Alors que la majorité des hommes ne voit pas encore ce qui se met en place sur son dos, Madame le Ministre français des droits des femmes annonce un plan d’enfer pour éradiquer le sexisme et la violence faite aux femmes. Le gouvernement a suivi un séminaire sous la houlette d’un ministre ouvertement communautariste. Mais si le clan de Madame Vallaud-Belkacem gagne temporairement les deux batailles de la politique et des médias, elle n’en fait pas moins fausse route, et ces victoires cachent mal un naufrage idéologique. Je suis d’ailleurs étonné qu’il n’y ait pas plus de voix pour soulever les incohérences de la situation.
Le naufrage du féminisme français
Premièrement il ne saurait y avoir des droits des femmes différents de ceux des hommes. Ce qui prévaut ce sont les Droits de l’Homme, ou Droits humains. Créer un Ministère des droits des femmes est donc une déclaration d’hostilité aux hommes et une position clairement sexiste. Cette dénomination est de plus en contradiction avec la volonté affichée d’aplanir les différences entre les sexes. Ici on les cultive. Incohérent.
Deuxièmement le mot sexisme est un terme générique qui englobe aussi bien la misogynie que la misandrie. Hommes et femmes peuvent être victimes de sexisme. La captation du mot générique à l’avantage d’un seul sexe est un hold-up sémantique et intellectuel. Ce ne peut être fortuit: les femmes seules doivent être présentées comme des victimes afin de justifier toutes leurs stratégies et toutes leurs exigences. C’est l'un des fondements du féminisme et c'est encore un acte d’hostilité envers les hommes.
Troisièmement: parler de la violence faite aux femmes comme le seul versant de la violence domestique est un mensonge délibéré, une malhonnêteté politique majeure. Gommer les meurtres conjugaux d’hommes parce qu’ils sont moins nombreux n’est pas acceptable. Nier la violence faite aux hommes (voir chiffres sur billet précédent) n’est plus acceptable et est impardonnable à notre époque, où les indicateurs officiels, gouvernementaux, la mentionnent eux-mêmes comme tout sauf négligeable. Incohérent et malhonnête.
Quatrièmement: comment Madame le Ministre des droits des femmes peut-elle annoncer en l’absence du ministre chargé de la formation, que l’égalité sera enseignée à l’école? Et comment une matière aussi politique, qui génère tant de suspicions dans les relations entre femmes et hommes, peut-elle sans précaution être introduite, et selon quel discours? Il semble bien que l’on soit ici en présence de l’étape suivante programmée par la Féminista:
«Maintenant, j’ai l’impression que le féminisme « acte I » a éduqué les femmes, et que le féminisme « acte II » devrait éduquer les hommes.» Cynthia Fleury.
(Mais, cela ne fait-il pas des milliers d'années que les femmes éduquent les hommes? Au vu du résultat si désastreux selon les féministes, je réfléchirais à deux fois avant de perpétuer une telle pratique).
Une société qui se referme
Madame Vallaud-Belkacem a donc commencé à éduquer le Premier Ministre et les autres ministres hommes. La suite est l’école, où l’on peut s’attendre, vu le radicalisme du ministre et ses mensonges, à ce que les hommes soient mis à genoux et culpabilisés dès l’enfance. N’oublions pas que l'autre dogme féministe est de libérer les femmes de la supposée oppression masculine. C’est donc un état de guerre. L’école est le prochain champ de bataille. Le décervelage avance.
Le forcing féministe, ses exagérations et mensonges, montrent sa vulnérabilité. S’il a momentanément gagné les batailles politiques et médiatique, il sait que ses propres contradictions ne pourront tenir indéfiniment sans une forme ou une autre d’implosion. C'est une idéologie fragile qui ne peut se passer d'émotions répétées et de torsions du réel. D’où la frénésie actuelle de groupuscules ou d'individus à l'idéologie variable qui passent de plus en plus à une forme de violence, intellectuelle ou physique, pour imposer rapidement leurs thèses - avant que les hommes ne se réveillent et que les femmes qui aiment les hommes ne se dressent pour dire que cela suffit.
C’est pourquoi ces féministes doivent faire vite pour faire promulguer des lois avant que le reflux ne se fasse sentir. Pour un certain temps encore elles sont protégées par le système politique. Aucun homme, aucune femme politique n'ose vraiment s'opposer à elles. La gauche caresse dans le sens du poil deux clientèles importante pour 2017: les féministe et les homosexuels. Deux lobbys qui comptent. Le clientélisme et le lobbying sont aujourd’hui déchaînés, et les décisions politiques ne sont plus assez ouvertes et débattues. Tout est de plus en plus imposé sans vrai débat préalable. La société se morcèle et se referme.
Continuer à se battre
La conséquence est que les tensions vont augmenter. La criminalité et la division interne seront pendant un temps des exutoires à ces tensions. Quand elles seront trop fortes on ira vers une rupture morale et sociale et il suffira alors d’un bouc émissaire et de quelques événements fortuits ou organisés pour que l'Europe vacille à nouveau. C’est le prix inévitable à payer pour un monde qui se referme: les tensions explosent tôt ou tard. Mais il est encore possible de modifier le cours du temps.
L’égalité devrait être la norme entre hommes et femmes. C'est pour moi une évidence, c'est ma conviction originelle. L'égalité, mais pas forcément la similarité. Les différences ne nuisent pas au respect. Ce qui manque ce ne sont pas des lois rigides et contraignantes comme la parité, mais un supplément de valeur humaine. Les hommes peuvent y contribuer, comme les femmes. Mais ils doivent aussi rehausser leur estime d’eux-mêmes, si abîmée par des décennies - ou davantage - de misandrie. Les femmes qui les combattent n’ont aucune amitié ni admiration pour eux. Ils doivent les éviter tant qu’ils ne sont pas assez forts en eux pour ne lâcher sur aucun argument. Ils ne sont pas obligés d’avoir la réponse immédiate; ils peuvent dire: «J’ai lu ou entendu ou ressenti autre chose, je vais y réfléchir».
Ils doivent renoncer à penser qu’ils seront aimés s’ils font profil bas devant les femmes: les vraies alliances sont fondées sur la reconnaissance et le respect mutuels, pas sur la soumission. Les hommes ne sont pas coupables d’être des hommes. Les seuls coupables sont ceux et celles qui commettent de vrais crimes. Les procès d’intention n’ont aucune valeur. Les hommes comme les femmes ont toujours apporté beaucoup à la société. Parmi eux il y a des malades, mais c’est une petite minorité.
La guerre contre les ennemies politiques des hommes sera longue mais elle n’est pas perdue. D’autres batailles viendront, que les hommes gagneront - non seulement pour eux, mais aussi pour les femmes qu’ils aiment et qui les aiment, car la culture masculine est tournée vers la communauté.
Il y a un travail à faire sur le masculin, en soi et dans le monde. Des batailles à mener. J’écrirai plus en détail à ce sujet dans un billet ultérieur.
J’encourage les hommes à lire mon livre, et à le faire lire également à leurs compagnes. Je l’ai écrit pour cela: débattre, discuter, faire bouger les lignes. On le trouve en ligne ou dans cette liste de librairies romandes.
Commentaires
Quand est-ce que le troupeaux de moutons qui me servent de concitoyens vont se réveiller ??
Ils attendent d'être définitivement castrés ou bien ?
Où sont passé les révolutionnaires de 1789, de l'ère industrielle et de mai 68 ?
"La gauche française caresse dans le sens du poil deux clientèles importante pour 2017: les féministe et les homosexuels."
Et pourquoi ? Pour cacher la médiocrité de ce gouvernement de tartuffes et leur incompétence immpressionnante pour relancer la dynamique du marché.
La gôche sociétale quôa !
Cf l'histoire de l'arbre qui cache la forêt
Dieu qu'elles sont usantes ces mégères apprivoisées.On comprend de mieux en mieux pourquoi les anciennes refusaient de faire de hautes études .Elles tenaient à préserver leur part de féminisme intégré au masculin
"La guerre contre les ennemies politiques des hommes sera longue mais elle n’est pas perdue. D’autres batailles viendront, que les hommes gagneront - non seulement pour eux, mais aussi pour les femmes qu’ils aiment et qui les aiment, car la culture masculine est tournée vers la communauté."
c'est la seule solution quand on voit ce quelles onts fait de la suéde et du québec quelle horreur !!!!
en réfléchissant après avoir pris du recul , l'interdiction de fumer devait viser principalement les hommes.Dommage pour* les interdictrices* elles n'avaient pas prévu le ras de marée de contestation des femmes dites* normales*
On avait les parents castrateurs,le chanteur castra et maintenant on a les femmes castratrices dignes héritières des sordides kapos
dommage que le taux d'hormone varie toutes les heures d'après un endocrinologue,ces femmes dont les changements d'humeurs menstruelles doivent être impossibles à supporter pour elles et surtout pour les autres sont peut-être sous traitement inadapté d'hormones de synthèse qui on le sait font complètement dérailler
Un article qui démontre la réalité de la violence féminine et qui a existé depuis plus longtemps que vous le croyez:
" Suzanne Steinmetz, l’un des auteurs de cette enquête, a remarqué que « [le] crime le plus sous-estimé n’est pas la femme battue, mais le mari battu ». "
"Dans la majorité des cas, les violences étaient commises simultanément par les deux conjoints. Néanmoins, l’étude a aussi révélé que dans 27% des cas, le mari était le seul coupable de violence physique et que dans 24% des cas, la femme était la seule coupable de violence physique. Les auteurs démontrent aussi que 4,6% des hommes mariés seraient battus par leur épouse, une proportion qui suggérerait la présence de « plus de 2 millions d’épouses très violentes » rien qu’aux États-Unis. Alors que 47% des maris violents avaient battu gravement leur femme au moins 3 fois au cours de l’année étudiée, 53% des femmes violentes avaient battu gravement leur mari au moins 3 fois au cours de l’année étudiée."
"Comme le montre la gravure du XVIIe siècle illustrant cet article, la violence commise par des femmes contre leur époux n’est pas une nouveauté. Dans son article Les hommes : victimes inacceptables de la violence maritale (en anglais), le docteur Malcolm George explique que même si ce type de violence illégitime a été exposé dans des livres depuis les années 1950, les premières références à des « hommes battus » dans des travaux universitaires n’ont été faites qu’en 1977 par Suzanne Steinmetz."
http://patriotismedeclocher.wordpress.com/2012/11/25/les-violences-faites-aux-hommes-continuent-detre-ignorees/
Nous sommes au commencement d'une nouvelle société qui devra se réformé vite et en douceur soit vite mais dans la douleur.
Le mouvement des droits des hommes fait de plus en plus d'adeptes dans les pays anglosaxons, les techniques de manipulations ne marchent plus sur de nombreux hommes, les hommes se sont tues pendant trop longtemps, laissez leurs la parole, donnez leur l'égalité et le droit à la même dignité sinon ils prendront ce qui leur reviens de droit et ça sera par la force, se jour il ne faudra pas dire je ne savais pas.
@dereck
Votre discours est bien joli joli mais il faut le dire à Belkacem, la gauche et les féministes...
@ Derek:
Je pense aussi que l'on en arrivera à un rééquilibrage, et à une révision de nombre des théorie mises en place à marche forcée au XXe siècle. Tâchons d'y contribuer pour sortir de la guerre des sexes.
un nouveau film sur la violence conjugale
http://www.la-croix.com/Culture/Cinema/Arretez-moi-culpabilite-et-innocence-_NG_-2013-02-05-907636
avec évidement femme victime homme coupable le schéma bien connu.
responsabilité partagée de la violence conjugale dans le couple cas le plus fréquent nenni.
donc l'homme finit par la fenêtre, et la femme est innocence ce n'est pas une meurtriére mais une innocent tenez vous le pour dit, c'est le message du film, genre il ne serait pas normal du tout de ne pas être d'accord avec le message du film !!!
le mari de cette femme était apparement un pervers narcissique, un homme en manque éducatif en manque de limites en manque de pére, voilà un des résuktats des femmes élevant seules leur enfant aprés avoir éjecté le pére, c'est beau les résultat du divorce, au lieu de réfléchir aux résultats du divorce et de se remettre en cause c'est plus facile d'accuser globalement les hommes et d'essayer de nous faire croire que la violence conjugale c'est ce que nous fait voir ce film et pas autre chose.
nouvelle source de fimancement pour le féminisme.
http://www.lepoint.fr/culture/arretez-moi-un-huis-clos-pour-denoncer-la-violence-faite-aux-femmes-06-02-2013-1624399_3.php
Parallèlement à la sortie du film, Jean-Paul Lilienfeld a lancé une opération intitulée "Arrêtez-le" au 0899 660 300. Chaque appel d'une minute, explique-t-il sur ce numéro, coûte 1,69 euro à son auteur dont 95 centimes reviennent au 3919, numéro national gratuit de Violences conjugales info.
"après avoir lu qu'en France, une femme mourrait tous les deux jours et demi sous les coups de son compagnon", explique-t-il dans les notes du film adapté du livre de Jean Teulé "Les lois de la gravité".
et de réfléchir un peu pour mieux appréhender le sujet ça il était pas capable de le faire !!! au lieu de gober les affirmations féministes
http://www.ledauphine.com/drome/2013/08/10/jamais-sans-ma-fille-le-cri-d-un-pere
les féministes s'assoient sur les lois pour elles les lois ne sonts là que pour contraindre les hommes, là dans ce qui se passe, on peut penser que la communauté musulmane à compris le message compris que la justice c'était bidon, ne nous étonnont pas qu'il y ai beaucoup de violence conjugale physique dans leur communauté, qu'ils n'aient pas envie de s'intégrer vu comment les hommes sonts moqués, les féministes n'y vonts pas dans les familles musulmanes où il y a de la violence conjugale, là elles onts peur, peur comme onts peur ces femmes qui subissent la violence conjugale physique et qui ne portent pas plainte, par peur !!!
Visiblement certains musulmans n'ont pas envie de se faire enfler, et quelque part ils on bien raison. En tout cas on peut dire qu'on vit dans une société féministe, puisque l'incohérence y règne en maitre. Je sais pas si vous avez remarqué.
Plus on a envie de les tarter pour leur comportement de plus en plus excécrable, plus les gens sont choqués qu'on lève ne serais-ce que le petit doigt sur elles; plus elles appellent à une libération sexuelle des femmes, plus celle des hommes est remise en question (et donc des femmes qui aiment les hommes également); plus les femmes sont dans une position privilégiée dans notre société, plus elles se disent victime du patriarcat (80% de SDF hommes, dorment dans la rue, drole de patriarcat...); plus elles sont favorisées dans le système scolaire, plus elles s'en plaignent; plus elles sont pistonnées en politique (idiotie de parité), plus on les entend jacter de la discrimination négative qu'elles subiraient etc.
Enfin, disons que toute l'imbécilité féminine, qui peut aller très très loin comme on peut le voir, est concentrée dans le féminisme. Il y a une part de connerie énorme chez de nombreuses femmes, enveloppée dans des bonnes manières, de la coquetterie de langage, mais bien réelle; et ce mouvement l'exploite à merveille.
Voici quelques liens lus récemment pour illustrer mes propos, vous m'en direz des nouvelles...
Du ritallin pour devenir des bons gars (près de 80% de garçons à qui on administre ce médoc): http://www.immigrer-contact.com/main.php?action=tribune&option=lecture&mpseudo=frenchdad&tid=1&t=Le_Qu%E9bec_tue-t-il_ses_petits_gar%E7ons?
Et voici un fils à maman (pour pas dire fils de.. autre chose), favorable à la pornographie féminine (trad. pornographie féministe), MAIS farouchement opposé à la pornographie masculine :
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/918331-penelope-cruz-realise-une-pub-lingerie-quand-une-femme-se-fait-l-agent-du-sexisme.html
Y'avait aussi l'autre imbécile de Jeanjean qui se réjouit sur son blog, du futur chomage des directeurs de théatre hommes, avec la généralisation de la parité du nouveau projet de loi.