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Nouvelles d’Hermil Lebel, père en clandestinité

J’ai parlé il y a un an de ce père québequois, condamné dans une affaire digne de Kafka, et qui a pris la clandestinité depuis 3 ans. Hermil fait partie des hommes de cette belle province, rebaptisée «Féministan», qui sont d’office coupables parce qu’ils sont des hommes, tant la discrimination sexiste misandre a pris là-bas des proportions alarmantes.

Pour mémoire, les deux billets sont ici et ici (cliquer). Hermil tient également un blog ici.

J’ai reçu un communiqué où il annonce son intention de se rendre et de purger sa peine insensée et injuste d’un an de prison. En effet, ses enfants grandissent et il ne peut plus les voir dans sa situation actuelle.

Cette condamnation suit de supposées menaces de mort qu’il aurait fait contre son ex-épouse sur son répondeur. Il se trouve que l’employé des téléphone a déclaré qu’il était impossible de retrouver la date d’un appel! De plus, sa fille Camille, coachée par sa mère ou la policière, a été amenée à faire une fausse déclaration. Elle déclare qu’étant chez sa grand-mère, son père l’a appelée pour menacer sa mère, un 16 août 2003. Or, il est reconnu dans l’acte d’accusation que le 16 août 2003, Camille était justement en week-end avec son père!!! (Cliquer sur les images pour les agrandir si besoin).

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Voici le communiqué:


«La justice «made in Québec»

"Les lecteurs de ce blog ont été informés dès sa mise en ligne en mai 2008 de l’histoire de Hermil LeBel, ce père de famille réduit à vivre en « liberté illégale » dans son propre pays parce qu’il refuse de plier l’échine et de se livrer comme un mouton aux autorités pour aller purger une peine injuste.

PrisonCellule.jpgRevenons un peu sur les faits entourant cette histoire de justice qui semble issue directement de l’imagination fertile de Kafka. Hermil a été arrêté sans mandat à son domicile situé à 125 km de la métropole par les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) sous le prétexte qu’il aurait proféré des menaces de mort à l’encontre d’une policière, le Sergent-Détective Annie Vigeant # 4350 du SPVM. Or la « preuve » consistait simplement en ces mots : «  Je possède suffisamment de munition pour envoyer Annie Vigeant en enfer derrière les barreaux ». Bien malin celui qui pourrait déceler la moindre menace de mort dans ces propos (ils s’agissait d’arguments juridiques)… D’ailleurs, le tribunal n’a pas osé s’aventurer sur ce terrain glissant. Or, contrevenant à la présomption d’innocence, Hermil a été gardé en détention dite préventive durant les trois mois de procédure, un traitement habituellement réservé seulement aux criminels dangereux capturés en flagrant délit. Au terme de l’exercice, Hermil fut acquitté… et condamné à une année supplémentaire de détention !

Le prétexte de la sentence était que la phrase litigieuse avait été laissée sur le répondeur de la mère de ses enfants avec laquelle il y avait un interdit de contact ordonné par la cour criminelle alors qu’un jugement de la cour supérieure en matière familiale autorisait les communications. En clair, le tout et son contraire !

En droit criminel, les accusations doivent être prouvées « hors de tout doute raisonnable ». L’acte d’accusation doit être précis quant aux faits et aux dates des éléments dénoncés car il est question ici de priver un citoyen de sa liberté, ce qui n’a rien d’anodin. Dans le présent cas, l’accusation s’est même donné la peine d’appeler à la barre un témoin-expert, soit un technicien de la compagnie de téléphone, qui est venu confirmer sous serment l’absence d’élément vérifiable quant aux dates des appels mis en preuve. Sans doute dans le but de couvrir le ministère public et surtout lui éviter une poursuite en responsabilité civile pour avoir poursuivi sans juste cause et incarcéré durant 3 mois un citoyen parfaitement innocent, le juge Claude Leblond de la cour du Québec (un ami personnel du premier ministre Jean Charest) a déshonoré sa profession et trahi son serment d’office en sanctionnant d’une lourde peine un crime qu'il savait inexistant.
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Cette histoire de justice digne de Staline fut subséquemment soumise à l’examen de la cour d’appel, ce qui a permis à ce père de famille de recouvrer sa chère liberté durant l’intérim. Lorsqu’en juillet 2006 la cour d’appel a refusé de modifier la décision saugrenue du juge de première instance et demandé à Hermil de se constituer prisonnier dans les 48 heures, il leur a fait un bras d’honneur et rejoint le maquis. Confronté à la tyrannie, le citoyen est investi du devoir de résister.

Il faut savoir également que dans le cadre de ses fonctions professionnelles, la SD Annie Vigeant est impliquée jusqu’aux oreilles dans le vicieux dossier de séparation initiée sur la base d’une déclaration mensongère de son ex conjointe. La dénonciation initiale de violence conjugale n’était appuyée en effet que sur une marque de suçon laissée sur le cou de la plaignante par un amant de passage. Ne pouvant affronter la réalité et dévoiler ainsi au conjoint son double jeu, elle a préféré composer le numéro d’urgence, se plaindre de violence conjugale et faire incarcérer le père de ses enfants. En semblable matière, c’est la politique de tolérance zéro qui prévaut, situation qui trop souvent rime avec intelligence zéro. Sans égard aux faits, dès qu’une telle plainte est reçue, les policiers ont ordre d’expédier le mâle du couple derrière les portes closes, même lorsque c’est lui qui lance l’appel pour se plaindre de la violence de sa conjointe !

43.JPGDeux ans après l’arrestation initiale, alors que le dossier familial chemine à pas de tortue devant les tribunaux, la mère récidive cette fois en utilisant son propre enfant alors âgée de 8 ans pour lui faire rédiger  une déclaration mensongère dans le but d’incriminer son père. Ce petit manège se déroule grâce à la bienveillante complicité de la policière Vigeant et sous les conseils de l’avocate véreuse Adélia Ferreira qui pilote le dossier familial. Lors des procédures judiciaires en droit criminel consécutives à cette dénonciation, la policière Vigeant s’est copieusement parjurée ce qui lui valut une plainte en déontologie. Mais dans ce pays, les femmes peuvent se livrer à ce petit manège sans jamais encourir de conséquence comme nous le démontre la suite des événements. La plainte en question fut rejetée en première instance et ensuite par le comité de révision malgré la preuve accablante, soit la transcription de ses propos livrés sous serment à la cour. L’arrestation arbitraire eût lieu à peine deux semaines après cette décision erronée. Il s’agissait en réalité d’une vengeance pure et simple du service de police qui tolère difficilement de voir dénoncer un crime commis par un agent de police en devoir.

Mais voilà, le temps passe et les enfants grandissent sans la présence de leur père. Aucune des multiples démarches entreprises auprès des autorités compétentes pour dénoncer cette flagrante injustice n’a porté fruit tant est puissant le lobby féministe de ce côté-là de l’Atlantique. Par amour pour ses enfants, Hermil jongle présentement avec l’idée de mettre un terme à cette cavale de 3 ans et se rendre purger une peine injuste afin de pouvoir reprendre contact avec ses enfants.

Est-ce la décision appropriée dans les circonstances ?  Quelqu’un aurait-il une solution créative pour lui permettre de retrouver une vie « normale » ? Vous avez la parole…"


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Catégories : société 25 commentaires

Commentaires

  • @ Hommelibre

    franchement dans ce pays les féministes extrémistes onts dépassé la mesure.
    ce sonts bien des féminazies. c'est véritablement un lobby destructeur.

    ça va se terminer dans la violence !!!!

    même les juges ne sonts pas honnêtes enfin pas tous

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/21/quebec-anti-hommes-un-juge-denonce-la-politique-de-la-violen.html

    et chez nous elles veulent faire passer dans les lois la violence psychologique.

    http://www.liberation.fr/societe/0101578631-douze-propositions-pour-mieux-lutter-contre-les-violences-faites-aux-femmes

    "Tout aussi discriminatoires, d’autres sont aussi complètement délirantes :

    - "Inscrire un délit de violences psychologiques au sein du couple dans le code pénal" (une notion complètement subjective et invérifiable, donc multiplication des plaintes-bidon) ;

    - "Proscrire le recours à la médiation pénale" (c’est pas bien d’essayer de rétablir le dialogue ?)

    Violences conjugales : à qui la faute ?
    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422


    - "Accorder un titre de séjour aux femmes en situation irrégulière" ( avoir un mari violent donne droit à des papiers !)

    Une fois de plus, les parlementaires cautionnent le massacre des 120 000 hommes victimes évalués par l’OND (estimation faible...) et envoient un signal fort d’encouragement aux hystériques et prédatrices diverses à continuer leur sale besogne dans la plus totale impunité."

    extrait la cause des hommes

  • Quand un jge part en couille et qu'il ne veut pas admettre qu'il a tort, toute sa famille le soutien et pas besoin d'aller au quabec pour voire des décisions complétement à la masse.
    Souvent des juges médiocres adoptent des attitudes inhumaines et bizarrement souvent dans des juridiction s'occupant de l'enfance.
    C'est dramatique, j'en ais parlé une fois dans un bistrot avec une psy de la protection de l'enfance, c'est à ce rouler parterre !

  • Aussi, il est courant que des avocats conseil des mères en instances de divorces en leurs demandant de faire en sorte que le père soit conviancu de pédophilie et lorsqu'elle avoue avoir monté une plan foireux pour leurs intérêts persos, aucune sanction ! Circuler y a rien à voir !

  • Le plus épouvantable dans ce genre d'affaires, c'est l'instrumentalisation des enfants pour en faire des armes de guerre conjugale.
    Sa représentation la plus insensée - et de plus en plus courante, semble-t-il - ce sont ces mères qui poussent leurs enfants à accuser injustement le père d'abus sexuels pour le mettre définivement sur la touche.
    Les pédopsychiatres s'accordent à reconnaître que ces enfants, incapables d'établir clairement la frontière entre le réel et le fictif, se développeront dans la plupart des cas comme s'ils avaient été réellement abusés.
    Est-il possible que les adultes ne parviennent pas à régler leurs différends en épargnant leurs propres enfants?

  • @ un passant

    "Les pédopsychiatres s'accordent à reconnaître que ces enfants, incapables d'établir clairement la frontière entre le réel et le fictif, se développeront dans la plupart des cas comme s'ils avaient été réellement abusés."

    tout à fait vrai

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article92

  • @ corto: c'est exactement comme ça, hélas. La protection de la jeunesse dysfonctionne depuis longtemps, et pourtant ça ronronne sans que rien ne change.

    @ un passant: la médiation doit être instaurée. En Allemagne, là où elle se fait par obligation, il n'y a quasi plus d'enfants-otages. Et les situation de séparations conflictuelles doivent être étudiées avec beaucoup plus de profondeur et d'attention. Un père accusé faussement est automatiquement éloigné de ses enfants, avant toute enquête, sur les seules déclarations de la mère. C'est l'arme absolue contre les pères.

    Dans l'affaire d'Hermil, sa fille, a 8 ans, en est arrivée à affirmer quelque chose qui est matériellement impossible! Il y a même la vidéo de l'interrogatoire de sa fille sur son blog. Hallucinant.

  • @ Hermil:

    Je comprends que tu veuilles te rendre, même si tu as été condamné pour quelque chose qui est démontré par la justice elle-même comme matériellement impossible! Kafka a fait beaucoup de petits.

    Mais te rendre est la seule chance de revoir tes enfants.

    Quand tu te rendras, prends des journalistes, des amis avec des caméscopes et des enregistreurs, qu'ils t'accompagnent. On passera la vidéo le plus largement possible. Médiatise cela, c'est la seule arme qui te reste contre cette justice hallucinante.

    Bon courage Hermil, je suis avec toi, nous sommes nombreux à être avec toi.

  • @ Leclerq
    Document édifiant. Ca fait frémir.
    Peut-être faudrait-il créer un nouvel article dans le code pénal:
    "Destruction de la psyché de son enfant dans le seul but d'évincer son conjoint"
    La lourdeur de la peine devrait être proportionnelle à la gravité du délit...

  • @ un passant: entre 1997 et 2002, suite à une circulaire de Ségolène Royal, les proviseurs ont été mis dans l'obligation de dénoncer même les simples rumeurs. Résultat: des centaines de professeurs et instituteurs arrêtés, mis en examen, vie cassée, profession cassée, suicides, et au bout du compte 73% d'accusations totalement infondées. Marie-Monique Robin a fait une enquête approfondie sur toutes les affaires et écrit un livre: "L'école du soupçon".

    Voir aussi: http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/06/05/fausses-accusations-un-slam-pour-les-peres.html

    Des infos et mon expérience sur mon site http://www.hommecible.com

  • bon bien je me suis déjà pas mal exprimée quant à ces affaires de fausses accusations envers les pères. Elles existent hélas en proportion moindre que les accusations fondées....mais elles existent. Je sais certaines statistiques disent que c'est une grande majorité....pour ma part de source judiciaire je sais qu'elles ne représentent qu'une infime proportion par rapport aux accusations fondées mais bon....ce que je souhaite juste dire quant aux faux témoignages, ou témoignages induits plutôt, des enfants manipulés par leur mère (puisqu'il s'agit de mères en général prétendues) il me semble évident que devant une experte les faux témoignages ne tiennent pas la route longtemps...un témoignage induit est assez vite décelé, croyez-moi.
    Cependant, ne connaissant pas personnellement cette affaire ni ce Monsieur, je ne puis que lui souhaiter le meilleur pour la suite et réparation si un tort est prouvé à son encontre. Bien entendu, je souhaite également que la justice se fasse des plus sévères s'il est avéré que la mère a ourdi ce monstrueux complot. Mais j'ai évidemment toujours de la peine à me forger une idée quand je n'ai pas parlé directement aux protagonistes.
    Je sais que certains ici vont réagir en m'inondant de références sur les horribles mouvements féministes....dont je ne fais aucunement partie, la gynocratie, la suprématie des femmes....bon tout cela ne me convainc pas. Encore une fois, je pense aux enfants victimes de l'idiotie des adultes.

  • Il semble que ça rapporte un peu trop de fric pour que ça change !

  • Vous risquez de me trouver rude, mais avant de construire il faut casser en analysant, si nous ne voulons même pas reconnaitre certaines vérités, alors autant ne débattre de rien, ça sera tout au aussi utile !

  • Maintenant ajouter de la méditation sur un tas de détritus, autant pisser dans un violon.
    Dans le social, énormément de conflit interne se règle sur le dos des utilisateurs. Et des petit roitelets reigne sur la vie des autre avec un(e) tel(le) arrogance, dédain, fierté, insolence, mépris, orgueil, suffisance, qu'il y d'abord commencer par soigner les soi disant soignants !

  • @ un passant

    un organisme de surveillance de la justice serais très utile.
    actuellement c'est une tour d'ivoire, ce sonts des intouchables.
    des juges peuvent être non objectif ils ne craignent leur institution les couvre.

    en plus je pense les femmes moins objectives que les hommes dans les affaires familiales.

    "Cela m’ennuie de le reconnaître, murmure la commissaire Nicole Tricart, mais la grande majorité des professionnels spécialisés dans les affaires de mineurs et de divorce - avocats, juges, experts, policiers - se trouvent être des femmes... »

    j'ai un ami à qui c'est arrivé. sa femme là accusé de violences conjugales.
    elle a uniquement dit qu'il l'avait menacé avec une arme, sans aucune précision.
    la juge là immédiatement fait éjecté de chez lui.
    aprés il a fait connaissance avec la justice sexiste anti-hommes.
    il a attrapé une maladie des nerfs, une semaine de perfusion par mois !!!
    son but elle voulait récupérer la maison pour elle seule.
    dans le jugement tous leurs amis communs étaient pour lui, dont qu'il avait empêché d'exercer de la violence physique contre sa femme. et une partie de sa famille à elle.
    il n'a pas voulu porter plainte pour fausse accusation, et elle n'a été nullement inquiétée par sa fausse accusation. (je lui ai d'ailleurs préter ton livre homme libre).
    un ami lui a préter une maison pour se loger, sinon il se suicidait, et l'aurait tuée elle, bien évidement ça serait rentré dans les homicides pour violences conjugales !!!!

  • @ leclercq: c'est hélas un cas devenu trop ordinaire. La justice étant une des clés des valeurs et de la démocratie, ses errements systémiques sont particulièrement grave.

    Oui, un organisme vraiment indépendant devrait contrôler le travail des juges. Mais là, aucun politique ne nous suivra pour le moment: sujet tabou!

  • @ hommelibre

    les politiques recherchent des voies pour se faire élire.

    et puis les politiques ne veulent pas déplairent au lobby féministe.

    on voit bien les campagnes contre la violence conjugale en france, ils laissent aller les femmes du gouvernement dans leurs délires.

    "- Pourquoi les hommes, premiers ciblés par cette idéologie séparatiste et cette vision grimaçante de la masculinité, ne protestent-ils pas ?

    Ils sont tétanisés par la bien-pensance féministe et crèvent de trouille à l’idée de passer pour des machos, donc des salauds et des réactionnaires"

    dixit élisabeth Badinter.

  • @ Vali

    "bon bien je me suis déjà pas mal exprimée quant à ces affaires de fausses accusations envers les pères. Elles existent hélas en proportion moindre que les accusations fondées....mais elles existent. Je sais certaines statistiques disent que c'est une grande majorité....pour ma part de source judiciaire je sais qu'elles ne représentent qu'une infime proportion par rapport aux accusations fondées mais bon...."

    je pense que tu parle des fausses accusations d'inceste !!!
    tu écrit en proportion moindre aprés, tu écrit c'est une infime proportion.
    ça veut pas dire la même chose, evelyne sullerot écrit qu'il n'y a que 30% des accusations qui sonts vraies serais-telle une menteuse ?
    As-tu des chiffres plus précis ?

  • Une bonne façon de prévenir (un tant soit peu) toutes ces folies, c'est d'éduquer les hommes à détecter ces menteuses. Oui les hommes peuvent aussi mentir, mais le 'système' n'écoute pratiquement que les menteuses et les manipulatrices.

    Une autre façon de 'sauver les meubles', c'est de tout enregistrer...

    TOUT dans le système carbure aux oui-dire...
    C'est vraiment le pain et le beurre de tant de fonctionnaires.
    Surtout ici en Amérique ! Mais cela devient aussi de plus en plus vrai de votre côté de l'Atlantique.

    *

    Je dis bon courage à Hermil (que je connais bien).

    Je salut Hommelibre et merci pour votre blogue
    ---» nous avons discutés devant l'Université de Mtl pendant le congrès.
    J'ai bien apprécié.
    ;-)

    a+

  • @ sebas:

    Je crois me souvenir, oui, très sympa.

    La mise en alerte que vous adressez aux hommes a hélas du sens. Tout garder, enregistrer, garder lettres et photos même après une séparation, garder des preuves. Dans mon affaire, je voulais ne plus rien avoir à faire avec cette ex-compagne, suite à sa trahison bête et banale. Je croyais lui avoir rendu ses photos et lettres. Cela a dû l'encourager à construire son mensonge, elle pensait que je ne pourrais rien prouver, et que sa parole serait plus forte que la mienne, comme d'hab. Heureusement, sans le savoir, j'en avais encore quelques-unes, qui ont compté aux yeux des jurés.

    Si cela vous intéresse, je vous suggère d'aller faire un petit tour sur mon site-carte de visite, en pages créativité, où j'ai mis en ligne mes chansons.

    http://www.goetelenjohn.ch/goetelenjohn.ch/creativite_john_goetelen.html

    Bien à vous.

  • Oui c'était sympa.
    ;-)

    *

    C'est dommage d'être forcé à agir comme des détectives... mais l'autre option (la naïveté) est trop 'couteuse' à tous les niveaux.

    *

    Je suis content qu'un jury ait pu entendre vos preuves... car ici, nous n'avons que rarement accès à ce genre de procès. Il y a probablement(?) trop d'accusations (sans fondements dans 70% et + des cas), pour que le 'système' accepte de donner cette 'chance' à tous les hommes...

    Seulement au Québec (population presque équivalente à la Suisse), il y environ 20 000 (oui, oui, vingt milles) accusations -de ce genre (i.e. 'violences/abus envers une femme')- par année !

    C'est devenu une vraie industrie...
    Le Québec détient le triste record mondial pour le nombre d'avocats(+notaires) per capita.

    *

    Je ne suis pas un grand mélomane, par contre j'ai été agréablement surpris d'entendre votre belle et originale musique. J'ai même tout écouté ! ;-)

    Beaucoup de belles émotions transpirent de vos chansons; paix, joie, simplicité, espoir malgré les épreuves, etc.

    J'aime bien votre voix.

    J'espère qu'elles deviendront populaires.

    A+

  • Je viens de prendre connaissance de cette association:
    http://www.sos-fausses-accusations.ch/Site/accueil-fausses-accusations.html

    C'est un service énorme que vous rendez !

    Vous connaissez sûrement la 'Coalition pour la défense des droits des hommes du Québec' et son fondateur, Georges Dupuy;
    http://www.coalitiondeshommes.org/

    Je suis allé lui rendre un dernier hommage cette semaine...

    C'était un homme vraiment bon et malgré le fait que sa situation soit réglée depuis longtemps (tout comme vous), il était toujours préoccupé par le sort de ceux qui étaient faussement accusés. Il n'a pratiquement jamais reçu d'aide (étatique ou autre)... et il continuait quand même. Et Hermil (et d'autres) vont continuer d'assurer la continuité de cet organisme.

    Bravo à toutes ces généreuses personnes !

  • La dernière arrestation dans cette affaire est survenue peu de temps après qu'un individu du nom d'Andy Srougi, sous la bannière de Fathers-4-Justice, ait escaladé la structure du pont Jacques-Cartier à Montréal pour y déployer une banderole «Papa t'aime». Dans les médias locaux, j'ai clairement été identifié à titre de porte-parole du mouvement de défense des pères qui réclament justice. Tout le long des procédures devant le juge Claude Leblond de la cour du Québec, il était d'ailleurs question du procès de Fathers-4-Justice. Ces arrogants personnages tolèrent en effet difficilement la critique et leur colère est sans appel ! Doit-on se soumettre aux ordres prononcés par un petit fonctionnaire servile en proie à la déraison ?

    Sebas évoque pour sa part la mémoire de Georges Dupuy qui nous a quitté fin juillet au terme d'un long combat. Dans le domaine, Georges figure certainement parmi les précurseurs. En publiant son livre «Coupable d'être un homme», VLB éditeur, 2000, Georges a contribué à nous ouvrir collectivement les yeux par rapport au phénomène inquiétant des fausses allégations et nous démythifier le fonctionnement de la machine à broyer les hommes. Et même en menant son combat jusque devant l'ONU, Georges trouvait la force de maintenir sur pied la Coalition pour la Défense des Droits des Hommes du Québec, un organisme destiné à exercer des pressions politiques et à renseigner le grand public au sujet du viol systématique du droit des hommes impliqués bien souvent malgré eux dans une histoire acrimonieuse de séparation de couple. Son bouquin et la Coalition qui continue son travail même après son départ, témoignent que son passage parmi nous n'aura pas été vain.
    http://www.coalitiondeshommes.org

  • Tout peu basculer très vite suite à une déclaration mensongère.
    Je suis dans un cas similaire, depuis fin juin ma femme est partie avec notre enfant rejoindre un amant qui n’est autre que mon frère.
    Pour se déculpabiliser aux yeux de la justice, elle avait fait croire à une agression en organisant avec sa mère et mon frère un véritable Guet-apens faisant croire que je l’avais agresser.
    Ils sont parvenus à duper la justice dans un premier temps et J’ai été mis en garde à vue et traité comme un chien. Je reviens de loin car cela aurait encore pu etre encore bien plus grave…
    Elle n’avais pas prévue que je m’en remette.
    Depuis j’ai été autorisé à revoir mon fils durant trois heures dans un centre sous surveillance et cela après 109 jours de séparation.
    Mon enfant de 3 ans a subit de fortes manipulations, il est profondément traumatisé car il ne pensait pas me revoir. Son comportement montre des signes de régression et de désocialisation.
    Malgré tout, je suis parvenu à faire déclencher une enquête car un 1er jugement avait eu lieu en mon absence, sans que je puisse me défendre.
    Je suis désormais dans la capacité de démontrer la machination par de nombreuses preuves que j’apporte, mais ce n’est pas encore gagné.
    De longs mois me séparent encore de mon fils qui continue de grandir tant bien que mal sans son papa. La maman continue de faire tout son possible pour éviter que je puisse parler à notre enfant et menace de partir à l’étranger avec lui car elle n’a pas encore sa nationalité française et risque gros.

  • Encore une aberration Québécoise!! Et elles sont légions dans ce pays!!!

  • En revenant sur cette page, j'ai réalisé à quel point les années passent. J'ai repris contact avec Camille peu de temps après la publication initiale de l'article. Camille avait 14 ans. Je l'ai croisé à son retour de l'école. Spontanément, après plus de 4 ans d'absence totale de contact, nous sommes tombés dans les bras l'un et l'autre et partis main dans la main en direction du parc. Nous nous sommes revus régulièrement par la suite. Son frère plus jeune et plus facilement manipulable par la mère déviante, demeure distant.

    Je continue le combat. Récemment, j'écrivais une lettre ouverte à la nouvelle ministre de la justice à propos du viol systémique des droits réputés fondamentaux des hommes par les agents de l'état sans qu'elle se formalise de ce détournement de justice. En droit criminel, ça se nomme complicité.
    http://bit.ly/TNIsrv

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