Sa construction commencera en décembre. Il s’étendra sur 1’200 km le long de la frontière avec le Bélarus. La pression et le harcèlement migratoire ont conduit les autorités de Varsovie à prendre cette décision.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Sa construction commencera en décembre. Il s’étendra sur 1’200 km le long de la frontière avec le Bélarus. La pression et le harcèlement migratoire ont conduit les autorités de Varsovie à prendre cette décision.
Le déchainement anti-Trump semble céder la place à plus de raison. Le président, qui ne cherche pas à plaire, a une ligne. Il n’est pas si imprévisible qu’on l’affirmait avec angoisse, laissant planer la peur d’une guerre nucléaire. Que se passe-t-il?
Des éléments de mur ont été récemment présentés au public américain. Ces nouveaux prototypes vont être testés dans les mois qui viennent. Donald Trump continue la mise en place de la politique pour laquelle il a été élu, avec plus ou moins de bonheur.
Personne ne leur en a fait grief. Personne ne les a qualifiés de racistes ou xénophobes. Les mexicains n’ont pas fait mur contre eux le long de la frontière, comme c’était le cas il y a deux jours contre le Donald.
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
… jette la première brique à Donald Trump. Ce ne sera ni Bill ni Hillary Clinton. Ni Barak Obama. En effet comme sénateurs ils ont voté pour la construction de ce mur en 2006. Mais alors pourquoi en faire un tel acte d’accusation contre le Donald?
Alain Juppé est comme un rat en cage. La secousse électorale de dimanche est son choc électrique. Ce choc produit trois réponses de la part des rongeurs: la lutte, la fuite ou l’inhibition.
La presse rappelle depuis quelques jours l’horreur du génocide au Rwanda. Vingt ans déjà. Un événement majeur à cause de la systématique des tueries, et du peu de réactions de la «communauté internationale». Pourtant, trois jours après le début des massacres, un humanitaire parlait déjà de génocide dans le quotidien Libération.
Le mouvement continue: la ministre responsable de l’immigration du Québec, Diane de Courcy, membre du parti québecois (souverainiste), a déposé cette semaine un projet de loi reformulant les conditions de l’immigration dans la province.
Je me souviens exactement où j’étais le 10 mai 1981: à la campagne avec ma compagne. Il y avait peut-être aussi des amis, de cela je ne me souviens plus. Nous avons écouté le résultat de l’élection à la radio de la voiture. Et dans ce soleil qui caressait les champs de colza et de petits-pois, ou de je ne sais quoi, nous avons sauté de plaisir.
A force de faire feu de tout bois, on finit par se brûler les doigts. Mais qu’est-ce qui a pris Nicolas Sarkozy d’en rajouter une couche? De jouer au héros de la branchitude people?
La chute du mur de Berlin est un symbole, il a été une sorte de catharsis mondiale. Les enjeux planétaires ont donné cette force à ce symbole. Mais le travail est loin d’être fini. Il y a d’autres murs un peu partout.
Il y a à peine deux siècles, en 1789, l’Europe était formée de 300 Etats. En 1815 il n’étaient plus que 60, puis 20 en 1871 (y compris la Turquie qui contrôlait les Balkans), et actuellement 45 (carte 1).
Les murs ont une histoire, et l'Histoire a des murs, dont l'histoire se murmure le soir sous la ramure, dans le noir. Une histoire courte, histoire de ne pas rajouter another brick on the wall.
(Cliquer sur les images pour les agrandir au besoin)
9 novembre 1989. Je me souviens. J’écoutais France-Infos en rentrant après le travail. J’habitais alors derrière le Salève. D’Etrembières à La Muraz, la route tourne souvent. Je frottais mes yeux humides pour ne pas manquer un virage.
Le tournant du 9 novembre en Europe s’est préparé des semaines à l’avance déjà. Cette date est certainement symbolique, mais un mois auparavant une autre date avait marqué l’affranchissement des allemands de l’est et resterait dans les mémoires.