En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Mais pourquoi donc? Veulent-elles être violées librement? J’en doute. Le viol n’est pas une partie de plaisir pour les femmes. En réalité elles s’offusquent de voir des hommes blancs, de souche, se lever pour dénoncer les agressions sexuelles, en particulier celles du Nouvel-An.
La politisation du viol atteint ici trois points de réflexion.
Le premier est que les immigrant ne sont pas un problème pour elles, malgré le fait que la culture arabo-musulmane soit beaucoup plus tendue sur la question des relations femmes-hommes que la nôtre. Elles font fi de cet aspect culturel sous le prétexte que dénoncer les migrants ne devrait pas donner de droit à l’agression pour les autochtones. Car l’agression sexuelle n’est pas une simple question de culture. C’est une question de sexe.
Sur ce premier point les féministes admettent, de fait, qu’il y a des différences de comportement entre les femmes et les hommes. Elles n’y voient qu’un facteur culturel et non biologique. La violence n’a ni race ni culture. Et c’est vrai. On ne peut faire porter cette charge aux seuls migrants, et de loin pas à tous. Quelques dizaines d’agresseurs ne sont pas un million de réfugiés.
« En effet, la rage a été si grande, elles ont créé l'#inteerkvinna hashtag (traduit comme #notyourwoman) où elles vomissaient leur haine sur le racisme, le fascisme, les hommes blancs et bien d'autres choses qui peuvent être vaguement reliés aux événements avec une certaine dissonance cognitive. »
Un autre point est que celles qui dénoncent sont presque toujours des féministes en place, faisant partie de la nomenklatura, mais pas des victimes lambda. On peut dire qu’elles parlent au nom des autres. En partie. Mais elles généralisent en désignant la violence faite aux femmes comme une pratique largement répandue et en se posant elles-mêmes comme de possibles victimes.
Le troisième point est que l’on admet, en sexuant la violence hommes femmes et en chargeant tous les hommes de celle-ci, que la différence biologique est décisive puisqu’elle donne aux hommes une force physique en moyenne plus grande que leurs compagnes. Cette force doit être évidemment éduquée et canalisée. Ce le fut par les guerres et l’homme a servi les femmes et l’humanité en utilisant sa force de manière protectrice.
L’égalité qui se veut totale ne peut l’être car nous avons des données de base, biologiques, différentes. L’égalité en droit est une chose, l’égalité totale et l’indifférenciation en sont des autres. Un des éléments qui conduit ces féministes à refuser toute aide: ce serait reconnaître que nous n’avons pas les mêmes données. Demander de l’aide aux homme signifie qu’elles ne peuvent se défendre elles-mêmes. Elles se retrouvent donc en situation qu’elles interprètent comme une dépendance et une subordination. Insupportable!
Donc, pour elles, il est préférable d’être violée éventuellement par un migrant que d’être secourue par un homme blanc.
Le racisme est bien quelque part. Non contre les immigrants mais contre l’homme blanc occidental. Elles ont choisi, par cette campagne, de rappeler aux hommes blancs qu’il y a aussi des violeurs et des agresseurs parmi eux. On le sait: moins de 0,01%. Les hommes savent qu’il y a des malades dans leur groupe. Ils ne les soutiennent pas dans leurs comportements inacceptables.
Mais ces féministes veulent aller plus loin: elles profitent des incidents de Cologne pour accuser encore les hommes blancs, comme pour les rendre solidaires des migrants et de leurs actes, par l’effet magique d’une supposée complicité de sexe.
Elles ne parlent qu’en leur nom, certes, mais semblent vouloir généraliser leur propos. La généralisation, la fabrication de stéréotypes, sont utilisés à tour de bras dans les arcanes féministes. Mais que se passera-t-il si, témoins d’agressions, les hommes ne réagissent plus? Les femmes on sait qu’elles réagissent rarement. Mais les hommes? Même s’ils ne sont pas tous des Rambo, faut-il, pour ne plus leur appartenir (ce quien soi mériterait un débat), les agresser si par hasard ils venaient à défendre les femmes?
Commentaires
"Et c’est vrai. On ne peut faire porter cette charge aux seuls migrants, "
la majorité des viols en Suède sont le fait d'immigrés !!!
"où elles vomissaient leur haine sur le racisme, "
pauvres filles, on sait ce qu'il en est de l'antiracisme une vaste fumisterie. dont le but est le contraire de ce pour quoi il dit agir.
HL, à publier leclerc en longueurs et sans filtre, ad nauseam jusqu'à outre-passer toutes lois,
vous venez de perdre avec ce dernier commentaire de Leclerc, votre droit de publier tout et n'importe qui / Mabut reste absent, comme d'hab
en ce qui concerne les citoyens suisses dont vous vous arrogez le droit d'ignorer l'existence - bien qu'ils vous permettent d'exister,
il ne nous reste qu'à faire appel face à vos non-respect de nos droits
pour vous éradiquer.
on peut rêver.
@ divergente
incompréhensible votre post, exprimez vous mieux ça sera plus clair.
Leclerc, vous devez préciser vos justifications sur ces billets: êtes-vous contribuable en Suisse?
Le féminisme intersectionnel face à ses pièges et contradictions . Parodie d'eux même...
Savoureux .
@ Divergente:
L'élément amené par Leclercq ci-dessus pose une affirmation. Je ne sais pas si c'est exact ni si l'on peut y imputer un élément de groupe. Mais si c'est exact il faut aussi considérer cet aspect de la réalité. Le comportement des hommes vis-à-vis des femmes, et des hommes par catégories, est aussi très analyser. Il est difficile de savoir quelle valeur accorder.
Pour ma part je pense que l'on peut tenir compte et du prisme du masculin-féminin, comme du prisme fort-faible ou ethnie-ethnie. Ou groupes-groupes: diverses statistiques fragmentent la population en groupes et les comparent sur de mêmes sujets. Dès qu'il y a un élément fort, ou plusieurs, partagés par des individus: langue, origine, culture, mais aussi passion commune, alors il y a un groupe. L'analyse des groupes n'échappe pas à cette fébrilité intellectuelle. La question pour moi n'est pas la réappropriation d'un discours, car l'important est de savoir s'il recouvre bien une part de réalité et se demander s'il est utile d'en faire usage. Ne rien écarter tant que la question reste largement ouverte, ne serait-ce que dans l'opinion. D'ailleurs cette saillie de ces féministes démontre qu'elles prennent appui précisément sur un concept de race et mieux: en prétendant le dénoncer au troisième degré, elles semblent admettre que c'est une possibilité, voire une probabilité, qu'elles succombent à l'impudeur d'un migrant.
Ça doit être ça le rêve féministe.
Je reformule la question finale de mon billet: quelle femme, vous, agresserait un homme qui vient la défendre d'être violée, sous prétexte qu'elle ne veut pas être subordonnée à cet homme?
http://www.dreuz.info/2015/02/22/suede-des-milliers-de-femmes-violees-a-cause-du-silence-des-hommes/
à fouiller
"où elles vomissaient leur haine sur le racisme, "
http://lesobservateurs.ch/2014/05/24/vallette-16/
La Suède est la capitale du viol en Europe, mais les journalistes suédois prétendent que la raison est due d’une part à notre législation et d’autre part au fait que davantage de femmes ont le courage de dénoncer ces viols à la police. Les autorités ne tiennent pas de statistiques sur l’origine ethnique des suspects afin que l’on ne sache pas qui en est responsable.
Les autorités font-elles de nombreuses concessions ?
De plus en plus. Il semble que les musulmans n’ont qu’à réclamer quelque chose pour l'obtenir. Tout le monde parle de l'affreuse islamophobie qui frappe toute la société suédoise. Et la grande nouveauté, c'est «l’Afrophobie». Et si les Africains sont musulmans, vous imaginez à quel point les phobies les frappent ! Le gouvernement donne beaucoup d'argent pour étudier ces terribles maux et il parle constamment d’un «racisme structurel» en Suède. L'Association des Afro-Suédois veut d’ailleurs que le gouvernement s’excuse du commerce des esclaves! Mais qu'est-ce que la Suède a à voir avec ça? Rien. Mais il ne faut pas parler de la traite négrière islamique ...
@leclerq
"Il semble que les musulmans n’ont qu’à réclamer quelque chose pour l'obtenir."
Cela semble en tout cas être souvent le cas et la suite de votre intervention décrit une situation totalement rocambolesque qui doit plaire à Madame Taubira.
La faute en est évidemment à la conception idiote de la lutte contre les divers "racismes", qui a eu pour effet d'instaurer une véritable omerta sur des problèmes de société qui méritaient, et même nécessitaient, un débat ouvert.
Nos idéologues extrémistes sont contents et nos sociétés se trouvent avec de plus en plus de gens exclus du débat qui se tournent par dégoût ou désespoir vers des partis dont ils n'approuveraient pas nécessairement toutes les positions, mais qui sont les seuls à oser prendre la parole.
A cela s'ajoute une abstention toujours plus répandue dans les pays qui ont encore un système de consultation démocratique, dont le nôtre.
Espérons qu'il ne s'agit pas d'une facette du fameux "fantasme du viol" que l'on connaît bien en psychologie. Qu'il surgisse chez des féministes extrémistes, ne serait pas étonnant, tant est commun le phénomène d'inversion en psychanalyse.
@ Mère-Grand
"A cela s'ajoute une abstention toujours plus répandue dans les pays qui ont encore un système de consultation démocratique, dont le nôtre."
tout à fait vrai
Natacha Polony traite ce sujet dans son dernier livre, "Nous sommes la France"
je l'ai commencé hier soir, super livre, j'arrivais pas à quitter ma lecture pour commencer ma nuit.
je recommande comme je recommande aussi le puzzle de l'intégration dont j'ai mis quelques pas dans l'avant dernier billet.
c'est la plus fine et complète analyse du sujet que j'ai vu j'usqu'a présent, Malika Sorel la Maghrébine est contre les statistiques ethniques alors que Michèle Tribalat est pour, l'argument de Malika c'est que on n'a pas besoin de statistiques pour ce qui est une évidence, c'est à dire les enfants d'immigrés sont la grande majorité des délinquants en France, c'est tellement évident qu’Eric Zemmour a été condamné pour avoir énoncé cette vérité. mais il est vrai que les lois de censure ont été créer pour que ceux qui sont détenteurs de la pensée unique puissent punir ceux qui osent ne pas penser comme eux.
http://www.opinion-internationale.com/2011/05/25/suede-une-%C2%AB-vente-d%E2%80%99esclaves-%C2%BB-lors-d%E2%80%99une-soiree-ouvre-un-debat-sur-le-racisme_1440.html
http://next.liberation.fr/arts/2012/04/19/la-ministre-suedoise-de-la-culture-s-excuse-pour-avoir-excise-un-gateau_812828
http://www.nouvelordremondial.cc/2014/08/02/le-mot-race-retire-du-vocabulaire-suedois/
les anti-racistes patentés sont aussi cons que chez nous, là je vois que l'analyse pointu de Malika Sorel s'applique aussi.
"Depuis tant d'annees que des crispations se font sentir,
les gouvernements successifs ont refusé de travailler à rassu-
rer les Français. On est au contraire parti du postulat que les
Français étaient potentiellement des racistes primaires , et
on a abondé dans la création d'une panoplie de mécanismes
et d'organismes pour leur faire la guerre. Les mots qui ont
été choisis ont leur importance. On parle de Haute Auto-
rité de lutte contre les discriminations. On planifie des
campagnes de communication pour sensibiliser et encou-
rager les potentielles victimes de discriminations à por-
ter plainte. Or, dans l'imaginaire collectif, qui dit lutte
dit ennemi ; qui dit victime dit « bourreau . Ainsi, on
stigmatise les Français en les érigeant ofliciellement au rang
d'ennemis ou de bourreaux. En procédant de la sorte, on
divise la France en deux, en plaçant deux communautés
face à face. Comment ose-t-on ensuite espérer que ces deux
communautés apprendront à cohabiter? "
l'état Suédois devrait s'appliquer à rassurer les Suédois au lieu de les traiter de racistes, ce que je pense ils ne ne sont pas mais à force de les contraindre ils vont finir par le devenir.
@leclercq
- « De plus en plus. Il semble que les musulmans n’ont qu’à réclamer quelque chose pour l'obtenir. »
Si c'est "de plus en plus", je suppose que vous ne devriez aucun mal à citer 3 de ces réclamations satisfaites sans réticence, réclamations qui, évidemment, ne sont pas motivées par une discrimination quelconque envers "les musulmans".
http://lesobservateurs.ch/2014/05/24/vallette-16/
"Oui, chaque jour de nouvelles demandes. Mais certains, par exemple des parents, commencent à réagir. Ils sont en colère parce que leurs enfants ne reçoivent que de la viande halal à l'école" Les écoles affirment que c'est normal : les musulmans ne peuvent pas ne pas manger halal, mais les autres ne sont pas obligés de se préoccuper de ce qu'ils mangent. !!!
ci-dessus ils réclament la démission de la ministre !!!
"Le gouvernement suédois, quant à lui, a condamné les incidents, tandis que l’université de Lund a décidé de mettre en place un cours spécifique pour la rentrée prochaine. Il s’agira de réapprendre aux étudiants les valeurs de leur université et à les inciter à ne pas prendre le racisme à la légère."
ci-dessus ils forcent l'université à rééduquer les étudiants.
donc oui j'affirme qu'il n'y avait aucune discrimination. d'ailleurs ces lois sur la discrimination, sont des lois de censure qui ne portent de lois que le nom, ces lois sont une régression intellectuelle des pays occidentaux. pas autre chose. un immigrants doit faire des efforts et se soumettre aux valeurs du pays qui l’accueil, l'assimilation ça fonctionne comme ça pas autrement le reste c'est de manipulation de l'imposture.
"On est au contraire parti du postulat que les Français étaient potentiellement des racistes primaires"
C'est une réflexion qui mériterait débat, d'autant plus qu'elle ne concerne pas que les Français. Elle me rappelle la réponse que m'a faite un professeur d'Histoire australien qui avait longtemps enseigné en Papouasie Nouvelle-Guinée. Il avait passé son enfance dans le bush australien, fils de fermier qui allait encore à l'école à cheval.
Lorsque je lui ai demandé si les Australiens étaient racistes (je me posais à l'époque la question si c'était une bonne idée d'essayer d'immigrer dans ce pays avec ma femme sud-américaine noire), il me répondit: "avec les gens qu'ils ne connaissent pas, probablement". Cette réponse mettait en lumière, bien plus qu'un quelconque "racisme", le réflexe de méfiance (on pourrait aussi dire d'auto-défense) de toute communauté confrontée à ce qui est très différent et potentiellement dangereux.
Cela montre aussi que c'est à cet étranger (souvent "étrange") que revient la première tâche de ne pas faire intrusion avec une quelconque forme de menace contre les valeurs, les moeurs et les coutumes de ceux qui sont déjà installés. Cela bien avant d'exiger quoi que ce soit, sinon le droit de survivre dans un premier temps, de se faire connaître et éventuellement accepter dans un deuxième.
Le problème est que nous sommes entrés dans une ère où nous avons le devoir d'accepter sans rien exiger, alors qu'en même temps on nous interdit moralement (et avec l'aide de certaines lois) de demander la réciproque aux autres. L'exemple quasi caricatural est celui du Vatican qui fait voiler les statues féminines dénudées lors de la visite du Président de l'Iran, statues qui font partie du patrimoine culturel centenaire de l'Italie, alors qu'aucun dirigeant Occidental n'oserait avoir une quelconque exigence face à ce qui pourrait le choquer lors d'une visite dans ce pays.
J'ajoute à ce que je viens d'écrire, que la plupart des gens et des "peuples" sont tout à fait inconscients du phénomène que je viens de décrire, habitués qu'ils sont a se voir comme le centre du monde, ce qui est évidemment vrai pour leur propre conscience, et détenteurs de la "véritable" culture, celle qui est plus juste et plus vraie du point de vue de leurs croyances.
Une personne ou une communauté ne peut mettre en doute, ou du moins nuancer, ces certitudes qu'à la suite d'une éducation qui comprend l'apprentissage de l'esprit critique et, mieux encore, l'étude de disciplines telles que la géographie, l'histoire, la philosophie et l'anthropologie pour ne citer qu'elles.
Il faut relever que cette mise en question peut non seulement être mal perçue par les autorités et le reste de la communauté, mais dangereuse pour la paix de l'esprit de celui qui s'y livre.
@hommelibre,
J'aimerais essayer de répondre à cela :
"Je reformule la question finale de mon billet: quelle femme, vous, agresserait un homme qui vient la défendre d'être violée, sous prétexte qu'elle ne veut pas être subordonnée à cet homme?"
Après avoir lu votre billet et l'article en anglais donné en lien, j'ai essayé très fort de penser comme ces femmes. C'est un exercice de changement de perspective, une sorte de gymnastique cérébrale ou émotionnelle. Eh bien, je n'arrive absolument pas à effectuer la contorsion exigée.
Je me dis que cette posture "Fifi Brindacier jusqu'au bout" n'est possible que si on est en guerre contre les hommes. Les hommes blancs, parce qu'ils seraient donc les ennemis héréditaires.
Une situation intéressante serait : que faire si un immigré intervient pour sauver une femme violée par un autre immigré ?
Au fond, ces femmes doivent être soit totalement sous l'emprise du désir de viol par un pirate exotique, soit sûres de leur maîtrise des prises d'arts martiaux, soit tellement infantiles qu'elles n'ont pas compris que Fifi B. est un personnage de fiction, soit totalement persuadées qu'elles ne seront jamais objet de viol.
Il se pourrait aussi, que tout ça soit un gag, mais j'en doute quand-même !
Préférer être violée, plutôt que sauvée par un homme blanc ? C'est vraiment pousser le féminisme à un niveau encore jamais atteint.
où elle sont de ferventes militantes antiracistes, elles défendent les immigrés contre les hommes blancs racistes à l'insu de leur plein gré, mais où ça cloche c'est que les immigrés quelles défendent peuvent les agresser sexuellement, alors quelles les défendent et elles ne peuvent pas se faire aider par les hommes blancs supposés racistes parce que c'est contre eux quelles luttent pour défendre ceux qui les agressent.
@leclercq
- « http://lesobservateurs.ch/2014/05/24/vallette-16/ »
« ... la viande halal à l'école ... »
« ... donc oui j'affirme qu'il n'y avait aucune discrimination. »
Vous colportez Monsieur leclercq. Rien dans l'article de la célèbre Mireille Vallette ne précise, ni les faits, ni les circonstances.
Comment pouvez vous "affirmer" *** savoir *** "qu'il n'y avait aucune discrimination" ?
– Note de service de l’éducation nationale n°82-598 du 21 décembre 1982 (B.O n°1 du 6 janvier 1983) qui prévoit la prise en compte des « habitudes et les coutumes alimentaires familiales pour les enfants d’origine étrangère ».
– Article 19 du contrat modèle pour l’affermage du service de restauration scolaire, publié comme l’annexe à la circulaire de l’éducation nationale du 13 avril 1988 (JO du 15 mars 1988), dispose que « le règlement de service comprend notamment ... les possibilités d’adaptation des menus ( en raison de prescriptions médicales ou de pratiques religieuses )
– Circulaire n°2001-118 de l’éducation nationale du 25 juin 2001, qui précise : « L’éducation nutritionnelle à l’école doit être reliée à la vie sociale et tenir compte des différentes cultures ».
- « ... par exemple des parents ... sont en colère parce que leurs enfants ne reçoivent que de la viande halal à l'école... »
Et c'est bien sûr ... "les musulmans" ... qui ont décidé eux-mêmes que *** tous les enfants *** vont manger "que de la viande halal à l'école", "les musulmans" qui égorgent les poulets vivants à l'école, et toujours "les musulmans", ou leurs esclaves, qui font le service aux enfants de ces parents tellement indéfinis ?
- « ... l’université de Lund a décidé de mettre en place un cours spécifique pour la rentrée prochaine. Il s’agira de réapprendre aux étudiants les valeurs de leur université et à les inciter à ne pas prendre le racisme à la légère. »
« ... ci-dessus ils forcent l'université à rééduquer les étudiants. »
« ... donc oui j'affirme qu'il n'y avait aucune discrimination. »
De toute évidence vous n'avez pas compris que "les musulmans" ne sont pas nécessaires pour faire des suédois racistes.
Ou du coup, c'est aussi "les musulmans" qui "forcent" hommelibre à publier vos coupé-collés de colleur d'affiches électorales.
Vous prétendez vouloir, je vous cite ... "accroitre leur culture", en "forçant" les lecteurs, *** donc TOUS les lecteurs de ce billet ***, à "recevoir", *** sans leur laisser le choix ***, des kilomètres de coupé-collés venus d'ailleurs, parce que VOUS les considérez "halal", c'est-à-dire ... à la mode de chez vous.
Expliquez moi, s'il vous plaît, en quoi vous vous considérez différent ... des écoles que vous _oubliez_ de dénoncer, parce qu'elles servent à TOUS les enfants "que du halal" ?
@ Chuck Jones
ce qui est important Chuck que apparemment vous avez du mal à comprendre, c'est que l'intégration se fait que quand les immigrés font des efforts ne sont pas victimisés, que la population qui les accueille n'est pas traitée de Raciste à tort et a travers.
"à "recevoir", *** sans leur laisser le choix ***, des kilomètres de coupé-collés venus d'ailleurs"
venus du livre "le puzzle de l'intégration" de malika Sorel une maghrébine lucide et honnête.
quand vous aurez acquis sa lucidité vous aurez fait un grand pas.
waouaw ! incroyable jusqu'où peut aller la haine de soi... ou plutôt la haine de "l'autre" proche (par exemple, l'homme blanc quand on est une femme blanche), symétrique de la sympathie de principe qu'on éprouve pour "l'autre lointain" (l'Immigré, le clandestin...). Il y a beaucoup de névroses médiocres dans tout cela, mêlé à un vague idéalisme mollasson...
@leclercq
- « "...des kilomètres de coupé-collés venus d'ailleurs" »
« venus du livre "le puzzle de l'intégration" de malika Sorel une maghrébine lucide et honnête. »
Toujours la "faute des autres", hein Monsieur leclercq ?
@ Chuck Jones
Toujours la "faute des autres", hein Monsieur leclercq ? !!!!