J’ai abordé ce thème de la domination masculine de manière complémentaire à mon livre. Toutefois le sujet est loin d’être épuisé et des questions restent. La première: pourquoi critiquer le féminisme radical, ou extrémiste? Parce que ses thèses ont contaminé les universités, les tribunaux, les médias, et instauré le grand stéréotype de l’homme violent, dominateur et esclavagiste. Parce que la culpabilisation des hommes dans leur ensemble a assez duré et produit des dégâts. Parce que l’image victimaire de la femme véhiculée par ce courant est particulièrement dénigrante pour nos compagnes.
Le dénigrement
On pourrait se dire que la Féminista ne concerne que peu de monde. En apparence car ses théories gagnent du terrain dans la société et posent les bases d’une relation homme-femme de type discriminant et paranoïaque où la femme serait mangée toute crue par l'homme-prédateur.
Il est aujourd’hui nécessaire de questionner et critiquer les théories issues de la Féminista: le gender, la domination masculine, la violence conjugale univoque, en particulier. Les hommes ne sont pas ces dominants esclavagistes qu’elles décrivent. Il est possible qu’il y ait davantage d’hommes dominants que de femmes - quoique cela devrait être vérifié. Si la domination - en terme de goût de l’audace et de l’initiative, de facilité à la lutte et au commandement - est réellement plus masculine que féminine, il faudrait en conclure deux choses. L’une est que les genres ne sont pas une simple construction sociale arbitraire mais sont possiblement fondés aussi sur la biologie. Dans ce cas les hommes sont comme ils sont, il n’y a pas à leur reprocher ce qu’ils sont. A l’heure actuelle rien ne permet d’évacuer totalement la biologie dans la constitution des genres, qui sont d’ailleurs un prolongement des sexes.
La deuxième est que rien ne prouve que cette domination, plus proche de celle du chef de meute que de celle du tyran esclavagiste, ait été orientée délibérément et collectivement pour contraindre et asservir les femmes. Je rappelle que les femmes ont eu un rôle dans les sociétés, que les statuts ont été variables selon les régions et les époques, que chaque sexe avait son domaine de pouvoir, et que les hommes dans leur majorité ont payé le prix de la vie familiale et de la défense du territoire et du clan. La domination "dure" est une affaire de classes sociales bien plus que de genre, et les femmes de pouvoir ne sont pas plus tendres que les hommes de pouvoir. Le dénigrement généralisé des hommes en bourreaux et des femmes en victimes est de l’ordre du stéréotype, non de la réalité.
Les différences: une détermination pré-culturelle?
Une étude parue dans Cerveau & Psycho montre que les différences sexuées ne seraient pas le seul fait de l’éducation:
«Dans les kibboutz d'Israël, à partir des années 1950, on chercha à instaurer une égalité absolue entre les sexes et à libérer les femmes du poids de l'éducation des enfants. L'ensemble des activités étaient ouvertes aux deux sexes et les femmes adoptaient un aspect extérieur similaire à celui des hommes. Le maquillage et les vêtements féminins furent proscrits. Les enfants vivaient, non dans des familles traditionnelles, mais dans des maisons gérées par un personnel spécialisé. Cette éducation, sans distinction de sexe, était censée éviter l'apparition de comportements de filles et de garçons.
L'anthropologue américain Melford Spiro étudia les effets de ces innovations, au cours des années 1956 à 1958. Malgré les consignes du personnel, garçons et filles s'orientèrent vers les comportements sexués : notamment, les garçons se mirent à jouer avec des petites voitures et les filles avec des poupées. M. Spiro reprit son étude 20 ans plus tard pour voir ce qu'étaient devenus les anciens enfants du kibboutz. Il constata que les filles, loin de s'être émancipées et de choisir les mêmes professions, valeurs et objectifs que les hommes, étaient revenues à la répartition traditionnelle des rôles entre les femmes et les hommes.»
Dans ce cas le paradigme de Simone de Beauvoir: «On ne naît pas femme on le devient» est inexact. Il faut chercher aujourd’hui un nouveau paradigme plus global: «On naît et devient femme, on naît et devient homme». Cette thèse devrait conduire à un regard différent sur les hommes et les femmes, incluant leur complexité, et diminuant la tension actuelle de guerre des sexes alimentée par la Féminista.
Si les hommes sont plus agressifs sans que cela soit dû à l’éducation, les culpabiliser ne sert qu’à les détruire. Il faut au contraire les accepter et les éduquer de manière à ce qu’ils apprennent à faire bon usage de leurs qualités propres. Le système d’organisation de la société n’a pas servi une domination esclavagiste globale, massive, systématique des femmes par les hommes. Il y a des hommes violents, abusifs, dont le goût de la domination a pour effet une négation de la femme dans le couple ou dans la société. C’est une infime minorité, comme les femmes violentes et dominatrices sont une minorité. Cette minorité ne peut être généralisée à l’ensemble. La violence de certains hommes n’engage pas les autres. La phrase: «Si ce n’est toi c’est donc ton frère» ne se vérifie pas.
Back to basic
Je termine cette série en retournant aux fondamentaux et en exprimant quelques affirmations en-deçà des théories. Car si l’on peut analyser théoriquement la Féminista de manière générale, on peut aussi se positionner individuellement. Ce fut mon point de départ quand j’ai ouvert les yeux sur le féminisme radical, après avoir soutenu longtemps le féminisme réformiste.
Aujourd’hui je dis que le stéréotype homme-violent-bourreau-dominant n’est pas juste. Je dis que les hommes dans leur majorité ne sont pas ces esclavagistes décrits dans la théologie actuelle. Je ne me reconnais pas dans le stéréotype, je n'y reconnais pas les hommes de ma famille, les amis, et même sur plusieurs générations en arrière je ne reconnais pas les hommes tels que décrits dans la théorie. Je constate qu’il y a des dominants abusifs, des violents, des excluants, mais qu’ils ne représentent qu’une minorité d’hommes, et pas un système.
Je constate aussi que la domination et la violence ne sont pas l’apanage d’un seul sexe.
Je dis que l'on naît et devient homme, que l'on naît et devient femme. C’est la thèse centrale que je développe dans mon livre. C’est sur ce paradigme que je propose la nouvelle réflexion sociétale.
Je ne reconnais pas la théorie gender. Je ne vois aucune preuve que la nature n’ait pas influencé la culture. Je ne veux pas l’indifférenciation. L’égalité n’existe que parce qu’il y a la différence. Je valorise l'égalité dans la différence.
Je dis que le système de différenciation, répartition et spécialisation des rôles qui a prévalu dans le passé a été utile au développement des sociétés. Je ne vois pas dans les femmes de ma famille ou d’autres familles que je connais les pauvres victimes de ce système, incapables de dire non, silencieuses et soumises, décrites par la Féminista. Elles sont et ont été bien plus fortes que l'image dénigrante donnée par la stratégie victimaire.
Je dis que l'on ne peut lire le passé avec les critères actuels et faire une interprétation a postériori de l'Histoire.
Je refuse le communautarisme de genre et la volonté de certaines de formater les hommes.
Je dis que la théorie de la domination masculine est une arme contre les hommes et non une analyse objective et bienveillante de la société, et je la réfute.
Le sujet n’est pas épuisé. Il y aura d’autres occasions d’y revenir. J’espère contribuer dans la mesure de mes moyens, de manière parfois polémique et parfois plus sereine, à une réflexion de société globale, incluant non seulement l’organisation des relations femmes-hommes mais aussi la manière dont nous nous pensons.
Rappel des billets précédents:
1ère partie, «Si ce n’est toi c’est donc ton frère»
2ème partie, «Le syndrome du couple Cohen»
3ème partie, «Le bovarisme de la femme bourgeoise»
4ème partie, «La femme doit être soumise à son mari»
5ème partie, «Il faut choisir»
Commentaires
Tout ça se défend, mais ne le dites pas trop fort vous allez encore vous attirer des ennuis!
" L' égalité n' existe que parce qu' il y a la différence ".
Je trouve que cette phrase rejoint l' idée de la complémentarité et que ça se vaut même dans toutes relations. Et que si on la rejette on est en tort d' abord avec nous-même à ne vouloir que des points communs pour fuir l' inconnu et développer son individualité-même dans un clan qui produira par la suite une sorte de résistance de type allergique à tout corps étrangé qui serait nocif à la privation du nouveau.
La différence est l' équilibre entre soi et l' autre, ce qui nous permet de mieux nous connaître malgré le miroir qui nous voile de tout nous permettre. Sans différence pas d' autre miroir qui ne reflète pas
l' exactitude du notre. Alors se retrouver devant le miroir d' autrui signifie le challenge de nous confronter au notre en les associant au grandir d' assumer les choix de nos goûts par l' association du commun avec des éléments qui s' y collent d' une façon tout-à-fait naturelle de les obtenir. Ainsi, on n' accumule pas mais on fond avec l' autre malgré notre nature. Et l' échange se produit avant même de nous en apercevoir. C' est la liberté de muter en restant fidèle à soi.
Vous inquiétez pas, hommelibre, si c' est flou.
Je me suis un peu perdue dans mes pensées alors j' y reviendrai peut-être plus tard. Je me suis plongée dans l' universalité:)
Bonne journée.
homme libre,
Je ne me lasserais jamais de lire vos billets.
Par contre concernant une partie de votre billet "Une étude parue dans Cerveau & Psycho montre que les différences sexuées ne seraient pas le seul fait de l’éducation:" pour être à jour il y a ce magazine qui en outre décrit les études scientifiques sur les hommes-femmes. Notamment au niveau du cerveau, endroit tellement complexe à analyser que l'on ne peut déterminer à partir d'études y étant faites une éventuelle asymétrie comme l'a allégrement étudié Catherine Vidal.
http://www.scienceshumaines.com/les-identites-sexuelles_fr_451.htm
Pour conclure, le cerveau est un organe si complexe, que l'on ne peut y tirer de conclusion hâtive. Surtout que la science ne peut pas tirer de conclusion sur n'importe quoi.
Pourquoi les femmes ne se dirigent pas dans des métiers techniques, alors même qu'elles y sont encouragées par la société ?
Certaines répondront que c'est le méchant proviseur ou la méchante conseillère d'orientation qui leur disent "Toi t'es une fille, tu n'iras pas en école d'ingénieur, tu ne seras pas prof de maths ..."
Cependant j'aimerais en avoir le coeur net, est-ce le cas ou bien est-ce une paranoiâ féministe dont l'étrangeté m'échappe quelque peu à accuser tout le monde pour n'importe quoi ?
Je vous donne une source intéressante, sans vouloir vous commander homme libre, si vous pouviez en faire un billet histoire d'éclairer nos lanternes
http://blog.mysciencework.com/2012/03/08/femmes-scientifiques-en-france-chiffres-et-etat-des-lieux.html
@ Kasilar
c'est assez à connotation féministe ton lien.
"Favoriser l’intérêt des femmes pour les métiers scientifiques est un moteur de productivité et d’innovation dans les pays du sud comme dans les pays industrialisés."
ça c'est elle qui l'affirme on peut aussi penser que c'est de l'ingénierie coercitive.
http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr
"Elle déclare : « Se lancer dans un processus coercitif d'ingénierie sociale afin d'équilibrer la représentation distinctive des sexes pourrait bien être la pire des discriminations. Cela sert également à entraîner des gens dans des activités qu’ils n’apprécieront pas et pour lesquelles ils 'n'ont aucun talent. "
"Les études supérieures ayant été longtemps fermées aux femmes, peu d’entre elles pouvaient prétendre intégrer les cercles d’intellectuels."
beaucoup d'inventeurs de génies des siécles passés n'avaient pas fait d'études supérieures. et étaient seuls contre tous, les femmes n'avaient qu'a en faire autant rien ne les empêchait, ça va cinq minutes ces excuses bidon alain Soral en parle trés bien dans un de ces livres et j'ai cité le passage.
il y a beaucoup plus de génis et didiots parmi les hommes c'est tout.
"Selon Claudie Haigneré, médecin, première spationaute française, présidente d’Universcience : « Il existe énormément de femmes qui ont des atouts certains mais elles sont parfois confrontées au plafond de verre. Il est transparent, on ne le voit pas mais pourtant il s’agit d’un obstacle. Il est basé sur des stéréotypes, par exemple celui de la place du métier du mari par rapport à celui de l’épouse."
ces femmes sonts d'un avis contraire.
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article273
"A l’évidence, les stéréotypes de genre ont un fort impact sur la place de la femme dans la société. Ceci est mis en évidence dans de nombreux contextes et malgré d‘importants progrès, les clichés ont la vie dure. Ceux qui concernent la distinction des genres touchent les individus à un âge particulièrement précoce."
et ça continue on a droit encore au sois disant stéréotype de genre.
"L’évolution actuelle du rôle du père dans l’éducation et les tâches ménagères"
Ah oui les féministes veulent en faire une parfaite mére bis, comme ça il ne joue plus son vrai rôle et on a une pléthore d'enfants rois.
"Les emplois scientifiques étant un vecteur d’innovation et de développement, il serait dommage de n’y employer que la moitié des cerveaux dont nous disposons."
comment peut-ton affirmer comme elle le fait que ça serait un plus s'il y avait plus de femmes.
j'ai fait 20 ans de bureau d'étude j'ai pas vu de grandes techniciennes, plutôt douées pour faire trainer les choses et faire de la léche au chef.
"Ces chiffres ont ensuite progressé mais il reste difficile d’atteindre la parité. "Ah la parité chére aux féministes.
" En ce qui concerne la recherche, leur part représente 32% des chercheurs permanents du CNRS et 47,8% des chercheurs de l’INSERM. "
chercher c'est bien trouver c'est mieux
@ Cristal:
Je partage aussi ce point de vue:
"La différence est l' équilibre entre soi et l' autre, ce qui nous permet de mieux nous connaître malgré le miroir qui nous voile de tout nous permettre. Sans différence pas d' autre miroir qui ne reflète pas l' exactitude du notre."
La différence c'est la possibilité de l'altérité, c'est le monde multiple. L'unité, si elle existe, est la somme des différences. C'est le contraire de la tyrannie.
@ Kasilar:
Catherine Vidal a un point de vue, d'autres chercheurs ont d'autres points de vue.
Les différences soulignées dans le numéro de Cerveau & Psycho ne sont pas annulées par le discours de madame Vidal. L'article que je mentionne observe des éléments comportementaux et constate un fait, qu'il n'explique pas.
Vous avez changé depuis quelques temps Kasilar... ;-)
@ Leclerc:
Soral, il y a à boire et à manger. Il faut trier.
Concernant les métiers scientifiques, je ne sais pas que penser. Serait-ce un stéréotype qui a freiné les femmes, ou est-ce naturel, celles-ci allant davantage vers des métiers sociaux?
cet exercice intellectuel maitrisé est totalement angoissant.
Quand s'expriment exactement vos instincts naturels d'érotisme,de sexe et de mort ?
"Cette minorité ne peut être généralisée à l’ensemble", c'est notre phrase favorite! Car l'ensemble ne peut être généralisé, ni caporalisé à la minorité! Celà tombe sous le sens, interdit ou pas, nous ne ferons pas amende honorable, même et surtout si c'est une agente policière de la feminista. D'ailleurs ce mouvement minoritaire mérite-t-il une majuscule? Non! Il est temps de l'affirmer, car nous le répétons et le dirons jamais assez "Cette minorité ne peut être généralisée à l’ensemble", debleu!
To-I section "hommes au masculins"*
*vieux truc-concept humorisitique de Métal Hurlant
Ps: Nous enregistrons nos comm's un jour nous ferons un "best of"
@ HL
"Soral, il y a à boire et à manger. Il faut trier."
c'est vrai, j'avais mis un extrait d'un de ces livres où il constataient que les inventeurs hommes avaient avancer contre vents et marées pour créer, les stéréotypes à coté c'est du pipi de chat, pour moi les explications féministes pour expliquer le faible nombre de femmes à être des génies des inventeuses des créatrices c'est bidon.
la sois disant domination patriarcale entre autre.
"celles-ci allant davantage vers des métiers sociaux?
même quand elles sonts douées en mathématiques, tout en étant inférieures en résolutions de problémes, pas les mêmes centres d'intêrets, pas les mêmes priorité de vie.
on le voit dans le site la cause des hommes peu de demandes pour être directrice de magasins.
ces revendications féministes pour une parité dans les postes d'encadrement sous prétextes que les femmes et les hommes seraient similaires, c'est bidon contre productif.
@ hommelibre
Je constate votre touche masculine qui met en évidence ma féminité dans ce partage.
Alors ça crève les yeux... Je viens de comprendre quelque chose d' interne et externe.
Quand la femme cherche à sortir d' elle-même pour s' émanciper, l' homme lui s' entoure d' espace pour creuser.
Et ce qui les attire plus ou moins ou à égalité c' est leur dose de capacité à pouvoir s' épanouir dans ce paradoxe en repoussant l' autre. Ce qui produit leur va-et-viens selon l' ampleur de leur réciprocité qui conduit à l' union et par extension au sexe :)
@ Patricia:
Ici ce n'est pas le lieu d'exprimer mes pulsions érotiques et autres. Pas dans cette analyse en tous cas. Il y a d'autres endroits où cela se fait. Déjà en direct dans mes relations. Parfois dans certains textes, comme dans mon roman Le Diable en été. Ou dans un texte comme celui-ci:
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2009/07/06/les-loofoos-de-la-full-moon.html
ou ici:
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/09/06/lettre-a-une-amante-impossible.html
Ou dans certaines de mes chansons, vous verrez (c'est pour plus tard).
Je reste aussi un peu circonspect sur les blogs vu que certaines personnes utilisent les écrits de manière peu amicale. Mais je me lâche parfois.
@ Trio:
Pour vos comms, garderont-ils leur sens et leur fraîcheur en dehors du cadre où ils sont écrit?
Sur la minorité: je vous entends bien et je comprends que vous me renvoyiez mes propos en les appliquant au femrad. Il y a cependant une différence: bien que minoritaire le femrad théorise, se veut global et universel, fait du lobbying, bref agit pour mettre en place un système socio-culturel. Les excès ne sont pas des égarements aléatoires de quelques-unes.
Bonne journée.
Homme libre
Non non je ne défend nullement la thèse de madame vidal.
Je souligne uniquement sa prétention de déterminer scientifiquement un organe complexe qui est le cerveau.
Sauf que la neurologie détermine l'intelligence, mais n'arrive à étudier les comportements féminins.
Bref on fait dire à la science ce qu'on veut à défaut de détenir la vérité.
"Concernant les métiers scientifiques, je ne sais pas que penser. Serait-ce un stéréotype qui a freiné les femmes, ou est-ce naturel, celles-ci allant davantage vers des métiers sociaux? "
ce qui est étonnant dés qu'il y a une femme a un poste de direction la propension quelle a a mettre en application les théories gender , à admettre pour vérité scientifique que les hommes et les femmes sonts similaires, sans se poser plus de questions que ça, sans se questionner sur l'objectivité des féministes, et en employant sans état d'âme la discrimination positive.
on là déjà vu avec anne Lauvergeon maitenant c'est au tour de Dominique Reiniche
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique76
12 mars : COCA-COLA DISCRIMINE