L’affaire du pictogramme sexiste.
Nouvelle polémique genrée en France. Cela manquait. Heureusement Madmoizelle.com veillait. Le site féministe est monté au créneau pour saluer l’effort de la SNCF.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’affaire du pictogramme sexiste.
Nouvelle polémique genrée en France. Cela manquait. Heureusement Madmoizelle.com veillait. Le site féministe est monté au créneau pour saluer l’effort de la SNCF.
Je viens d’apprendre sur le blog voisin de Demir que le 21 février est la journée internationale de la langue maternelle. Il n’y a pas de langue paternelle. La langue est transmise par de la mère.
Un enfant est assis sur une banquette à côté de sa mère. Je le sais parce qu’il l’appelle maman. L’enfant, un petit garçon, a environ quatre ans. Sa mère lui apprend à compter sur les doigts. Il est ravi et s’investit dans le jeu.
Cette image trouvé sur Facebook est utilisée pour illustrer une phrase d’Albert Einstein: « Je crains le jour où la technologie remplacera les interactions humaines. Nous aurons alors créé une génération d’idiots ». L’image est censée démontrer que c’est fait.
Les comportements sexuels féminins n’ont pas fini de surprendre. C’est un constat, pas un jugement. On reconnaît habituellement aux femmes plus de réserve qu’aux hommes. L’affaire que j’évoque se passe aux États-Unis, dans la petite ville d’Evans, en périphérie d’Augusta en Géorgie.
Le renversement des choses fait partie des possibles. Les djihadistes ne sont pas les seuls à être radicalisés. La radicalité contient l’idée d’un conflit non négociable, ou d’une action irréversible, voire d’une rupture majeure avec l’état qui précède. On peut la rencontrer partout.
Elles n’apprécient pas. Certaines le disent: « Hey les mecs, vous n’auriez pas oublié la cuisine et le ménage? » D’autres, comme Chantal Jouanno, s’inquiètent de voir les femmes « … enfermées dans le rôle stéréotypé qui leur est assigné depuis des siècles : celui d’épouse et de mère. »
Je débute l’année nouvelle par un hommage aux mères, à certaines mères en particulier. J’ai déjà écrit sur l’abnégation d’une mère, lors de la tuerie du Bataclan. Elsa avait alors sauvé la vie de son fils âgé de 5 ans, en sacrifiant la sienne.
Si les femmes kamikaze atteignent à l’image même de la mère, si importante sur Terre, Elsa est l’exemple inverse. Elle s’est sacrifiée pour sauver son fils. Quelques lignes suffiront pour célébrer son courage.
Les écrivains rendent parfois compte de leur époque. Pas toujours de manière fidèle: ils peuvent aussi se tromper. Il y a trois ans je citais cet extrait d’Albert Cohen : « …une douce épouse et servante qu’un regard du mari faisait pâlir, sévère regard du mâle assuré de son droit et privilège, grotesque regard impérial de l’animale virilité. » (Carnets 1978, Editions Gallimard, p.10).
Sans dévoiler de secret particulier ou trop personnel j’aimerais dire quelques mots de ma mère. Elle était une femme solide. Jeune, elle travaillait comme secrétaire chez un médecin et visitait l’Europe en train avec sa meilleure amie. Elle voulait un homme partageant sa voie - une vocation religieuse dans l’enfance - et qui aime les enfants.
Une équipe d’enseignants et d’enseignantes d’une école primaire de la ville de La Môle dans le Var (France) a décidé de supprimer la fête des pères et celle des mères. Elles seront remplacées pas une nouvelle «Fête des parents».
L’excellent magazine en ligne et papier Causeur a fait un premier bilan du mariage homo un an après son instauration en France. Il rappelle d’abord que le mariage gay a aboli le droit fondamental et anthropologique à une double filiation paternelle et maternelle. Puis l’auteur, Pascal Bories, livre quelques chiffres et observations.
La «construction sociale» est le nouveau monstre des temps modernes. Tel un Leviathan ayant traversé les âges pour manger les enfants et contraindre les femmes à plaire, il sévit toujours lors des jeux olympiques et des compétitions sportives. Analyse d’une thèse féministe, publiée dans Le Monde en octobre 2000 sous la plume de Catherine Louveau.
La société de complémentarité est suspectée d’encourager à l’inégalité des sexes parce qu’elle favorise des stéréotypes ou des modèles de comportements fixes et cloisonnés. Dans l’imagerie dominante matraquée depuis quelques années, une femme ne pourrait être autre chose que mère et boniche, un homme que héros et maître absolu. Quelle imagination! L’univers manichéen et simpliste de la bande dessinée est entré dans la sociologie.
Le Vert Antonio Hodgers propose de faire distribuer la pilule contraceptive aux adolescentes de moins de 20 ans. L’Etat prendrait la dépense en charge. La distribution serait anonyme. La pilule du lendemain et autres méthodes seraient également à disposition.
Les hommes sont-ils piégés ou trop légers dans leurs relations? La question n’est pas tranchée. Une avocate, Me Mary Plard, a sorti cette année un livre sur ce sujet. Elle défend fréquemment des hommes mis en demeure d’accepter une filiation qui leur est imposée et qu’ils ne souhaitent pas assumer.
- Va t’occuper dehors, dit la femme à son homme. Moi je fais des choses sérieuses ici.
L’homme franchit le trou de pierre et regarde devant lui la plaine qui s’étend. Le grognement de l’ours retentit. Il prend sa lance et cherche le plantigrade. C’est cela s’occuper dehors. Il a une bonne musculature. S’il meurt ce n’est pas grave. Il y a d’autres hommes pour faire des petits. Le clan survivra.
Les images de joie dans le quartier du Marais à Paris font écho à la satisfaction des députés de la majorité de gauche à l’Assemblée nationale française. La fête de rue regroupant spontanément des milliers de personne montre que le projet de loi sur le mariage gay était attendu et a une valeur de symbole pour la population concernée.
Les marmots de cette maternelle aiment la piscine. Ils y vont tous ensemble avec les responsables de leur école, et des parents pour les aider. A la piscine de leur quartier, à Plants de Cergy, garçons et filles partagent le même vestiaire.