Deux ou trois choses de Koh-Lanta.
En général je regarde quelques minutes puis je zappe vers autre chose. Pourtant mardi dernier j’ai regardé plus longuement l’émission phare de TF1. J’y ai constaté trois choses intéressantes.
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Deux ou trois choses de Koh-Lanta.
En général je regarde quelques minutes puis je zappe vers autre chose. Pourtant mardi dernier j’ai regardé plus longuement l’émission phare de TF1. J’y ai constaté trois choses intéressantes.
Quelques commentaires extérieurs sur les amusantes différences femmes-hommes dans Koh Lanta. Ils sont tirés de l’excellent magazine Causeur sous la plume de Nicolas Lévine. Pour le journaliste, ça chiale un max sur les camps.
Si j’en avais les capacités je ne ferais pas ce Koh-Lanta. Si l’émission est parfois intéressante une chose majeure me rebute: être jugé par les autres, et éventuellement éliminé par leur décision.
Le décès d’un participant sur le site de Koh Lanta avait ému le paysage médiatique au début du printemps. TF1 avait immédiatement annulé le tournage et la diffusion de la saison 2013.
Si, si, on a le droit de rêver. Ce n’est encore ni taxé, ni interdit, ni soumis à autorisation. Donc, rêvons, rêvons. Par exemple rêvons qu’une vingtaine de personnes se retrouvent dans un paysage sauvage en Afrique ou en Asie, à mille lieues de leur pays, et soient livrés à eux-mêmes. Ce groupe dispose d’un temps fixé à l’avance pour rallier le point final de l’aventure.
Chacun fait ce qu’il veut de sa vie. Y compris le clown dans des émissions télé. Après tout d’autres font les clown dans des cirques. Pourquoi pas sur le petit écran? Il n’y a pas à chercher dans la téléréalité ce pour quoi elle n’est pas faite.