Les images de vidéosurveillance diffusées il y a quelques jours sont terribles. Cette dame qui rentre chez elle reçoit un coup violent sur la nuque. Elle chute en avant.
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Les images de vidéosurveillance diffusées il y a quelques jours sont terribles. Cette dame qui rentre chez elle reçoit un coup violent sur la nuque. Elle chute en avant.
Il n’y a pas que Luane. D’autres adolescents garçons ou filles, sont agressés dans la rue ou à l’école en France. Si Luane a bénéficié d’une émotion collective très médiatisée, avec un long passage de 13 minutes à l’antenne de C8, les autres se contentent de quelques articles ou de vidéos sur le net. Alors parlons d’eux.
Épisode violent au bord du lac dans la nuit de vendredi à samedi. On ne connaît pas les motivations des agresseurs. Ils sont dans la nature. On pense un peu au film Orange Mécanique. La Tribune de Genève a relaté les faits dans son édition de lundi.
Je connaissais l’histoire de l’homme invisible. Je découvre peu à peu celle de la femme invisible. Même la TdG s’y met: dans un édito du 10 novembre le journaliste culinaire Jérôme Estèbe se demandait Où sont les femmes.
Marie Laguerre a un patronyme prédestiné. Elle a été frappée à la tête en pleine rue le 24 juillet, par un inconnu qui l’avait injuriée gratuitement. Elle a fait de cet incident une cause politique et est partie en guerre sur les réseaux.
Si l’agression en vieille ville de Genève est choquante et insupportable, la suite qui lui est faite crée un malaise. Avant même de connaître les détails de cette bagarre, où cinq femmes ont été blessées (dont une une dans le coma), le discours victimaire est mis en avant.
Le déshabillement féminin sur scène est aujourd’hui banalisé. Les princesses du divertissement rivalisent d’imagination dans une sorte de « croisade » commerciale sexuée. Cela fait réagir l’universitaire Germaine Greer, qui publie prochainement un livre sur le viol dont le propos fait déjà polémique.
Ça balance pas mal, à Paris (Texas, USA). Cette fois c’est la chanteuse Katy Perry qui se fait reprendre. Après Weinstein et d’autres, elle voudrait montrer que la sexualité doit être festive et que dans une fête il y a des surprises. Vaya con Dios, Benjamin, te voici (presque) déniaisé!
Caroline de Haas fait marche arrière. La co-fondatrice d’Osez le féminisme revient sur sa déclaration incendiaire, celle qui a déclenché de grosses turbulences. Ses outrances sont certes connues. Mais jusque là personne n’osait Caroline, je veux dire: n’osait la contrer ouvertement.
Le 21e siècle va tourner au vinaigre. La destruction de l’État de droit est en cours. Partisans de la charia, féministes radicales, minorités racisées, réseaux sociaux: le camp dit progressiste se déchaîne contre le fondement de la démocratie. La guerre politique et culturelle pourrait emporter même les modérés.
Dimanche des manifestations se sont déroulées dans une dizaine de villes en France. Annoncées à grand bruit comme une réponse à l’affaire Weinstein et comme une « libération » de la parole, elles ont été très peu suivies.
Ce n’arrive pas souvent. La présidente du tribunal de Rouen a lâché une phrase réaliste en plein procès. Un constat du réel. Jugeant en comparution immédiate une agression au couteau dans un couple, elle s’étonne du statut dont a bénéficié la prévenue.
Les miroirs se brisent. Le camp démocrate est aux abois. Les violences physiques contre des supporters de Trump s’exposent sur youtube, alors que la Fondation Clinton navigue en eaux troubles.
L’affaire Baupin continue de faire des vagues. Ce député Vert accusé d’agressions sexuelles subit une avalanche d’accusations. La France vit-elle à l’heure de la terreur du sexe? La surenchère des mots bat son plein, comme on va le voir.
En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Avant-hier la chaîne France Ô organisait un débat sur le féminisme à l’université Paris-8. Un incident est rapporté par le journal Le Parisien du 10 novembre. Un incident parfaitement détestable. À quoi il doit être permis de répondre par des contre-mesures.
Je poste ici cette affiche éditée par le gouvernement français sous la tutelle de Nadine Morano. Elle devrait figurer dans toutes les écoles comme exemple d’une posture des plus honteuses du gouvernement français en matière d’égalité des sexes.
Encore un sujet délicat et propice à la controverse. C’est la caméra cachée qui fait s’indigner les internautes depuis 3 jours. Elle est réalisée par un centre de désintoxication. Le but est de montrer les risques de l’alcoolisation dans la rue et le harcèlement qui s’en suit.
Il n’y a pas grand chose à faire à Elbœuf. C’est une commune de Haute-Normandie située au bord de la Seine, au sud de Rouen. Une elbeuvienne de 17 ans a choisi une manière originale de tuer le temps. Elle est partie en voiture avec deux connaissances masculines. Dans la forêt d’Orival toute proche, ils ont fait l’amour à trois.
Un petit canard dans le café pour terminer (temporairement) cette mini-série. Retour d’abord sur la phrase lue dans le site de Hollaback. Elle est destinée aux passants: «La nuit, n’adressez pas la parole à une femme seule. Changez de trottoir ou éloignez-vous d’elle. Dans un endroit clos (parking, etc) ne vous attardez pas.»