. Il faut rappeler que grâce à la victimisation elles touchent des subventions très conséquentes qui font vivre les copines et paient les coaches femmes qui briefent les candidates aux fausses accusations.

En réalité les hommes battus représentent de 25 à 50% des victimes. Et il ne s’agit là que de violence physique. De plus le total de la violence physique ne dépasse pas, selon les enquêtes de victimisation, 2,5% des femmes (mais moins si l’on ne considère que les plaintes déposées, et encore moins si l’on comptabilise les condamnations). Voir aussi ici.

 

Voyons quelques enquêtes:

1. Dans une enquête officielle suisse publiée par le gouvernement fédéral en 2004, “L’enquête sur le bien-être de la famille”, nous découvrons les chiffres suivants:

« 8% des femmes et 7 % des hommes reconnaissent bousculer, pousser ou secouer leur partenaire sous l'effet de la colère. 1,6 % des femmes comme des hommes disent frapper leur partenaire, que ce soit à coups de pied ou de poing ; 0,6 % des femmes et 0,7 % des hommes admettent régulièrement rouer de coups leur partenaire, le maltraiter avec des objets voire l'étrangler. En ce qui concerne la violence psychique, 9 % des femmes contre 5 % des hommes déclarent menacer leur partenaire ; 11 % des femmes contre 5 % des hommes avouent rabaisser volontairement leur partenaire en le dénigrant, en le vexant ou en trahissant sa confiance ; 1 % des femmes et 2 % des hommes endommagent ou détruisent, dans un conflit, des objets auxquels le partenaire tient particulièrement. » (Voir le pdf ici, en page 52).

VC1.jpg
2. Je rappelle aussi l’enquête de victimisation réalisée par l’office gouvernemental Statistique Canada», enquête poussée selon laquelle il a y quasiment autant d’homme victimes que de femmes, s’agissant ici de violence conjugale totale. (Cliquer sur les images).


3. En France, selon l’Office National de la Délinquance qui dépend de l’office gouvernemental de la statistique IHNES, les chiffres 2007 montreraient que sur 100 personnes battues, 25% sont des hommes. Tout en précisant que les hommes ne portent presque jamais plainte.

Ce rapport est fondé sur les fait constatés par la police et la gendarmerie. Constatés, cela signifie VC2.jpgdénoncés, mais les agents ne sont pas forcément présent lors des faits. Il ne s’agit pas non plus de décisions de justices, soit des condamnations en première instance ou définitives. L’OND a commencé en 2007 les enquêtes de victimisation. Ces enquêtes affirment que seules 20% des femmes victimes déposent plaintes. Et combien d’hommes? Peu, très très peu, on imagine bien.

Selon les années et la méthode de calcul le pourcentage de femmes victimes varie d’une année à l’autre, de moins de 0,1% à 2,5%. Pour les hommes il varie de 0,8% à 1,6%. Où sont les 10, 20, 30 % de femmes victimes? Où sont les 98% de femmes victimes pour 2% d’hommes? Nulle part. Parce que cela n’est pas la réalité.


Quelques développements sur le rapport de l’OND:

«Les violences conjugales sont en hausse en France, selon les chiffres publiés par l’observatoire national de la délinquance (OND). Pour l’ensemble des départements, y compris ceux l’outre-mer, 18,7 faits de violences par conjoint ou ex-conjoint pour 10 000 femmes majeures ont été constatés en 2007 (ndlr: 0,18%). Ce taux, inférieur à 10 pour 10 000 dans une douzaine de départements avoisine 50 pour 10 000 en Seine-Saint-Denis et en Guyane.
...

Sur la question particulière de la mesure de la violence conjugale, l’OND a cherché, dès son rapport de mars 2006 2, à regrouper les différentes données disponibles sur les plaintes. L’état 4001 ne comportant pas d’informations sur le lien entre l’auteur et la victime, il ne permet pas de distinguer ce type de violences des autres violences enregistrées. Il a donc fallu s’adresser séparément à la direction centrale de la sécurité publique, à la préfecture de police de Paris et à la direction générale de la gendarmerie nationale pour réunir les statistiques sur les faits constatés de violences sur conjoint.
...

hommes_battus.jpgÀ partir des données transmises par la direction centrale de la sécurité publique, par la préfecture de Police de Paris et par la direction générale de la gendarmerie nationale, l’observatoire national de la délinquance (OND) estime, qu’en 2007, 47 573 faits constatés de violences volontaires sur femmes majeures par conjoint ou ex- conjoint ont été enregistrés en France métropolitaine et dans les 4 départements d’outre-mer. Ce type de violences représente 25,6 % de l’ensemble des faits constatés de violences volontaires sur personnes de 15 ans et plus en 2007.
...

Le dispositif d’enquêtes annuelles de victimation « cadre de vie et sécurité » que l’OND a développé en partenariat avec l’INSEE a permis, en 2007, d’interroger plus de 10 000 personnes de 18 à 60 ans sur les violences physiques dont elles ont pu être victimes en 2005 ou 2006. Cette enquête étant la première de la série, il n’est pas encore possible d’établir une tendance d’évolution à comparer avec celle observée en matière de faits constatés. En revanche, on peut, à partir des réponses fournies par les enquêtes, estimer le nombre de victimes et le taux de plainte pour les deux années citées.

Interrogées entre janvier et mars 2007, environ 2,3 % des femmes de 18 à 60 ans ont déclaré avoir été victimes de violences physiques de la part d’un conjoint ou d’un ex-conjoint en 2005 ou 2006.
...

La part des hommes de 18 à 60 ans ayant déclaré avoir subi des violences d’un conjoint ou d’un ex-conjoint en 2005 ou 2006 est estimée à 0,7 %, soit un peu moins de 130 000 d’entre eux. Presque aucune victime de sexe masculin n’a déposé une plainte pour les faits subis.»

Les hommes n’ont pas la culture de la victime.

hommebattu.gif
Je titre ce billet sur le lavage de cerveau. Ce n’est pas une provocation, c’est un constat, comme le reportage ci-après le montre très clairement.

Les chiffres sur la violence conjugale sont forcés, amplifiés, pour dramatiser, le drame amenant de l’argent. Mais on ne rend service ni à la société ni aux vraies victimes. Encore moins aux hommes puisque sous l’impulsion  des féministes intégristes ceux-ci sont accusés par principe et des lois spécifiques contre eux voient le jour. On se croirait revenu à des époques de triste mémoire.

Si actuellement on matraque Sarkozy pour sa politique d’expulsion des Rroms, combien plus devrait-on matraquer les féministes. Et si l’on entend dire: «Chassons Sarkozy», combien plus faut-il dire: «Chassez les féministes marxiste radicales!» Les féministes marxistes, radicales et intégristes, sont pires que le pire de Sarkozy.

La violence n’a pas de sexe ni de genre. Contrairement à l’aberration de certaines féministes qui prétendent que même la violence dans les couples de lesbiennes est masculine! Bien tiens...

Vade retro, marxistas feministas!

(A suivre: 300'000 femmes battues: l'aviez-vous cru?)





Image 1: Journal d’un homme battu. Image 2: Statistique Canada, enquête 1999. Image 3: hommes battus.

Catégories : société 28 commentaires

Commentaires

  • http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/26/01016-20100826ARTFIG00447-les-hommes-aussi-sont-victimes-de-violence-conjugale.php

  • Merci pour ce lien Antisthène. Un coin du tabou serait-il dévoilé?

    Enfin, on a une responsable qui dit tout haut ce que les hommes savent depuis longtemps, disent depuis longtemps, mais que personne ne veut trop entendre: "il ne faut pas banaliser les hommes battus, ils doivent rester l'exception, donc n'en parlons pas". Et oui, il y a des millions en jeu!

  • Grâce aux informations médiatiques régulières sur les hommes battus, les victimes masculines des violences conjugales se voient – enfin – reconnues en tant que réelles victimes. Certains d’entre eux ne connaissaient même pas l’existence de « SOS homme battu » !!!
    Dans les années 1970, au Canada, Erin Pizzey qui fut le visage emblématique du féminisme… écrivit, il y a quelques temps, elle : "que le mouvement, qui a proclamé que tous les hommes sont des violeurs et des agresseurs potentiels, était basé sur un mensonge que, si on les laisse prospérer, se traduirait par la destruction complète de la vie familiale" (Commentaire n°59) Pour une Égalité entre les femmes et les hommes - http://laviedeperes.over-blog.com/50-comments-27417688.html#c

    Voici un témoignage significatif d’un homme battu que j’ai relevé dernièrement :
    Faisant partie de cette "catégorie", et peut-être pire encore, je suis heureux d'apprendre qu'il existe aussi un "SOS hommes battus !" J'approuve et adhère à cet article de tout mon coeur. Je pensais me trouver dans une impasse infranchissable. Peut-être ...que mon espoir va renaître... mais j'ai peur du divorce à cause de la "puissance de feu" et l'art de retourner les faits de mon conjoint ! J'ai fait 3 tentative de suicide, la dernière (2007) a bien failli réussir (37 jours de coma, 4 mois 1/2 d'hôpital, 1 an 1/2 de rééducation... et des séquelles neurologiques (neuropathie de réanimation, comme ils disent en réa !) Après ma sortie de l'hôpital, "elle" m'a encore "trituré" aux endroits où je souffrais, puis elle s'est arrêtée, car je l'ai menacée d'avoir tout raconté à plusieurs personnes. J'ai également été privé de mes médicaments (dépression nerveuse), : là, j'ai beaucoup souffert. Mais les agressions verbales sont toujours présentes à la moindre occasion. Quand elle rentre du travail, je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé ! Mais quelques fois elle sais être gentille... alors je me méfie et fais profil bas. J'arrête là, car j'ai tellement de choses à dire... Merci encore pour cet article qui me réchauffe le coeur. Le 27/08/2010 à 18:16 par D.P.

  • Le figaro.Fr. a refusé de publier mon commentaire sur l’article publié suivant ;
    Les hommes aussi sont victimes de violence conjugale
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/26/01016-20100826ARTFIG00447-les-hommes-aussi-sont-victimes-...de-violence-conjugale.php
    Un bel article écrit pas une femme : Flore Galaud

    Mon commentaire:
    L'une des plus grandes violences qui puissent exister, c'est lorsque le père est limité à son rôle de géniteur, d'apport financier, et donc réduit à sa plus simple expression !!!... (LVDP)
    http://laviedeperes.over-blog.com/article-32892978-6.html#anchorComment

  • d'en oublier la réalité que les femmes sont les principales victimes.

    ==> Difficile de faire plus misandre.

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/entretien-avec-sylvianne-spitzer-57815#forum2624922

  • @ CDVLP: moi aussi le Figaro a refusé mon commentaire. Je mettais le lien avec ce billet. Rien de plus... Il y a du monde que cela dérange.

  • Sur le même article, je voulais conseiller un homme battu Français pour qu’il puisse mieux s’en sortir mais… le figaro.Fr a aussi refusé (la 2ème fois)de publier mon commentaire !!!
    Ce qui compte visiblement, pour le Figaro, c’est de publier des situations horribles… mais pour permettre que ces situations puissent être plus humaines… alors là… NADA !!!
    J’estime que c’est une honte pour ce média ! Qu’est ce que cela pouvait déranger... ou bien causer de mal... de donner deux adressea en France qui s’occupe des hommes battus ? Oui, HL, ça dérange ! CQFD

    Voici la réponse du Figaro.Fr:
    Bonjour Collectif La Vie de Pères,
    Votre message a été modéré. Votre contenu ne respecte pas la charte de modération lefigaro.fr.
    Concileo : modération refusée
    Lire la charte de modération lefigaro.fr
    Message posté le 28/08/2010 à 00:08
    Sur l'article :
    Les hommes aussi sont victimes de violence conjugale
    Rappel de votre message :
    @Dominique Delplanque : en France, deux associations s’occupent de ce
    problème.
    L’association PEM - Forum Violences conjugales
    http://pem.mediation.free.fr/BFF/articles.php?lng=fr&pg=495 [1]
    L’association « Entre Femmes » se mobilise contre la violence des femmes faite aux hommes.
    http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Valenciennes/actualite/Autour_de_Vale... [2]
    Courage, vous n’êtes pas tout seul ! Ne vous laissez pas faire !
    Défendez-vous avec les moyens légaux. Bien cordialement.

    Cordialement,
    L'équipe d'animation de la communauté Mon Figaro
    (Merci de ne pas répondre à ce mail. En cas de besoin, reportez-vous à la charte de participation du Figaro.fr
    http://www.lefigaro.fr/charte_moderation/charte_moderation.html [3]

  • Et après, on s'étonne qu'il y a de plus en plus de gens qui se convertissent à la religion musulmane d'une part, et que l'Islamisme a de beaux jours devant lui d'autre part!
    les extrêmes d'un côté attirent les extrêmes de l'autre...
    le néo-féminisme violent et misandre ne fait qu'attiser les flammes, il participe à la destruction et à la mort de nos sociétés occidentales, qui sont déjà moribondes!

  • "le néo-féminisme violent et misandre ne fait qu'attiser les flammes, il participe à la destruction et à la mort de nos sociétés occidentales, qui sont déjà moribondes!"

    Oui, Nicole, c'est une bien triste réalité ! Et j'apprécie grandement le juste mot que vous utilisez: "le néo-féminisme" pour désigner ce féminisme déviant, radical, sexiste, misandre,... c'est selon. Quel avenir allons-nous donner à nos enfants et à la génération !?! Comment est-ce possible ???

  • Ouaip, mais tout de même, on dirait que vous n'avez envie de ne retenir que le négatif de cet article, tant vous semblez à fleur de peau sur le sujet.

    Il était dit aussi qu'il y avait besoin de la reconnaissance de l'existence des hommes battus, de l'ouverture de centres, et de mettre en confiance les hommes battus afin qu'ils ne se taisent plus.

    A croire que nous n'avons pas lu le même article...

    :-B

  • @Pascale …« on dirait que vous n'avez envie de ne retenir que le négatif de cet article, tant vous semblez à fleur de peau sur le sujet. »…

    Ooouuups… Je ne sais pas à qui s’adresse ce commentaire, mais quelqu’un peut-il nous ouvrir les yeux sur les points positifs de cet article décrivant ce fléau d’hommes victimes de la violence féminine ???
    Pour que l'on sache -- aussi -- ce que pourraient apporter ces « points positifs » dans l’histoire des hommes battus, maltraités,... par leurs compagnes ?

  • "soit d'une famille où la mère était très dominante, ce qu'elle a transmis à sa fille. Le fait d'être en couple va faire ressortir tout ça à l'âge adulte, notamment à la naissance du premier enfant: le père est alors limité à son rôle de géniteur, d'apport financier, il est réduit à sa plus simple expression.»"

    "«Ce sont des hommes peu sûrs d'eux, passifs, qui mettent la femme sur un piédestal. Ils n'ont aucune capacité de décision. Au début des violences, ils pensent qu'ils s'y prennent mal, ils cèdent à tous les caprices. Les femmes ne sont jamais confrontées à un contre-pouvoir. On entre alors dans une spirale», ajoute la psychologue."

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/08/26/01016-20100826ARTFIG00447-les-hommes-aussi-sont-victimes-de-violence-conjugale.php

    on se demande si les féministes ne pronent pas ce fonctionnement de couple où la femme n'a pas de contre pouvoir, où des attitudes de fermeté (nécessaires dans ce cas)de l'homme entrent dans le cadre de violence psychologique.
    donc actions de l'homme où les femmes peuvent maintenant porter plainte.

    dans une famille comme celà il n'y a pas uniquement l'homme qui subit des violences psychologiques préludes aux violences physiques, il y a aussi des enfants en manque éducatif, des enfants en manque de péres en manque de limites, puisque le pére ne peut pas jouer son rôle dans ce type de famille.
    des enfants tyrans. de futurs PN.

    http://www.lien-social.com/spip.php?article212&id_groupe=5

    "Que peut-on faire pour lutter contre cette violence, comment tenter de la prévenir ?
    L’éducation peut jouer un rôle très important, en permettant aux individus de prendre une mesure des effets dramatiques que la violence peut avoir. De ce point de vue, il faudrait peut-être commencer par faire comprendre aux jeunes l’existence de limites, et leur montrer comment ces limites font partie de la condition humaine. "

    alors cette nouvelle loi, le rajout des violences psychologiques sensées lutter
    contre les PN sois disants nombreux qui seraient assez malins pour ne pas user de violences physiques, n'obtient t'elle pas le contraire de ce pour quoi elle est créee, en favorisant le type de famille décrite plus haut elle favorise les enfants en manque éducatif, en manque de limites de possibles futurs PN.

  • "Ce sont des hommes peu sûrs d'eux, passifs, qui mettent la femme sur un piédestal. Ils n'ont aucune capacité de décision. Au début des violences, ils pensent qu'ils s'y prennent mal, ils cèdent à tous les caprices. Les femmes ne sont jamais confrontées à un contre-pouvoir."

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/03/26/le-pere-limitant-et-structurant-suite-et-fin.html#more

    "Etre à l’écoute de tous les besoins de la femme, attentif à tout d’elle, sensible et doux, être dans le ressenti, ça va très bien pour l’amant qui ne se sert que du meilleur et ne prend aucune responsabilité. Le mari aussi peut incarner cela, mais pas en faire son attitude de base. Et ma foi, si la femme se trouve un jour désappointée que je ne sois pas tout en attention pour elle, si elle ne sait pas dire ses besoin, un jour elle s’en ira."

    où elle usera de violences psychologiques et plus tard de violences physiques envers son compagnon.

    tout ça parce qu'il n'aura pas oser être un contre pouvoir face à sa compagne, qu'il a laisser s'installer l'irrespect, qu'il n'a pas oser employer la fermeté.
    môt honni, qui fait croire à une inégalité homme femme alors qu'en réalité.
    ce n'est que pour contrer l'irrespect de sa compagne, qui une foi installée, l'homme est bel est bien dans une position d'inégalité par rapport à elle.

    "9. Les attentes légitimes de l'homme face à sa partenaire
    Comme tous les hommes, vous êtes prêts à faire beaucoup pour la femme que vous aimez, lui décrocher la lune s'il le faut (même si elle ne le vous demande pas). Si vous voulez vivre heureux avec
    une femme, vous avez des stratégies efficaces à développer, un mode d'emploi à apprendre, être à son écoute... Mais vous avez aussi des droits, des privilèges, des limites à faire respecter. Vous devez apprendre à vous tenir debout lorsque son comportement est inacceptable, qu'elle vous critique sans cesse et cherche à vous con¬trôler en vous imposant sa façon d'éduquer les enfants, de gérer l'argent, la sexualité, les activités sociales, ou veut aussi vous dire comment conduire votre carrière ou votre auto. Vous ne devez jamais user de violence, car vous perdriez votre fierté personnelle et votre estime, mais vous devez utiliser la fermeté, faire preuve d'assertion, vous diront les psychologues, lorsque nécessaire."
    extrait d'homme et fier de l'être d'Yvon Dallaire.

  • @CLVDP
    Les points positifs, c'est de pousser à admettre qu'il y ait des hommes battus, enfin. C'est de réclamer des centres d'accueil, pour ces mêmes hommes battus, et d'essayer de faire en sorte que cesse ce sentiment de honte, pour que ces hommes puissent en parler.
    J'ai lu tout ça dans cet article.

    Si vous aviez envie de voir que je voulais dire par là que les points positifs c'est qu'il y a aussi des hommes battus, c'est lamentable.

  • Pascale, je prends aussi pour moi votre comm, bien sûr! Vous avez raison, il y a deux lectures de l'article. Oui il y a ce que vous dites, et vous faites bien de le souligner.

    Mais l'intervention de la directrice du projet Vivre sans violence dénie la réalité quantitative du phénomène des hommes battus ou maltraités, ce qui singularise l'exemple cité et minimise la souffrance des hommes dans cette situation.

    Même si globalement la violence conjugale est loin d'atteindre l'importance que l'on prétend, elle est inacceptable tant pour les femmes que pour les hommes. Dénier, minimiser les faits est choquant par rapport à cette souffrance, comme elle l'était en des époques où les femmes qui dénonçaient un viol se faisaient moquer.

    Je pense que l'auteur de l'article a raté son coup en ne creusant pas la question des chiffres, qui est à la fois anecdotique et importante.

  • @hommelibre
    Ah, mais au départ c'était pour vous :-)

    Oui pour votre réponse, mais on dirait que vous êtes trop sensible sur le sujet pour apprécier l'impact de l'article en dépit de ses erreurs, ou errements...

    Lorsque je l'ai vu, j'ai pensé à vous. Pour une fois on parlait des hommes battus. Et j'ai retenu ce que j'ai écrit plus haut. On en parle, il y a des manques, il y a quelque chose à faire, il faut bouger les politiciens...

    C'est un début. Tirer sur l'auteur de l'article, je ne suis pas sûre que ça soit encourageant pour en parler.

    :-B

  • Pascale, c'est toujours un plaisir de vous lire! Et j'avais bien pensé que c'était pour moi. Mais comme CLVDP s'est senti concerné, je ne voulais pas tirer la couverture à moi.

    D'accord, votre lecture est plus objective que la mienne, laquelle est certes "à fleur de peau".

    Mais j'espère bien que l'auteur creusera quand-même un peu plus la prochaine fois, le sujet le mérite!... (grrrr)....

  • Je suis bien d’accord avec vous Pascale… il ne manquerait plus que ça que je ne sois pas d’accord ! Mais Homme Libre a mieux répondu sur la réponse que j’aurais pu faire, ici même.

    … « Les points positifs, c'est de pousser à admettre qu'il y ait des hommes battus »…
    C’est ce que nous essayons de faire ! Et moi-même depuis plus de 16 ans en Belgique. Au Québec, cela fait plus de 35 ans qu’ils poussent à admettre qu’il y a des hommes battus. Mais on nous ri au nez ! L’année dernière, le Coprésident de ECOLO m’a répondu que j’exagérais de prétendre qu’il y avait des hommes battus en Belgique. Il prétendit qu’ils étaient rares… et que s’il en existait plusieurs, il le saurait.

  • Dernièrement, un ami médecin, président d’une association, qui a reçu plus de 10.000 parents en détresses en 16 ans… m’écrivait ceci :
    Je connais beaucoup d'hommes battus, physiquement et plus encore moralement. Il suffit qu'ils soient pères pour qu'ils se taisent ou se terrent. Personnellement, j'ai été deux fois frappé par deux femmes, sans avoir été agressif ou les avoir meurtries de quelque façon que ce soit (sauf en n'étant pas celui dont elles avaient instantanément besoin, sauf en n'ayant pas un comportement instantanément mimétique avec le leur).

    Hier, sur la radio de service public français, une invitée ne fut pas remise à sa place par la journaliste quand elle déclara: "les rapports entre hommes et femmes sont politiques puisque les hommes considèrent leur femme comme des objets et frappent leurs enfants".
    Non mais quoi ??? Qu’est-ce que ça veut dire ??? Quel amalgame toléré de la part de cette journaliste !!! Elle ignore que des femmes considèrent aussi les hommes comme des objets !

    Et l’une des plus grandes formes de violences, c’est de « pousser des hommes à se suicider » ! Des pères se sont pendus parce qu’ils ne voyaient plus aucune solution pour pouvoir s’en sortir… La plupart, parce qu’ils furent condamnés à payer des pensions alimentaires impossibles à payer au risque de se retrouver à la rue ! Et de ne plus pouvoir vivre avec ses enfants, de manière décente, ou ne fusse que de les voir. C’est ce qui m’arriva il y a 16 ans !

    Quand aux maisons d’accueil pour femmes battues, on les dénomme « Maison pour femmes battues », à tort bien entendu. Car la plupart d’entre-elles ne sont pas battues. Mais… pour obtenir leurs subsides annuels, les gestionnaires de ces structures prétendent que leurs usagères sont victimes de violences conjugales. La juriste attitrée monte alors un dossier à charge du conjoint (du copié/collé) afin de l’expulser définitivement du foyer. Belles réalité de l’homme objet qui sert à payer des pensions alimentaires. J’arrête là, car j’aurais encore beaucoup de témoignages (plus de 800) à raconter. Et ça ne sert à rien, car personne (à part vous, ici) ne prend le temps de lire.
    Sur plus de 30.000 cas, on reconnaît les mêmes stigmates sur les pères, et depuis quelques temps sur les mères... mais c’est plus rare. Mon avocat me fit savoir qu’une mère fut expulsée de son foyer après 25 ans de mariage et condamnée à payer une pension alimentaire impossible à payer… Ne s’agit-il pas d’une forme de violence extrême ?

  • Pascale, vous écrivez "Si vous aviez envie de voir que je voulais dire par là que les points positifs c'est qu'il y a aussi des hommes battus, c'est lamentable."
    … je vous le concède… pour penser une chose pareille, il faut avoir un esprit tordu (pour faire simple et sans vouloir analyser – ici -- l’auteur d’une telle pensée).

    Ne dit-on pas « Honi soit qui mal y pense » ?

  • Voici un autre témoignage qui interpelle…
    Pour quelle raison son mari s'est-il suicidé ? Une femme raconte sur Same Story...
    http://www.same-story.com/famille-enfants/familles-recomposees/pour-quelle-raison-son-mari-s-est-il-suicide-562

    N’est-ce pas aussi l’une des violences les plus extrêmes ?...

  • il ne faut surtout pas omettre le pouvoir de certaines sectes,harcelant les anciens membres,et faisant pression sur le conjoint,beaucoup de couples sont en danger,et ces groupes n'hésitent devant aucun chantage pour détruire un couple

  • La violence que j'ai pu rencontrer concerne des pères, principalement lors d'une séparation.
    Souvent, il s'agit de couples non mariés, et le père se sent en position de faiblesse, car il a peur de perdre tout droit à voir ses enfants.
    Moins il ose affirmer ses droits de père, plus la mère en abuse (dans les cas que je connais...). Tentatives d'interdire au père de voir ses enfants, fréquemment la mère obtient du juge qu'il ne puisse les voir seuls. Dénigrement du père devant les enfants. Contrôle et harcèlement.
    Et commence un cercle vicieux infernal, augmenté par les difficultés financières et la dépression.
    Et des enfants qui en subiront les séquelles.

    Ce que je répète à tout va aux hommes (et ça devrait s'adresser surtout aux jeunes), c'est que dans l'état actuel des lois, ne jamais avoir d'enfant sans se marier.
    En effet, même si les jugements ne sont pas toujours favorables aux hommes, en général, leur droit de père sont au moins respectés (non mariés, ils restent souvent dépendants du bon vouloir de la mère). Et peut-être ils se sentent plus en confiance pour s'affirmer en tant que tel.

    J'aimais bien cette idée de médiation imposée, il me semble que vous l'aviez évoquée une fois.

    :-B

  • @ CLVDP

    merci pour ce lien plus haut. où peut mener le chantage d'une enfant roi.
    et d'une ex au comportement infect.

    http://laviedeperes.over-blog.com/article-18606917.html

    "Malheureusement, la majorité des couples divorcés entretient une lutte pour le pouvoir sur les enfants, qui deviennent trop souvent objets de chantage. "



    "Je pense que l'auteur de l'article a raté son coup en ne creusant pas la question des chiffres, qui est à la fois anecdotique et importante."

    tout à fait d'accord, en mininisant la réalité. en déniant la réalité la directrice du projet a une attitude malhonnête.

    la réalité des chiffres doit être connue, et doit être correctement appréhendée par le grand public pour une reconnaissance de la réalité des hommes battus
    et victimes de graves violences psychologiques.

    et des centres pour eux avec subventions doivent êtres ouvert !!!

    dans un second temp il faut lutter sur les causes.

    ""«Ce sont des hommes peu sûrs d'eux, passifs, qui mettent la femme sur un piédestal. Ils n'ont aucune capacité de décision. Au début des violences, ils pensent qu'ils s'y prennent mal, ils cèdent à tous les caprices. Les femmes ne sont jamais confrontées à un contre-pouvoir. On entre alors dans une spirale», ajoute la psychologue."

    que les hommes conprennent que ce n'est pas en agissant comme celà (comme leur serine le féminisme depuis des années) que leur couple ira mieux.

    que les femmes onts besoin d'un homme qui se tienne debout en face d'elle
    qu'il fasse preuve d'assertion si nécessaire. elle n'onts pas envie de rester avec un homme quelles ne respectent pas qui s'applaventrie devant elle.
    elles ne peuvent qu'a l'humilier.

  • Nous les premières féministes avont créé indirectement car très jeune ,ce mouvement pour être les alter ego de nos amis masculins,pas pour les écraser,en lisant ces commentaires,je me dis,hé bien pour ces femmes qui n'hésitent pas,bien qu'il y ait aussi des hommes très violents,tout ce modernisme a tué leur jugeotte,et qu'en les obligeant tout comme nos grand-mères à refaire leurs lessives au lavoir communal,peut-être qu'en tapant sur le linge,leur agressivité disparaitrait je dis bien peut-être,car ces néoféministes sont des walkyries,et nous qui sommes nombreuses à regretter nos maris,triste société

  • Oui... mais... ces "néo-féministes" sont non seulement des walkyries, mais surtout des chancres morbides, délétères, létaux,… pour les familles, ciments de nos sociétés ! Je partage à 100 % votre avis, lovsmeralda.
    Triste de constater : Heureux les hommes célibataires !!!
    Et vice versa : Heureuses les femmes célibataires !!!

  • Permettez-moi de vous transmettre le lien du dossier sur la violence conjugale (février 2010) constitué par le Groupe Français GES:
    http://g-e-s.over-blog.com/pages/DOSSIER_VIOLENCES_CONJUGALES-2504160.html
    Bien cordialement,

  • Les Hommes victimes de la violence conjugale ? Ça ne date pas d’hier !!!
    Voici un article datant de 1993

    London 08/04/1993
    … Sur 341 victimes de violences domestiques, 45% sont des hommes et 17% des femmes, d'après les conclusions d'un groupe de médecins du Leicestershire, dans un rapport rendu public par le département britannique de la Santé…
    Lire la suite sur :
    http://www.lexpress.fr/informations/s-o-s-hommes-battus_593986.html

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