Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
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Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Plusieurs déclarations du philosophe français ont créé la polémique. Dans la revue Éléments d’octobre-décembre 2015 il s’en explique et confirme son point de vue. On n’est pas obligé d’être d’accord avec lui sur tout. C’est mon cas.
Comment s’y prendre pour enfumer le pays? Par le bluff. Commençons par les titres de quelques quotidiens français. Le Monde: «Violence conjugale: le 3919 a traité 42 140 appels en 2011». Il précise: «La majorité des coups de fils pertinents concernaient directement des cas de violences conjugales, le reste portant sur des demandes d'information ou d'autres violences.»
Peu à peu mon dernier livre, Féminista: ras-le-bol, fait parler. Rien n’est gagné d’avance pour un auteur non connu. On avance pas à pas, on fait son chemin dans le désert jusqu’à ce qu’un oasis un jour se présente.
Les candidats à la présidentielle française tiennent un discours univoque sur les relations hommes-femmes. Tous ne parlent que de violence faite aux femmes en les mentionnant comme seules victimes et proposent de renforcer les lois destinées à les protéger. Aucun politique n’ose un discours différent, comme si ce thème ne souffrait aucun débat.
J’ai abordé ce thème de la domination masculine de manière complémentaire à mon livre. Toutefois le sujet est loin d’être épuisé et des questions restent. La première: pourquoi critiquer le féminisme radical, ou extrémiste? Parce que ses thèses ont contaminé les universités, les tribunaux, les médias, et instauré le grand stéréotype de l’homme violent, dominateur et esclavagiste. Parce que la culpabilisation des hommes dans leur ensemble a assez duré et produit des dégâts. Parce que l’image victimaire de la femme véhiculée par ce courant est particulièrement dénigrante pour nos compagnes.
Je délaisse momentanément la méditation romantique du Diable en été pour un Essai effronté. Je reviendrai avec un nouveau roman, si tout va bien d’ici l’été. Entretemps au printemps, publication de mon premier album numérique de chansons françaises, latino et world.
Les fils et filles de Sarkozy se trouvent décidément partout. On a parlé de droite décomplexée à son propos. Aujourd’hui on assiste à la «décomplexation» du clitoris. En effet la secte féministe du moment, Osez le féminisme, balance une campagne sur le thème «Osez le clito».
Je continue mon périple autour du droit de vote et je reprends ici en le retouchant un commentaire que j’ai laissé sous mon billet d’hier. Je faisais le constat que le vote universel masculin n’est jamais mentionné, celui des femmes l’est. Il y a comme une cécité. Ou comme l’impression que les hommes auraient toujours voté. Ce qui n’est pas le cas. Le vote féminin étant mis en regard de celui des hommes, il faut aussi parler de ce dernier.
La pub pour le parti Libéral-Radical de Neuchâtel est inénarrable. Il fallait oser! Ils l'ont fait.