Au fil des informations on comprend mieux comment les feux ont pu prendre une telle ampleur cette année. Le facteur humain et la politique environnementale prennent un singulier ascendant sur les autres causes. Petit résumé.
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Au fil des informations on comprend mieux comment les feux ont pu prendre une telle ampleur cette année. Le facteur humain et la politique environnementale prennent un singulier ascendant sur les autres causes. Petit résumé.
Des éléments de mur ont été récemment présentés au public américain. Ces nouveaux prototypes vont être testés dans les mois qui viennent. Donald Trump continue la mise en place de la politique pour laquelle il a été élu, avec plus ou moins de bonheur.
Plusieurs déclarations du philosophe français ont créé la polémique. Dans la revue Éléments d’octobre-décembre 2015 il s’en explique et confirme son point de vue. On n’est pas obligé d’être d’accord avec lui sur tout. C’est mon cas.
Les djihadistes ratissent le nord de l’Irak. Leur cavalcade est rapide et victorieuse. Bagdad est à une encablure. A quelques tours de roues de camion. En face personne ne semble de taille à les arrêter.
(Suite du précédent)
Une nouvelle ère de concorde semblait donc s’ouvrir après le 11 septembre (voir article précédent). Elle fut très courte. Peu après le président américain annonce la volonté de son pays de créer en Europe de l’est un système anti-missiles, prétendument pour protéger le continent contre l’Iran. Puis il renforce l’Otan sans raison visible et contre les accords verbaux passés avec Gorbatchev.
Si je n’étais convaincu de l’intelligence hors du commun de Barak Obama, je dirais que c’est l’homme le plus stupide de la Terre. Plus stupide même que ne le fut Georges W. Bush. Mais s’il n’est pas stupide, alors Barak Obama est machiavélique. Son attitude n’est en aucune manière tournée vers une résolution pacifique de la crise en Ukraine. Tous ses propos depuis quelques jours montrent au contraire qu’il souhaite aggraver la situation et provoquer l’ours russe jusqu’au point de non-retour. Et ce qui aujourd’hui nous épargne encore une nouvelle guerre est la patience de l’administration russe.
Barak Obama s’avance vers la Maison Blanche comme un général romain revenant sur Rome chargé de lauriers. La prise du pouvoir suprême, l’installation dans ses nouveaux appartements, n’est pas le plus spectaculaire de son accession: le chemin pour arriver prépare déjà la soumission de la capitale, tel César auréolé de ses victoires.
Comment vous dire ma gratitude, Monsieur le Président? Comment vous remercier pour ce que vous avez fait? Par votre présidence vous avez réalisé quelque chose d’unique, d’historique. Quelque chose qui marquera durablement les consciences.
"We have a dream" pourrions-nous dire. Nous avons un rêve, au-delà des seuls Etats-Unis. L'Europe, l'Afrique aussi vibrent à l'élection d'Obama. Après le cauchemar Bush, après 8 ans de descente aux enfers qui ont profondément déstabilisé le monde, qui l'ont rendu beaucoup plus dangereux, Obama est comme une respiration, une liberté retrouvée.
La crise financière est-elle déjà derrière nous? Les 700 milliards des contribuables américains n’en font-il déjà plus qu’un mauvais rêve? Ce serait aller un peu vite.
Actu fournie et variée, de quoi faire quelques commentaires et distribuer les bons et les mauvais points.
La colistière de McCain semble prête à tout pour être à la une des journaux: montrer ses seins ou partir en guerre. Il faut être visible à n’importe quel prix. C’est la rançon du monde de l’image, du monde où l’on se souvient du dernier qui a parlé. Le matraquage médiatique remplace l’analyse et la pensée personnelles.
On a fait grand cas des caricatures du prophète des musulmans. On ne parle que très peu des caricatures anti-juives qui sont diffusées dans les pays arabes. Le lien proposé par Victor: http://pmw.org.il/car/ en donne un aperçu.
Suite au ramdam d’hier dans les commentaires de mon billet Dépasser la gauche, je me suis posé quelques questions sur la liberté d’expression, l’esprit de polémique et les insultes. Je vous les livre.