Des éléments de mur ont été récemment présentés au public américain. Ces nouveaux prototypes vont être testés dans les mois qui viennent. Donald Trump continue la mise en place de la politique pour laquelle il a été élu, avec plus ou moins de bonheur.
Rarement un président aura subi autant de freins et reçu autant de haine. On peut ne pas aimer sa personnalité – elle n’est pas non plus dans mes affinités personnelles. Mais il était le seul à pouvoir barrer la route au camp Clinton.
D’autre part il est intéressant de constater que la gauche américaine est devenue le fer de lance de cette haine alors qu’elle ne parle habituellement que de tolérance, de respect, de diversité et d’inclusivité – la nouvelle marotte à la mode.
Donc Trump fait le mur. Ce faisant il continue l’oeuvre de Georges W. Bush et de Barak Obama. Celui-ci, alors sénateur, avait voté pour en 2006, et ajouté des kilomètres pendant son mandat. Il n’a pas été descendu en flammes pour cette politique.
Les libéraux américains ont pourtant fait de ce mur un symbole anti-Trump. Allez savoir pourquoi. Incohérence politique et intellectuelle mâtinée d’hypocrisie. Quand je vois ce que l’affaire Big Fat Man (Harvey Weinstein) a révélé du comportement des héros démocrates (actrices féministes opportunistes ou vénales et acteurs lâches et soumis) à Hollywood, haut-lieu de la propagande progressiste inclusive, je me dis qu’ils se moquent du monde.
Le mur a trouvé depuis onze ans un large consensus dans la classe politique, démocrates et républicains unis dans la croisade de défense de l’Amérique.
Bien sûr les murs sont d’étranges symboles. Comme beaucoup j’ai applaudi à la chute du mur à Berlin. Or chaque situation doit être vue en elle-même. Ici il s’agit de protéger le pays contre le traffic géant de drogue en provenance du Mexique.
Le gouvernement mexicain est incapable de régler le problème – à moins qu’il n’y ait son intérêt. Ces dernières années la guerre des gangs a fait des centaines de milliers de morts (95’000 rien qu’entre 2007 et 2001 – image 2, Acapulco). C’est le conflit le plus meurtrier après la Syrie!
Ce conflit exporte non seulement la drogue mais aussi la violence qui va avec. Selon Le Monde:
« Déjà, l’Arizona subit une hausse alarmante de la criminalité. Selon différentes sources, l’Etat frontalier serait devenu la principale plaque tournante nord-américaine de l’immigration illégale et du narcotrafic. Ailleurs, sur l’ensemble du territoire, les cartels mexicains contrôleraient la plupart du marché, d’après un rapport du Centre national de renseignement des drogues. Liés aux gangs américains, ils seraient parvenus à s’implanter dans 230 villes des Etats-Unis. »
D’autre part des centaines de milliers de migrants économiques passent illégalement la frontière. Quel État accepterait de fermer les yeux?
Avec le mur Trump continue donc la politique américaine de ces onze dernière années. Une politique approuvée par 68% des américains en 2010. Il fait le job.
Commentaires
Comme si un mur pouvait régler la question de la drogue. Mais bon, j'ai cru comprendre que ce n'était pas le véritable sujet du billet. Ou bien ?
@Homme Libre,
Chapeau bien bas à votre Article-Chapeau!
Bien à Vous.
Charles 05
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Charles 05
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