Gagner Wimbledon, c’était un rêve. Le rêve de sa mère, dit-elle. Il a dû devenir sien pour qu’elle montre autant d’engagement, de rage, de précision et de ténacité.
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Gagner Wimbledon, c’était un rêve. Le rêve de sa mère, dit-elle. Il a dû devenir sien pour qu’elle montre autant d’engagement, de rage, de précision et de ténacité.
Il y a quelques semaines Serena Williams affirmait que les hommes étaient beaucoup moins sanctionnés que les femmes sur les courts de tennis. Elle se plaignait d’être victime de sexisme.
C’est fou comme certaines femmes connues, qui ont les meilleurs statuts sociaux et économiques, se jouent victimes. Prenons le cas de Serena William. Grande joueuse la Serena, encore si forte du haut de ses 36 ans.
Finale de Roland-Garros féminin aujourd’hui. Deux grands fauves, deux lionnes, deux dames, deux talents forts s’affrontent: Maria Sharapova et Serena Williams. La comparaison avec des fauves n’est pas de moi. «La Tribune de Genève» de vendredi parlait des «deux grandes lionnes du tennis féminin».
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