Il nous fait suer, le ciel. Cette masse d’air chaud du Sahara, avec du sable visible dans les rayons du soleil, c’est pas un peu fort pour la période? Historiquement oui, météorologiquement non.
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Il nous fait suer, le ciel. Cette masse d’air chaud du Sahara, avec du sable visible dans les rayons du soleil, c’est pas un peu fort pour la période? Historiquement oui, météorologiquement non.
C’est un jour d’été. Un jour de juin fleurant bon les herbes folles et les fleurs généreuses. Deux hommes, employés de commune, fauchent un pré près d’une route. Le soleil flambe et la sueur perle. Ils vont de ce mouvement ample et régulier; une trace les suit au milieu des gerbes de tiges.
On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans. Après non plus. Pourquoi le serait-on? Ah oui: il faut prendre sa vie par les épaules, la regarder en face et lui dire «Maintenant c’est moi qui décide». Et sa vie elle doit l’entendre. Elle doit s’incliner en même temps qu’elle se redresse.
Ça y est! Ce sacré soleil est presque au plus haut. Si l’on reporte sa course sur un graphique il arrive au sommet de sa montagne russe (non, pas Sharapova...).
Juin: un mois où les promesses s'accomplissent.
De tous les mariages, les plus beaux sont de juin. Ce n’est pas vrai bien sûr, tous les mariages sont beaux. Mais ceux de juin ont ce parfum particulier de la terre qui se donne au-delà de l’attente, du soleil qui ne s’épuise jamais, des foins et des fêtes, et des longues journées presque sans nuit.