Il n’a pas fait 52° à New Delhi.
Le gouvernement l’avait d’abord annoncé. Il est ensuite revenu en arrière et parle d’une possible erreur de capteur, tant ce chiffres est éloigné de ceux des autres capteurs régionaux.
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Il n’a pas fait 52° à New Delhi.
Le gouvernement l’avait d’abord annoncé. Il est ensuite revenu en arrière et parle d’une possible erreur de capteur, tant ce chiffres est éloigné de ceux des autres capteurs régionaux.
Il nous fait suer, le ciel. Cette masse d’air chaud du Sahara, avec du sable visible dans les rayons du soleil, c’est pas un peu fort pour la période? Historiquement oui, météorologiquement non.
Réchauffement aidant, la canicule est devenue un marronnier (un objet rédactionnel obsessionnel et répétitif) pour les médias. Chaque été on remet le couvert dans l’espoir d’anticiper sur de nouveaux épisodes extrêmes. La peur, ça se cultive.
Qu’est-ce qui a changé de manière visible et/ou sensible dans les régions d’Europe de l’ouest? J’insiste sur le visible et/ou sensible, ce qui parle aux gens. (Clic sur les images pour les agrandir).
La deuxième vague de chaleur fut intense et brève. Mais techniquement toujours sans canicule à Genève. Aucun minimum nocturne n’a en effet égalé ou dépassé les 20° C. Du moins à la station de Cointrin. Pour les relevés par journée le 25 juillet 1921 garde le record de chaleur.
La chaleur est pourtant accablante et les températures diurnes dépassent 30° depuis 5 jours. Mais il manque un critère: des températures nocturnes au-dessus de 20°. Le tout pendant au moins trois jours consécutifs. À Genève nous n’y sommes pas.
Vue d’en haut cette vague semble relativement limitée en taille. Il s’agit plutôt d’une sorte de bulle, ou d’un cône inversé qui s’étend vers le nord. Cette bulle est limitée assez précisément à l’Espagne et à la presque totalité de la France.