“Si vous voyez un homme assis sur des braises ardentes se trémousser de douleur sans pouvoir se lever, c’est qu’une force plus puissante que la sienne le maintient dans cette position.”
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Afrique, Afrique
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Ma revue de presse: Congo la honte, Obama, Piccard
L’Afrique, cette terre si belle, si attachante, n’en a pas fini avec l’horreur. La reprise de la guerre dans l’est du pays ravive des plaies non refermées et renoue avec les horreurs si banales que l’on connaît trop, au point d’y devenir presque insensible. Pourtant, il faut redire cette horreur, dénoncer encore, ne pas oublier nos frères africains.
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Revue de presse: traite des femmes, père sans l’être, le bio au Mali
Aspects de la société contemporaine. Avec son lot de drames et de souffrances, et aussi un peu de soleil et de bonnes nouvelles. Lu dans Aujourd’hui en France.
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Revue de presse Afrique: l'excision
Quelques nouvelles d’Afrique en ce dimanche. L'excision est toujours pratiquée malgré les campagnes nationales et internationales. Certains leaders s'y opposent courageusement. Mais il y a encore du chemin à faire. Voici quelques infos recueillies ce jour.
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Et si la repentance nord-sud était une bonne idée?
Le thème de la repentance fleurit sur les blogs ces jours. Et le point de départ en est Jean Ziegler. Le problème est que le personnage est si partial, si ouvertement anti-blanc occidental, que même une bonne idée venant de lui ne trouve que la violence comme écho. Désigner l’occident blanc comme l’ennemi universel affaiblit son propos, car demander à cet occident d’assumer seul les malheurs d’une partie du monde est exiger une crucifixion expiatoire inappropriée. Les actionnaires des multinationales occidentales ne sont pas tous blancs: nombre de pays producteurs de pétrole ont investi en occident. Il y a un recensement des actionnaires à faire en toute transparence avant d’accuser uniformément l’occident blanc.
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Fier d’être Suisse, européen, humain
Les anathèmes contre la Suisse, l’Europe et l’occident ne mangent pas de pain. C’est même de bon ton parfois de se détester ouvertement. Je ne partage pas cette façon de voir, ni cette prise de responsabilité collective pathologique qui veut culpabiliser tout le monde à cause de quelques uns.