Selon Le Temps la montagne mythique serait devenue un terrain miné, bientôt bonne pour l’aspirateur. C’est pas du belge: l’icône valaisanne s’effrite. Regard sur la manière de communiquer autour du climat.
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Selon Le Temps la montagne mythique serait devenue un terrain miné, bientôt bonne pour l’aspirateur. C’est pas du belge: l’icône valaisanne s’effrite. Regard sur la manière de communiquer autour du climat.
Le ciel est comme un terrain de jeu pour les uns. Facétieux et audacieux, ils s’élancent, qui à l’horizontale comme Bertrand Piccard, qui à la verticale comme Luke Aikins. Pour les autres c’est un écran de pub.
Le spectacle n’est pas fréquent et ceux qui l’ont vu en ont eu plein les yeux: la chute d’un débris de fusée en début de soirée samedi au-dessus d’une partie de l’Europe. Les deux points brillants suivis d’une belle traînée ont d’abord suscité des interrogations.
A part une averse au petit-déjeuner, il a fait doux hier à Okotoks. 25° l’après-midi. C’est que malgré ses 1055 m d’altitude, la ville est assez au sud. 50° de latitude. La hauteur de Bruxelles. Plus haut, tout près, en ligne droite: Calgary. A 670 km à l’ouest, Vancouver. Des courants humides et tempérés en viennent. Ils passent les premières Rocheuses et versent leur eau dans la Turner Valley ou la Sheep River, qui traverse Okotoks, prend sa source. On est en Alberta, dans l’ouest du Canada.
Le ciel pourrait bien nous tomber sur la tête avant samedi. C’est le druide Nasax qui le dit. Nasax a toujours les naseaux en l’air. Il scrute (abaga), inspecte (oraux), examine, épie. Le ciel n’a pour lui que des secrets d’alcôve. Nasax sait, connaît, et envoie même en l’air des Hubble magiques.
Les nouvelles se succèdent à un rythme accéléré depuis hier soir. Une sorte d’euphorie gagne les agences de presse, comme, on ose commencer à le croire elle gagne la population Libyenne et en particulier les habitants de Tripoli.