La bonne conscience politique.
La gauche française montre une tenace volonté d’être la bonne conscience du pays. Elle se place dans un angle qui ne devrait même pas susciter le débat. Elle se comporte en norme morale.
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La bonne conscience politique.
La gauche française montre une tenace volonté d’être la bonne conscience du pays. Elle se place dans un angle qui ne devrait même pas susciter le débat. Elle se comporte en norme morale.
Le débat sur le créationnisme, repris ces jours sur les blogs, pose la question de la relation entre la science et la foi religieuse. Les créationnistes prennent les livres fondateurs au pied de la lettre: l’univers a été créé, Homme compris, il y a environ 6’000 ans. Les tenants du dessein intelligent admettent eux l’évolution mais en lui donnant la marque d’une intention divine prédéterminée.
Le cancer reste une maladie emblématique. Par sa puissance, par le risque qu’elle fait encourir, par sa nature sourde et inexorable, par le bousculement de vie qu’elle implique. Quand ce n’est pas la mort, c’est quand-même la mort de quelque chose.
Pendant longtemps les sociétés humaines construisaient leur identité sur le passé: culte des ancêtres, répétition de ce qui avait déjà été fait, pas exemple en agriculture ou en habitat. Le passé était nos racines, notre ancrage, notre garde-fou, le socle de notre identité.