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Guerre des sexes: pourquoi les hommes doivent laver leurs chaussettes

Depuis des temps immémoriaux les femmes se sont approprié symboliquement le corps des hommes. De deux manières. L’une est la création du couple, avec tout ce qui l’accompagne: la fidélité, le travail pour la famille et la mise en péril de sa vie pour défendre sa petite communauté. La survie et l’expansion de l’espèce en ont certainement profité: la stratégie féminine a été gagnante.

hommes,femmes,chaussettes,mégane,reproche,guerre des sexes,misandrie,militaire,mère,corps,pouvoir,domination,L’autre manière a été l’appropriation des enfants, par l’éducation et par la garde en cas de séparation. Beaucoup d’hommes mourant aux guerres ou devant émigrer pour nourrir leur famille, la garde maternelle s’est imposée comme une évidence. La patrilinéarité, soit l’attribution du nom du père aux enfants, a été possiblement une compensation au fait que les hommes n’étaient jamais sûrs d’être les pères biologiques. La maternité existait de fait bien avant que l’on instaure une paternité. Le fait de donner le nom du père aux enfants, et dans certains cas de privilégier le fils aîné dans l’attribution du patrimoine, créait la paternité et pouvait motiver les hommes à s’engager durablement dans le couple et la famille plutôt que de semer leur semence à tous vents. Ils avaient un projet et une valeur sociale reconnue.

Cette fonction permettait aussi aux hommes de se détacher de la mère et de prendre leur responsabilité d’adulte. Les hommes venant de la femme, de son ventre et de ses bras, de son affectivité et de son projet éducatif, de son regard, leur dépendance au féminin est forte. L’éducation masculine, militaire en particulier, la contention émotionnelle demandée par les mères comme par les pères, servait possiblement d’apprentissage au détachement et à l’acquisition d’une autonomie. Quelle femme aurait accepté un homme pleurant de peur au moment d’aller la défendre sur le terrain?

Le partage des tâches a été un système performant pour le développement de l’espèce et des familles. On sait aujourd’hui que la spécialisation, tant dans la recherche que dans le monde du travail, est facteur d’avancement et d’accroissement global - même si c’est au prix d’une «fourmiliarisation» des individus. La différenciation sexuelle est elle-même une spécialisation. Les hommes pouvaient attendre de leur épouse qu’elle s’occupe de la santé et de l’organisation de la famille, l’épouse étant en droit pour sa part d’attendre de l’homme qu’il soit travailleur, fidèle et sobre.

Par un étrange retournement de l’Histoire, cette répartition est devenue une raison dehommes,femmes,chaussettes,mégane,reproche,guerre des sexes,misandrie,militaire,mère,corps,pouvoir,domination, reproche et de guerre domestique faite aux hommes. Le symbole en est la paire de chaussettes dans le salon. Combien de fois entend-on le discours dénigrant sur l’homme qui recherche encore sa mère en laissant traîner ses chaussettes? Et combien de femmes ont dénigré leur part de service à la communauté en se rebellant contre la supposée réduction à l’état de bonne? C’est tout le fondement du discours féministe et de la guerre des sexes qui se résume dans cette paire de chaussettes.

Les hommes n’ayant plus assez de reconnaissance sociale et étant l’objet d’une misandrie massive, ils doivent développer par eux-même l’estime de soi et de leur place dans la société. L’autonomie fait partie de cette estime de soi. C’est pour cette raison que les hommes doivent dorénavant laver eux-mêmes leurs chaussettes. Ce n’est pas pour obéir à leur femme, ni pour avoir la paix dans la guerre de tranchées (ou l’épicerie) qu’est devenue le couple, ni pour donner quittance d’un seul début de reproche: c’est pour eux-même. Le reproche est une forme d’autorité prise sur l’autre. C’est un des signes de l’appropriation du corps de l’autre. C’est un instrument de pouvoir et de domination. Par principe, les hommes doivent refuser tout reproche. C’est comme ça, non négociable.

Les hommes ont donc intérêt à laver eux-mêmes leurs chaussettes. Ce n’est pas pour une négociation calculatrice sur le 50/50 dans les tâches ménagères. Ils doivent continuer à se moquer du 50/50. S’ils veulent faire 80%, ils le décident et le font. S’ils ne veulent faire que le 20% c’est leur décision. Si cela ne convient pas à leur compagne ils font un compte précis de ce que chacun apporte et paient de leur poche une femme de ménage pour leurs heures grâce à l’argent gagné en ne faisant plus de cadeau ou en n’offrant pas de resto ni d’habits à leur compagne. C’est cela, l’épicerie.

C’est la suite bien comprise de la guerre des sexes.

C’est donc pour défendre leur propre honneur et leur autonomie, et pour ne pas donner d’arme à l’ennemi dans la guerre des sexes, que les hommes doivent laver eux-mêmes leurs chaussettes.

Ils auront en prime la satisfaction de ne dépendre que d’eux-même. N’est-ce pas le modèle du couple moderne?

Catégories : Féminisme, Politique, société 16 commentaires

Commentaires

  • J'ajoute que si la majorité des féministes refuse la garde partagée, c'est pour garder le pouvoir sur l'homme, pour le soumettre par l'appropriation des enfants. La victimisation de façade sert un objectif genré.

    Voici un extrait d'un texte rédigé par une féministe professionnelle, Hélène Palma, au sujet de la résidence alternée:

    "Le second documentaire se proposait lui de pousser un peu plus loin encore la réflexion et de se demander comment il a pu se faire qu’une loi aussi facile à pervertir que celle relative à l’autorité parentale de mars 2002 ait pu être votée en France. On s’est alors aperçu que la France n’est pas seule ni la première à avoir voté ce genre de texte, sous la pression d’associations de pères que les media nous présentent d’ordinaire comme des groupes de "victimes" absolument inoffensives. La réalité pourtant est bien plus préoccupante. Le milieu militant auquel j’appartiens sait cela depuis longtemps, à force de se contraindre à lire les élucubrations répugnantes accessibles sur les sites de ces associations ; mais pour la première fois, là encore, on a pu voir et surtout entendre les énormités qui se cachent derrière le discours que nous tiennent ces hommes.

    L’intérêt des enfants leur importe peu : ils veulent "leur part", quoi qu’il en coûte à l’enfant. Surtout, ils ne supportent pas la liberté économique et idéologique qui permet désormais aux anciennes victimes de se défaire de l’emprise d’un agresseur. Ils ne savent plus comment rétablir leur domination (qui n’est pas aussi morte qu’ils essaient de nous le faire croire). Ils veulent même pouvoir intervenir sur une décision de poursuite ou d’interruption de grossesse alors que, faut-il le rappeler, l’affaire se passant dans le corps des femmes, et notre corps nous appartenant, la décision finale nous revient. Indiscutablement."

    http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.15;wap2

  • Les babibouchettes furent à l'origine du complot contre les valeurs viriles!
    http://www.babibouchettes.ch/

  • Oui. Qu'on coupe la tête à celles qui sont trouées, et qu'on noie les autres dans la boîte à laver!
    :-)

  • Le plus drôle dans l'histoire des chaussettes, c'est qu'avec une machine, c'est une des choses les plus faciles à laver ! Elles ont un autre avantage, qu'elles partagent avec les slips : pas besoin de repassage.
    M'occupant de la lessive d'une famille de quatre personnes, je peux témoigner que la phase la plus pénible est le moment où il faut suspendre la lessive à sécher. Un retour de vacances représente une bonne cinquantaine de chaussettes à suspendre. Ensuite, il faut dé-pendre et assortir les paires.
    C'est une invasion de Babibouchettes.
    Il faut beaucoup de poigne et d'endurance pour obliger les enfants à participer. C'est une tâche qui est parfaitement à leur portée.
    Certes, le séchoir permet de supprimer cette étape, mais nous ne pouvons pas tous nous en offrir un ou n'avons simplement pas la place. (Je n'ose pas parler du côté de la dépense d'électricité, car c'est très mal vu, en plus de passer pour une féministe, je serais taxée d'écolo, ce qui est encore pire dans l'échelle des indignations:-)))))
    Plus sérieusement : à mes yeux, tout ça n'est un problème domestique qu'à partir du moment où la femme travaille à plein temps.

  • Calendula, je pense comprendre que vous êtes membre d'une famille où ce genre de guerre n'a pas lieu. Heureusement il y en a!

    Pour les chaussettes: le pire est d'assortir les paires. Il faudrait les numéroter. :-)

  • La vache, au moins je me dis que j'ai pas mal fait de passer sur cet article.

  • @Hommelibre,oui en effet qu'ils lavent leurs chaussettes mais qu'ils n'oublient pas de prendre une poiture au-dessus sinon une fois cuite à 95 degré ,saleté oblige, ils pourront en racheter une autre paire
    Car l'homme est un être particulier qui aime marcher sans chaussure chez lui et quand on sait qu'il lui faut très souvent inviter une copine pour avoir envie de nettoyer,bonjour les chaussettes blanches/rire
    A défaut de chaussettes ,je vous souhaite de joyeuses fêtes de Paques

  • @Calendula,comment faisaient nos grands -mères ? elles aussi travaillaient toute la journée,gardant en plus d'autres enfants que les leurs.Les enfants se surveillaient entr'eux et les grands mères n'étaient pas maniaques au point d'entendre très souvent comme de nos jours des hommes dire,celui qui a inventé l'aspirateur aurait mieux fait de rester au lit,et cela ne s'arrange pas dès la retraite.A croire que cet appareil représent un stimuli quelconque en dormance,quand à faire des histoires pour des chaussettes mal rangées faut vraiment avoir du temps à perdre
    Elles étaient organisées,chaque jour était celui d'une occupation ménagère,de nos jours elles veulent tout faire le même jour de quoi énerver nombre d'hommes surtout quand ils ont congé,a croire qu'elles font exprès de garder les nettoyages pour ce jour là.
    Et quel est le couple ou aucun des partenaires ne cherche pas à faire tourner l'autre en chèvre?cela fait aussi partie du jeu et tant que c'est l'aspirateur qui avale les chaussettes,pas grave c'est bientot l'été,il ira à pied nu en attendant qu'il aille vers ses copains!
    c'est ça la vie de couple et rien ne changera jamais .Quand aux plaintes récurentes de certaines nanas elles oublient qu'en se mariant,tout le monde change et cela aussi depuis la nuit des temps
    la patience d'ange s'apprend , il en faut une sacré dose,mais c'est ce qui fait le charme aussi du mariage en tous cas pour les anciennes qui regrettent toutes les prises de becs,au moins y'avait de la vie!c'était pas un mouroir comme aujourd'hui ou chacun très soüvent attend trop de l'autre
    Les hommes ont besoin d'affection, d'être épaulés ils diront non par fierté et pourtant petits garçons à vie durant,la belle fille ne doit jamais oublier qu'elle se marie pour terminer le travail de belle-maman,Le temps ou ado il lançait ses chaussettes par dessus bord en criant ,maman t'as fait quoi de mes chaussettes? avec le recul on en rit en songeant tout de même au nombre de claques qui auraient été données de bon coeur malgré tout.Mais on savait que l'Armée ferait mieux et on chantait un air célèbre:l'odeur des pieds se répand dans la grange,etc/rire
    Belles fêtes de Paques

  • Bonsoir, lovsmeralda,

    Oui, comment faisaient nos grand-mères ?
    Les miennes n'avaient pas l'eau courante, on chauffait l'eau au sauna et on lavait la lessive à la main, dans des cuvettes. On lavait bien moins souvent qu'à présent, simplement parce qu'on n'avait pas le temps. Je ne me souviens plus comment on faisait sécher la lessive en hiver, quand ça gelait trop dehors. Peut-être après le sauna hebdomadaire, dans le bâtiment encore un peu tiède. Je me souviens de la légère odeur de fumée des draps chez ma "mummo".
    Ma mère a tenu à avoir une machine à laver (autour de 1957). Maman était très moderne, trop aux yeux de sa mère. Il faut dire qu'elle faisait 60km d'autobus par jour pour aller travailler en ville et elle ne pouvait certainement pas prendre le temps de frotter à la main.
    La machine était à l'étable, où il y avait l'électricité. On y apportait l'eau depuis le puits et le système du tambour remuait la lessive. J'imagine que la machine chauffait l'eau. Je me souviens du système d'essorage manuel, à l'extérieur de la machine rudimentaire : comme deux rouleaux à pâtisserie en caoutchouc(?), entre lesquels on passait les habits détrempés, en tournant une manivelle.

    C'est pour cela que je pense que, de nos jours, la lessive est un non-évenement. Ca pourrait être tellement pire. J'y pense souvent, en me souvenant d'où je viens.

    Je ne sais pas si les hommes ont davantage besoin d'affection que les femmes.
    Est-ce vraiment vrai que l'épouse doit finir le travail de sa belle-mère ??? Je connais bien des hommes qui sont tout contents de créer leur propre histoire bien loin de maman et qui ne cherchent pas forcément de vivre leur vie d'adulte en sandwich entre maman et épouse. J'aime me les imaginer comme des adultes autonomes.
    En cela, je suis d'accord avec hommelibre : c'est aux hommes de décider en toute autonomie ce qu'ils font ou pas dans le ménage.
    (comme les femmes aussi, d'ailleurs)
    Belles Pâques à vous aussi, lovsmeralda.

  • "Par un étrange retournement de l’Histoire, cette répartition est devenue une raison de reproche et de guerre domestique faite aux hommes."

    la réalité c'est que cette guerre domestique est le signe qu'en ce moment nous sommes dans une période de domination féminine, on ne parle que des taches féminines, alors quelles onts même moins d'importance que d'autres taches contraintes.

    des hommes travaillant à temps plein avec une femme au foyer, fonts du ménage !!! et onts deux heures de plus par jour de temps contraint, on est tombé sur la tête où quoi !!!

    une femme au foyer actuellement est loin d'être débordée maxi 3 enfants tout le confort moderne pour l'aider, résultat elles traquent le moindre brin de poussiére avec acharnement, activité parfaitement inutile qui montre leur ennui, et on va nous faire croire que ce délire, c'est du lourd de l'indispensable, il en reste du temps pour commérer avec les copines pour couver à outrance les enfants.

  • @Calendula merci pour votre réponse pascale,elle me va droit au coeur
    au sujet des belle-mère c'est un witz qui se racontait autrefois par les oncles et grands pères au bistrot ! dommage qu'on ne puisse faire ressuciter les phrase mémorisées par les murs dans certains estaminets ou tout ouie les gosses écoutaient émerveillés ces gaudreries dont les chefs de famille étaient les champions tandis que sitot rentrés,ils affichaient une mine plus sèvère.D'ou ma phrase,ils restent enfant à vie,rire
    Quand à l'épaulage à ne pas confondre avec l'épaulard je pense aux couples qui travaillent ensemble et qui pour beaucoup finissent en se soignant l'un et l'autre ,on le sait ces couples là sont soudés ,l'un est mal fichu l'autre s'en le vouloir va aussi se sentir moins bien,c'est l'amour vrai et partagé malgré soi
    je suis sans doute plus âgée que vous cependant ayant toujours vécu avec l'Armée notre commune depuis la fin de la guerre a été soudée comme les dix doigts de la main avec les recrues,sans doute aussi ai-je appris très vite le sens du verbe épauler et à ne jamais laissé choir comme une vieille chaussette dès la première petite contrariété.
    toute belle journée pour vous

  • J'ai beaucoup de mal à vous suivre; il me semble quand même que laver ses chaussettes, faire la vaisselle, ou utiliser l'aspirateur ne sont pas compliqués au point de nécessiter un apprentissage tel qu'il mènerait à une autonomie. Je ne parle pas des hommes bordéliques, ou qui ne s'essuyent jamais les chaussures au paillasson, ça c'est pénible qu'on soit homme ou femme.

    Je pense que la solution que vous proposez à cette guerre des sexes en est en fait la cause. A force de toujours concéder, les hommes ne sont plus respectés par des femmes devenues insatiables. D'ailleurs pourquoi s'en priveraient-elles face à ce roseau couché en permanence qu'est devenue l'homme européen? N'avez-vous pas remarqué qu'à une époque où le féminisme est si influent et par certains aspects on pourrait considérer que ce sont les hommes qui sont désavantagés; leurs revendications et plaintes incessantes n'ont pourtant jamais été aussi nombreuses? Qui veut et organise cette guerre des sexes, sinon des féministes misandres (pléonasme) qui contaminent à des degrés divers une grande partie des femmes? Céder, ou même négocier, ce serait amplifier le problème, croyant que ça va le résoudre. Vous parlez de céder pour la énième fois, alors que justement, selon moi il faudrait de la fermeté dorénavant.

    Du reste, vous proposez d'anticiper les éventuelles querelles par rapport aux exigences dictées par les féministes, en obéissant d'avance à leurs recommandations... soit. Mais c'est un peu une attitude d'enfant qui ne veut pas se faire prendre en faute ça.
    Moi je me demande si la solution n'est pas plus en amont que ça, la raison voudrait qu'on n'habite tout simplement pas sous le même toit qu'une personne qui voudrait imposer ce genre de règles ou dont on sent qu'elle aurait ce type de velléités. Ce genre de femmes, on les voit venir à des kilomètres quand même.

    Je crois que l'un des gros problèmes de l'homme occidental qui a pu y favoriser le féminisme, c'est son esprit de conquête. Beaucoup se gargarisent d'avoir conquis une femme qui leur résiste, qui va flatter leur égaux de séducteur, d'homme qui sera parvenu à faire céder celle qui l'a d'abord refusé. Il faut les entendre parler d'elles "ma copine elle a le sang chaud". Et quand la copine les plaque, c'est le drame; ces derniers perdent leur sang froid et ont envie de la tuer, d'autres vont même jusqu'à se suicider.
    De cet état d'esprit, le ressenti qu'en ont certaines femmes c'est : tant que je lui donne du fil à retordre, il sera attiré par moi. Et voila comment des rapports pervertis ont amené de plus en plus de femmes à être en guéguerre puis en guerre avec les hommes. D'abord dans l'intimité d'une relation, puis au niveau politique (que les misandres et lesbiennes ont pu naturellement exploiter et développer), où leurs révoltes aussi débiles soient-elles, seront machinalement pris en considération ou vu par ces conquérants comme positives, alors qu'il faudrait balayer ça d'un revers de la main ou leur claquer la porte au nez, mais certainement pas les écouter.

    Voila comment des considérations qu'on pourrait trouver futiles, des histoires de couples et de ménage; ont des répercussions sur tous un tas d'autres domaines (parité gouvernement, homoparentalité, propagande sur les viols etc...). Pour moi beaucoup de choses partent de là.

  • "Ce genre de femmes, on les voit venir à des kilomètres quand même."

    Cher Didier je suis d'accord avec toi à 100 % il ne faut pas vivre avec n'importe qui sous peine que celà se termine en queue de poisson ou pire sous le joug de la domination de la femme très tendance à cette époque moderne.
    Soit dit, je ne suis pas tout à fait d'accord lorsque vous affirmez que les femmes de ce type sont détectables par l'homme. Je connais bien des hommes qui ont eu des surprises avec des femmes. Moi-même je désespère quand à une éventuelle confiance que j'aurais envers la gente féminine, sachant que tout est contre l'homme à cette folle époque. Donc non Didier souvent femme varie, surtout à une époque où elles peuvent tout se permettre en fonction de leur humeur.
    Et ce sont souvent les plus jolies les plus enquiquineuses

  • Malheureusement ce n'est pas fiable à 100% en effet, c'est juste un moyen d'optimiser les chances. Mais je pense quand même que de nombreux hommes manquent d'acuité par rapport aux styles de femmes. Ils les prennent souvent par défaut ou parce qu'elles sont belles; alors que les femmes savent mieux imposer leurs critères de sélection j'ai l'impression. Moi-même avant sincèrement je ne m'intéressais presque qu'au physique. Je crois que les hommes devraient à leur tour imposer leurs critères, au lieu de chercher à toujours charmer des capricieuses, qui si ça continue finiront par leur faire porter le tutu.

    Justement je m'étais documenté sur les types de femmes, j'ai aussi beaucoup observé et analysé leur comportement. C'est un sujet qui ne m'intéressait pas avant, mais qui peut s'avérer très utile plutot que de se retrouver devant le fait accompli. Donc voila ce que j'en ai retenu. Il existerait 4 grands principaux types de personnalité : La femme indépendante, la femme fatale, la femme maman, et la femme enfant

    - La femme indépendante agit souvent par imitation de l'homme, tout en n'appréciant pas la masculinité quand elle est à sa place (chez l'homme), est souvent misandre, ne jure que par son travail, est souvent agressive, est peu aimable, ou manque rarement une occasion d'être désagréable, à des tendances saphiques plus ou moins marquées etc. (celle là vous fera chier à la maison c'est sur, si vous avez la "chance" de l'avoir sous votre toit).

    - La femme fatale sexualise beaucoup par son look et ses attitudes, utilise ses charmes pour manipuler des hommes, est souvent froide, ou alors rentre-dedans, sourit peu, à des amants, couche pour réussir, quelques fois également elles peuvent être aussi débridées sexuellement que relativement austère en apparence etc. (celle là vous fera cocu ça me semble évident).

    - La femme maman aime s'occuper des hommes, est douce, trouve naturellement dans la complémentarité un rapport avec les hommes qui la flatte, a le contact facile, apprécie les rôles genrés dans le foyer ou ailleurs, aime cuisiner, s'occupe du ménage, a une proximité affective avec les hommes.

    - La femme enfant présente une certaine candeur parfois feinte ou exagérée volontairement, est tendre, joviale, spontanée, est plus intelligente qu'elle le laisse entendre aux naïfs, réussit toujours à faire une pirouette pour s'en sortir malgré les gaffes, trouve chez l'homme (non féminisé biensur) une stabilité et une certaine force rigide qui lui manque.

    En tout cas, je sais dans quelles catégories situer les éventuelles féministes où les femmes qui ont un comportement similaire, pour moi c'est très clair. Certes ce ne sont que des tendances générales, tous n'est pas toujours si lisible, et il y a aussi parfois plusieurs tendances chez une même personne, mais il faut voir laquelle est dominante. C'est pour ça pour moi que des femmes "neutres", lisses, ou "équilibrées" ne m'intéressent pas, car selon les circonstances, les modes, le discours ambiant, elles peuvent basculer d'un coté comme de l'autre, elles n'ont pas suffisamment de personnalité.

  • Didier,

    Il s'agit d'ironie et d'humour, ou d'autonomie symbolique!

  • http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.15;wap2

    " se lamenter sur leur sort après une séparation/un divorce en évitant le plus souvent de se renseigner sur les raisons de cette séparation ou de ce divorce. "

    que les femmes divorçent ce n'est pas parce quelles subissent des violences comme cette tarée veut nous le faire croire mais exactement pour l'inverse parce quelles elles fonts subir des violences aux hommes qui eux ne répondent pas comme on leur a si bien appris ils se comportent comme des lavettes.

    ces femmes sonts dans l'irrespect, et une femme ne peut pas avoir envie de vivre avec un homme, en ne le respectant pas, hommes soyez un contre pouvoir pour vos compagnes elles en onts besoin.

    la soeur de mon épouse a 21 ans a vécu 1 ans et demi avec un homme elle ne le respectait élevé en petite derniére capricieuse, elle le giflait !!!! elle là quitté !!!!

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