Deux Cosette ont réalisé un film sur la très grande difficulté existentielle des femmes cyclistes. Elles-mêmes ont fait un périple de 3’000 km pour rencontrer « des femmes qui font du vélo, qui réparent des vélos, qui construisent des vélos. »
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Deux Cosette ont réalisé un film sur la très grande difficulté existentielle des femmes cyclistes. Elles-mêmes ont fait un périple de 3’000 km pour rencontrer « des femmes qui font du vélo, qui réparent des vélos, qui construisent des vélos. »
Jusque là je croyais que l’on accusait un sportif de dopage sur la base de preuves formelles. Que sans présence de produit interdit dans les analyses on ne pouvait rien affirmer. Et encore moins condamner. Avec Lance Armstrong cela a changé. Il restera le héros déchu par les témoignages de ses camarades.
L’un avait fait les premiers pas sur notre satellite. L’autre avait gagné sept fois le tour de France. Neil Armstrong avait le premier foulé la poussière lunaire. Lance Armstrong avait accumulé le plus impressionnant palmarès cycliste dans la poussière des routes du sud. L’un reste le héros d’une saga et d’une époque. L’autre, on ne sait pas.
Quel talent! Quel culot. Quelle brillance. Fabian Cancellara a gagné l’enfer des pavés du nord, le mythique Paris-Roubaix. Une semaine après le Tour des Flandres. L’article de L’Equipe.fr est parlant.
Je suis toujours admiratif devant l’effort produit par ces hommes. 3‘400 km à faire, la montagne, la stratégie, la foule qui crie, et eux concentrés et tenaces.
Meuuuuhhhhh!
Quoi meuuuuhhhhh?
Meuuuuhhhhh. Il y en a qui font Cocorico! Moi je fais meuuuuhhhh. Chacun son animal. Suisse je suis, meuuuuhhhhh je fais. J’exprime mon plaisir. J'aime le beau spectacle. Et le Swiss Can-Can est un spectacle formidable. Lever la jambe, baisser la jambe, monter l’autre jambe, baisser l’autre jambe.